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Nous ne cessons d’alerter sur les conséquences des décisions prises à Bruxelles. Nous avons souvent dit que la Grèce servait de laboratoire. Comme nous le martèle les médias menteurs, tout va bien en Grèce, la voilà sur la bonne voie…c’est du moins le cri de victoire du premier ministre Antonis Samaras, que nous relate le Monde dans un article titré : 2014 l’année de tous les espoirs pour la Grèce.
Nous savons qu’il n’en est rien, l’intervention de Thanasis Laskaratos, met en évidence le sort qui nous attend. C’est encore à l’UPR, que nous devons la diffusion de cette intervention.
L’UPR est le seul mouvement politique à proposer — et à inscrire dans ses statuts — qu’il n’est possible de commencer à redresser la France que sur la base de trois orientations essentielles :
1) dénoncer tous les traités européens, y compris le traité de Rome,
2) refuser le concept même de « construction européenne », avec ses sempiternelles promesses « d’autre Europe »,
3) inscrire dans la Constitution française l’interdiction de toute délégation de souveraineté qui ne serait pas bornée à des sujets très précis, limités dans le temps et dans leur objet, et régis par des traités internationaux fondés sur la réciprocité et l’égalité entre États.
Charte fondatrice
1) dénoncer tous les traités européens, y compris le traité de Rome,
2) refuser le concept même de « construction européenne », avec ses sempiternelles promesses « d’autre Europe »,
3) inscrire dans la Constitution française l’interdiction de toute délégation de souveraineté qui ne serait pas bornée à des sujets très précis, limités dans le temps et dans leur objet, et régis par des traités internationaux fondés sur la réciprocité et l’égalité entre États.
Charte fondatrice
1. Tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union.
2. L’État membre qui décide de se retirer notifie son intention au Conseil européen. À la lumière des orientations du Conseil européen, l’Union négocie et conclut avec cet État un accord fixant les modalités de son retrait, en tenant compte du cadre de ses relations futures avec l’Union. Cet accord est négocié conformément à l’article 218, paragraphe 3, du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. Il est conclu au nom de l’Union par le Conseil, statuant à la majorité qualifiée, après approbation du Parlement européen.
3. Les traités cessent d’être applicables à l’État concerné à partir de la date d’entrée en vigueur de l’accord de retrait ou, à défaut, deux ans après la notification visée au paragraphe 2, sauf si le Conseil européen, en accord avec l’État membre concerné, décide à l’unanimité de proroger ce délai.
4. Aux fins des paragraphes 2 et 3, le membre du Conseil européen et du Conseil représentant l’État membre qui se retire ne participe ni aux délibérations ni aux décisions du Conseil européen et du Conseil qui le concernent.
2. L’État membre qui décide de se retirer notifie son intention au Conseil européen. À la lumière des orientations du Conseil européen, l’Union négocie et conclut avec cet État un accord fixant les modalités de son retrait, en tenant compte du cadre de ses relations futures avec l’Union. Cet accord est négocié conformément à l’article 218, paragraphe 3, du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. Il est conclu au nom de l’Union par le Conseil, statuant à la majorité qualifiée, après approbation du Parlement européen.
3. Les traités cessent d’être applicables à l’État concerné à partir de la date d’entrée en vigueur de l’accord de retrait ou, à défaut, deux ans après la notification visée au paragraphe 2, sauf si le Conseil européen, en accord avec l’État membre concerné, décide à l’unanimité de proroger ce délai.
4. Aux fins des paragraphes 2 et 3, le membre du Conseil européen et du Conseil représentant l’État membre qui se retire ne participe ni aux délibérations ni aux décisions du Conseil européen et du Conseil qui le concernent.
La majorité qualifiée se définit conformément à l’article 238, paragraphe 3, point b), du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne.
5. Si l’État qui s’est retiré de l’Union demande à adhérer à nouveau, sa demande est soumise à la procédure visée à l’article 49.
5. Si l’État qui s’est retiré de l’Union demande à adhérer à nouveau, sa demande est soumise à la procédure visée à l’article 49.
Sous l'casque d'Erby
Bonjour les caillasseux. Temps insupportables.
RépondreSupprimerL'Europe c'est bien ? Eh bien, gardez-là, pour ma part, je refuse de cautionner une institution criminelle !
