vendredi 7 novembre 2025

L’Amérique, terrain de jeu du « peuple élu » ?

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Pas tout à fait satisfait de la destruction de Gaza et de la réduction du peuple palestinien à une simple parenthèse historique, Benyamin Nétanyahou, faussaire et criminel de guerre en sursis, s'en prend désormais aux figures contestataires américaines Tucker Carlson et Candace Owens pour avoir osé dire ce qu’aucun être humain ne doit taire sur l’horreur israélienne en terre palestinienne.
Estimant que ces deux gratte-culs constituent une menace pour « l'existence » d'Israël (rien que ça !), il entreprend une croisade afin de les remettre dans le droit chemin, peu importe la méthode utilisée.  
Après Gaza, place à l'Amérique ! Tsahal n'a pas terminé sa mission terrestre, loin s’en faut ! Mais préalablement, une vaste campagne de discrédit s'avère nécessaire. Le « peuple élu » ne saurait se laisser distraire par les scrupules humanitaires de certaines factions, y compris juives, qui dénoncent ouvertement un « génocide palestinien » !
Et si Gaza n’était finalement qu'une étape préliminaire. Mais l'Iran ? Une simple mise en bouche. Mais la Syrie ? Le temps viendra. Le Liban ? On fait traîner, mais on s’en occupe. Tout est sous contrôle ! Et si ces actions masquaient à peine l'objectif véritable du leader sioniste et de ses auxiliaires : transformer les États-Unis en la fameuse terre promise ?
Certes, la chose pose problème d’un point de vue strictement géographique, mais l’histoire n'en est pas à sa première cocasserie, n’est-ce pas ? L’Amérique comme futur berceau du Grand Israël, avouez que cela a plus d’allure que cette ridicule et agaçante bande de Gaza et sa nuée de moustiques !
Financièrement, c'est déjà acquis : l'Amérique est sous influence. Mais cela suffit-il ? Les stratèges du sionisme ne sauraient se contenter de l'ombre et du silence ; ils aspirent à la lumière crue de la puissance ! À exhiber leur force. À se délecter du plaisir combiné de leur pouvoir et du silence des morts et des soumis ! Un bon adversaire est un adversaire éliminé ! Ce principe est sacré. Leur Bible l'affirme. Œil pour œil ! 
Et si elle (l'écriture sacrée) ne l'exprime pas si brutalement, on en rédigera une nouvelle version, plus punchline, mieux adaptée aux besoins de la communauté, qu’on imposera à des populations travaillées au corps ! 
Dans un monde dans lequel l'ignorance sera bientôt une vertu, qui osera contester une parole divine ? Il suffira de prétendre que des « récentes » découvertes, quelque part dans une grotte perdue, recouverte par la poussière du désert, des scientifiques irréprochables ont exhumé la cassette vidéo d’un entretien entre un journaliste israélien et Dieu en personne revendiquant la paternité de cette nouvelle édition sur la suprématie du peuple élu sur le reste de l’humanité et des lointaines galaxies !
N’est-ce pas ainsi, en quelque sorte, que les zélateurs de la cinquième colonne sioniste présentent les faits dans les nouvelles colonies occidentales, parmi lesquelles la France figure en bonne place ? 
 
Sous l’Casque d’Erby 
 
 

mardi 4 novembre 2025

Les églises brûlent en silence

Cathédrale de Salisbury

« La France assiste, impuissante ou indifférente, à la lente combustion de son patrimoine religieux. La destruction du monastère de la Chartreuse du Mont-Dieu n'est qu'un épisode supplémentaire d'une sinistre chronique. »
À la surface, comme dans un lac gelé, tout est lisse et brillant. Inodore. D’équerre. Rien n’existe réellement, car le regard ne peut atteindre que les parties les plus voyantes.
On marche. On s’agite. On esquive les coups. Quand on le peut.
Le nom des êtres et des choses n’est qu’une pierre tombale sur laquelle un anonyme a fait inscrire des choses oubliées, à commencer par lui-même. A peine un souffle et c’est déjà demain, un siècle plus tard. Ce souffle que le temps orne de mille facettes dans les rayons d’étranges bibliothèques.
Une croix ne représente que deux lignes volontaires qui se croisent comme on croise les doigts, symbole à la fois de crainte et d’espoir. De culture et de nuit noire !
Chaque pierre posée est un jalon dans la lente ascension vers les cimes. Pas pour dominer, mais pour mieux saisir la ligne d’évasion. 
Chaque pierre échouée est un pas en arrière et des douleurs dans le braille de nos pensées. Le prix de l’effort, de la contrainte, des joies et des souffrances se perd dans l’ellipse du verbe.
Une église qui brûle est un livre réduit en cendre. Une langue sans repères est une porte qui s’ouvre dans le vide sidéral. Une misérable particule jetée à la vitesse de la lumière vers un point de non-retour. Un mécanisme sans contrôle entraînant des troubles sévères de la mémoire. 
C’est dans cette auge que l’élite abreuve sa soif de vengeance, sans que nul ne sache quel en est l’origine. 
Quand la haine de l’autre se déclenche par simple impulsion, agissant comme un mécanisme déclencheur de la peur animale inhérente à l’être vivant, soit par instinct de conservation ou par stupidité, ce n'est pas vraiment l'autre qui est ciblé, mais la denrée périssable que nous sommes devenus.
Nous sommes devant l'échographie d'une décérébration programmée. Tout est enseveli sous les algorithmes, où chaque signe entraîne nos corps jusqu’au tombeau, où nous ferons inscrire, en guise d’épitaphe : « Qui a éteint la lumière ? »
C’est peut-être à ce moment que nous réalisons combien nous avons besoin d’elle ! 
 
