« Le seul fait qu’il y ait un monde et non plusieurs – et partout ce même monde, toujours plus désertique, toujours plus frustrant et médiocre, chaque jour plus globalisé et pourtant chaque jour plus étroit – est le fruit d’un effort concerté. »
Voyons les choses comme elles sont : l’Amérique, dont l’Europe sert et dessert la table, n’a rien à foutre d’elle, ni de l’identité particulière des peuples qui la composent. Le pouvoir profond impose ses règles, les politiciens, jouant le rôle de cinquième colonne, obéissent et l’humanité passe à la caisse.
Que les infantilisés de la comprenette s’ôtent de l’esprit l’idée d’un « monde libre », comme on le vend dans les manuels scolaires et chez les décervelés du monde des peoples, plus prompt à se prostituer qu'à regarder la vérité dans les yeux.
Hier c’était le Viêt Nam et ses bombes au napalm que les Autorités américaines niaient avoir utilisé, parmi d’autres jouets dévastateurs, avant de reconnaître que c’était pour le bien de la civilisation occidentale en lutte contre le Satan soviétique qui soutenait le camp des Viêt-Cong.
C’était la joyeuse époque de l’Est contre l’Ouest. Du Mur de la honte ! Du cinéma des « gentils » contre les « méchants ». De « l’espion qui venait du froid » et qui avait chaud aux fesses !
Peine perdue, l’opinion et la presse, pas totalement sous contrôle à cette époque, ne se laissant pas conter fleurette, c’est la queue entre les jambes qu’ils quittèrent le théâtre de leur malfaisance, les mains sales mais les poches pleines, puisque le « complexe militaro-industriel » avait entretemps expérimenté certaines techniques de destruction massive et gagné beaucoup, beaucoup d’argent.
Depuis, ces techniques se sont diversifiées. Avec l’intrusion de Big Pharma sur le Marché mondial de la guerre, point n’est besoin de canarder à tout va puisqu’un simple virus suffit à instiller la panique et à manipuler les populations comme on jette des œufs dans la poêle, pendant qu’en sous-main on met en place un système de surveillance par l’identité numérique et la confiscation des libertés par l’obligation vaccinale. Signez ici, le reste suit ! Et, en effet, la suite ne manque pas de piquant !
L’intervention russe dans la partie russophone de l’Ukraine, outre la survie de la population du Donbass, a mis en évidence l’existence des bio laboratoires créés et financés par les Américains (qui bien sûr nient cela avec force !), dans lesquels des expériences ont « été menées avec des échantillons de coronavirus de chauve-souris ».
La relation de cause à effet n’étant que fortuite, comme on le placarde dans les films lorsque l’histoire approche la vérité d'un peu trop près. Quoi qu’il en soit, des unités russes ont été déployées pour sécuriser ces laboratoires d'armes biologiques. Et dans le processus, ils ont récupéré un « trésor de documents montrant que les États-Unis ont violé l'accord international régissant les armes chimiques et biologiques » …
La suite est à suivre… Où vous voulez, mais pas dans les médias officiels. On se décamphre !
Sous l’Casque d’Erby
Le bonjour à toutes et à tous. Temps difficiles. Encore une fois, les amerloques sont en passe de réussir leur coup : porter la guerre loin de chez eux.
RépondreSupprimerVous voyez le complexe militaro-industriel à l'oeuvre!
RépondreSupprimerQu'est-ce que cela signifie pour la Russie de rompre avec l'Occident ? C'est le salut.
L'Occident moderne, où triomphent les Rothschild, Soros, Schwab, Bill Gates et Zuckerberg, est la chose la plus dégoûtante de l'histoire du monde.
La question clé que le Sud global doit digérer est que l'Occident ne se suicide pas. Ce que nous avons ici, essentiellement, ce sont les États-Unis qui détruisent délibérément l'industrie allemande et l'économie européenne - bizarrement, avec leur complicité.- Samuel P. Huntington
oma
C’est en gros ce que je vous disais depuis le début, l’Ukraine n’est qu’un « pion » dans une guerre déclarée à la Russie. Par qui? Certains le nomment « l’Etat Profond », d’autres « les mondialistes ».
D'après Ernst Wolff c'est le complexe digital-financier qui est à la manette.
RépondreSupprimerC’est ce qu’on appelle depuis un certain temps le Great Reset ou le « fascisme gris » et que lui nomme « l’hyper-normalisation », ou encore les doctrines transhumanistes de Davos dont le Grand Prêtre n’est autre que Klaus Schwab, fils d’une Rothschild, ce dont il se garde bien de proclamer, j'ignore pourquoi… Quoi qu’il en soit, si on ne prend pas garde on est dans la mouise pour un bon paquet de temps ! Merci de votre visite et la bonne journée.
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