"(...)Après la dissolution de l’Assemblée Nationale en 1997, il rejoint l’Inspection des finances et se rapproche de Charles Pasqua lorsque celui-ci décide, en janvier 1999, de présenter une liste aux élections européennes de juin pour protester contre la ratification sans référendum du traité d’Amsterdam. Quelques mois plus tard, François Asselineau devient directeur chargé des affaires économiques et internationales au Conseil général des Hauts-de-Seine, présidé par Charles Pasqua, puis son directeur de cabinet de 2000 à 2004.(...)
RépondreSupprimerhttp://www.upr.fr/francois-asselineau
J'ai entendu ce monsieur blablater sur la radio" Ici & maintenant". À la question de l'animateur : "on vous dit très à droite, proche de Pasqua et Ph. de Villiers", le monsieur a botté en touche en disant, en substance, que "la lutte contre l'Europe et l'urgence d'en sortir rassemblait des sensibilités de droite et de gauche".
Personnellement, même si je ne peux qu'abonder dans cette exécration de l'Europe des boutiquiers, je ne peux m'empêcher de flairer le ratissage large de ces gens qui, dans la guerre qui ravage, cherchent avant tout à semer la confusion, brouiller les lignes. Il en est de l'Europe, comme de bien d'autres points. on le sait la confusion est leur arme de choc.
Salut Orgériennes, salut, Orgériens, salut tous les autres. Je souscris à fond au programme de l'UPR, depuis longtemps. Dommage que, pour prétendre à une tribune, qu'il aura ou pas, il présente des listes à un scrutin fort discutable, en vue d'une assemblée inutile élément de simple paravent à la dictature illégitime, voire illégale, de Bruxelles (Commission, Comité.... et OTAN).
RépondreSupprimerLa solution, on la connaît je pense. Supprimer les banques.
Merci L'UPR, merci; merci, et encore Meeeeerci...
RépondreSupprimer"Cette rupture décisive – que l’UPR est le seul mouvement à proposer clairement – est la clé pour redonner du sens à notre démocratie et à la République, pour relancer l’économie, protéger nos acquis sociaux, dégager la France de l’Empire qui l’asservit et nous opposer aux dérives guerrières du choc des civilisations. L’UPR invite en conséquence tous les Français de bonne volonté à se rassembler, en mettant provisoirement de côté le clivage droite/centre/gauche, le temps de récupérer, tous ensemble, la plénitude de notre souveraineté et de notre démocratie.
RépondreSupprimer"(...)Pour parvenir pour de bon à ce rassemblement de tous les Français sur l’essentiel, l’UPR veille à ne jamais prendre de position qui heurterait la sensibilité et les convictions de tous ceux qui lui font confiance. Conformément à sa Charte fondatrice, l’UPR refuse ainsi de céder aux sirènes des accords électoraux qui la feraient tomber dans l’un des camps. De même, elle refuse de prendre position sur tous les sujets polémiques et secondaires sur lesquels certains s’ingénient à faire s’opposer nos concitoyens, pour mieux leur masquer le fait que le pouvoir de décision, sur ces sujets aussi, leur ont été dérobés.(...) même lien que signalé dans comment précédent.
Décidément, il suffit de jeter un os, et voici que tous s'y précipitent, même s'il est empoisonné. Vouloir à tout prix susciter des "rassemblements" qui dépassent les clivages gauche-droite, cela a TOUJOURS été la stratégie même des fascistes, du programme pétainiste de la "Révolution nationale", qui se proposait, et mit en actes, d'en finir avec la lutte de classes, d'avec les divisions : interdiction des syndicats, enfermement des communistes ... voilà donc le programme auquel vous semblez vouloir adhérer sur ce prétendu rejet de l'Europe au seul nom du nationalisme. Sauver la France !... Mais encore faudrait-il se demander ce que c'est la France. Pas moins que l'Europe, elle est d'abord celle des Patrons et des exploiteurs. Pour ne parler que du nucléaire, une centrale française, vaut-elle mieux dans ses déchets, qu'une centrale européenne ? Certainement non ! Et à choisir, je préfère encore l'alliance avec les écologistes allemands qui, EUX, ne rechignent pas à la besogne pour dénoncer Fessenheim et La Hague, quand les Français préfèrent, quant à eux se déchirer en luttes bureaucratiques intestines pour se désigner un chef !
Un peu de clairvoyance quand même !...
D'où le choix (contesté bien sûr par l'UPR) de BOYCOTTER le scrutin, soutenu par le CNR-RUE, choix qui semble gêner un peu les politiciens parce qu'il rend plus visibles leurs turpitudes en provoquant une légitimité toujours plus douteuse des "députés européens". Oh, ils seront élus malgré tout, même avec une dizaine de voix, mais avec un nombre de listes par région qui oscille autour de 25, les mieux servis n'auront pas beaucoup ! Il me semble que ce sont la meilleure stratégie, ce boycott. Il faut seulement qu'il soit très suivi.
Supprimerextrait du commentaire de Pim : (...) rejet de l'Europe au seul nom du nationalisme. Sauver la France !... Mais encore faudrait-il se demander ce que c'est la France. Pas moins que l'Europe, elle est d'abord celle des Patrons et des exploiteurs. Pour ne parler que du nucléaire (...).
SupprimerOui, Pim, merci de crier cela, "casse-cou" le genre Asselinau... Et bien vu, aussi, tes comparaisons avec Pétain, etc.
A bas le nationalisme, qu'il soit "national" (déjà si suspect dans ses fondements prétendument historiques, "nos valeurs"...) ou qu'il soit "européen" (au nom d'une si lourde histoire de rapines, au moins depuis C.Colomb!) TOUJOURS pour rapiner !
La lutte de classes existe... et pire que jamais : à l'échelle internationale... Tant pis si des peuples "chloroformés" l'oublient!
Non je n'oublie pas le peuple grec, avec qui j'ai eu tant de chaleureux contacts. Lui n'est pas chloroformé, mais KO-debout. Et la langue de bois de ce politicien grec (il prend Asselineau pour un leader populaire!) n'est pas à la hauteur du peuple grec !
un labo ? c'est exactement ça ! T'inquiète, on va voter, et dans le bon sens. Faisons sauter les labos et leurs apprentis sorciers
RépondreSupprimerJ’ai bien aimé
RépondreSupprimerhttp://www.wikistrike.com/article-video-en-direct-du-bunker-de-commandement-de-l-ue-123563183.html
Le fascine est déjà installé mais dans un style novlangue c’est " leurre-hop »! et on se crêpe le chignon encore entre humain communautarisé...Moi c’est terminé les enjeux sont de taille et ne porte plus les couleurs, le résultat est criard en Ukraine....
Sur le papier, ça semble parfait... Après tout, on peut avoir commis des erreurs de jeunesse en faisant partie de la garde rapprochée de Pasqua e de De Villiers.
RépondreSupprimerUne chose qui me dérange chez l'UPR, c'est la négation du rapport gauche-droite (je ne parle pas du PS...) pour recruter tous azimuts, ce qui est logique avec sa lecture de l'Histoire qui fait l'impasse sur le mouvement ouvrier, et donc son rapport au capitalisme (compromis de classes ?).
Je vous glisse ce lien pour de plus amples informations : http://blogs.mediapart.fr/blog/upac/081113/non-lupr-et-asselineau
Pour ma part, j'ai pour principe de me méfier de mon ombre. Putaing qu'elle est capricieuse ! Si même mon ombre est douteuse et que je ne suis même pas sûr qu'elle existe, solution, je m'abstiens.
SupprimerJe ne voterai que quand les différents responsables du gouvernement de l'Europe (commission, sous-commission et sous-sous-sous...) démissionneront et seront jugés au TPI pour crimes humanitaires.Dans le cadre actuel, la chose étant impossible, quel qu'en soit le résultat, je BOYCOTTE une élection ALIBI !
Si les élections changeaient les choses, ça se saurait... quoiqu'en Amérique latine ça s'est produit...
SupprimerJe ne pense pas hélas que l'abstention même massive apportera quoi que ce soit. Au contraire, les partis dominants (PS-UMP-FN) espèrent qu'elle sera forte, les uns pour ne pas perdre trop de plumes, les autres pour l'emporter. De plus, l'UE n'a pas besoin de l'adhésion et de la participation du peuple pour mener sa barque.
Moi, je vote quasiment exclusivement pour participer à la destruction du PS ce qui signifie moins d'élus, moins de moyens... Vu la sociologie et le fonctionnement du PS, c'est les pépettes et la quasi certitude d'être élu qui maintiennent sa cohésion.