Sous l'Casque d'Erby 
 
 

mardi 28 octobre 2025

Le pigeon serait la cause de la déconfiture des cerveaux ?

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Des naissances réduites aux turbo-cancers, myocardites, AVC et maladies auto-immunes, c’est la facture laissée par les vaccins via des effets secondaires avérés. Et qui pour passer à la caisse ?
Les faits le démontrent, les statistiques le confirment, le con l’infirme : il y a eu préméditation. Avant la santé, le profit et la domination. 
La disparition de l’OMS en tant que gouvernement par la santé s’impose comme une nécessité vitale. L’avenir de sociétés civilisées ne peut reposer sur une telle avanie.
La cause de tout cela ? Tout, sauf la santé ! Sans surprise, aucune chaîne d’information française – ailleurs, c'est globalement pareil – ne vous le dira franchement, puisqu’elles sont la propriété de milliardaires qui l’ont ainsi décidé.
Milliardaires qui se remplissent les bourses en entretenant et développant, par ailleurs, des conflits et des guerres partout où ça génère de la dette, de l’emprunt et des intérêts ! 
Le vrai gouvernement, ce n’est pas nous, comme on cherche à nous le faire croire, ni les pantins qui s’agitent dans les assemblées, ce sont eux !
Tout est bon pour nous tenir en laisse et nous faire cracher au bassinet 24/24 et 365 jours par an !
Quand une guerre prend fin ici, avant même que l’odeur de putréfaction se soit dissipée, une autre éclate plus loin. On ne respire pas, on halète !
De la flatulence du pigeon et de son impact sur le dérèglement climatique, à l’invasion plus qu’improbable de la France par la Russie, ce n’est plus l’espoir qu’on nourrit, mais le blaireau à deux pattes qu’on gave. Bien que le pays plonge dans une amnésie soigneusement entretenue par tous les moyens – de l’enseignement aux standards de l’information –, qui pour croire de si grossières obscénités  ?
Le chaos est tel en notre chère France que la folie s’empare de tous. Pour chasser l’Amadeus de la finance, dont la cote de popularité saigne tous les paramètres, on imagine des remplaçants dont les noms feraient tressauter les morts, si ceux-ci avaient les moyens de participer à une telle foire aux andouilles !
Le dernier projet de liste que j’ai zieuté m’a flingué la vue. Des sionistes partout. Au ministère de l’Intérieur. Aux Affaires étrangères. À l’Immigration. Aux Affaires sociales. Dans les préfectures. Au Pôle emploi. À la pompe à essence. Partout, partout ! Tant et tellement qu’on se demande si Netanyahou en personne aurait osé une telle liste !
Le pays est incontestablement désorienté. Les citoyens commencent tout doucement à ouvrir les yeux, accordant de moins en moins de confiance aux représentants de l'État. À cela s'ajoute la volonté d'anéantir une économie et un mode de vie que les élites ont choisi d'effacer. Sacré chantier en perspective !
Faire le dos rond semble être la seule stratégie accessible aux plus vulnérables. Faire le dos rond, c'est croire que le mal est temporaire, qu'il finira par disparaître, tout comme les perturbations météorologiques. Attendre que le ciel passe du sombre de la tourmente au bleu immaculé des contes de fées. Mais cela, c’est dans les histoires à faire dormir les enfants. Dans la réalité, il en faut un peu plus que cela pour sortir la tête du marais.
Ce que nous percevons comme une classe politique « fortement » divisée, s’empoignant à qui mieux mieux, n'est en réalité que la stratégie de groupes similaires jouant la rivalité sur le dos (rond) des victimes de toujours. 
 
Sous l’Casque d’Erby 
 

 

dimanche 19 octobre 2025

Quoi de plus agréable pour se détendre qu’un voyage ?

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Lorsqu'on met en lumière la dérive totalitaire d'un système entier, les naïfs, bien plus nombreux qu'on ne l'imagine, versent dans le sarcasme ou même dans le mépris : « Mais où vas-tu pêcher de telles idées ? Observe autour de toi. Aucun policier en vue. Ouvre les yeux ! Arrête de nous prendre la tête et profite du paysage. Songe à la chance que tu as de mener une vie sans accro ! »  
Rien n’émeut des gens aux yeux et aux oreilles obstrués. Rien ne peut les sortir de ce coma artificiel. Rien pour les alerter sur les demandes de plus en plus excessives exigées pour un simple déplacement chez le voisin Anglais. Sous prétexte de « sécurité », vous voilà submergé, accablé, englouti par les démarches informatiques ! 
Rien de plus facile que de pénétrer – en toute décontraction – au pays des Beatles et des Pink Floyd. Une seule condition : remplir tous les paramètres du citoyen irréprochable. Paramètres qui, pour l’initié au maniement du clavier et des applications mobiles sans questionnement métaphysique, est une activité ludique ! En un tour de main et sans coup férir, vous voilà jouant le rôle de l’animal consentant pour votre bien propre et celui de tous, aux pays du libre arbitre !
Mieux : heureux du bien que l’on vous fait, vous fournissez les menottes et le montant du loyer pour mieux profiter d’une cellule personnalisée dans les nouvelles prisons mentales !
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage ! 
Du déverrouillage des smartphones à la reconnaissance faciale. De l’iris à la voix, et autres QRCode, la surveillance globale étale tout son arsenal sous le regard satisfait d’une population heureuse de l’attention qu’on lui porte !
On appelle cette petite formalité « l'ETA de déplacement », Electronic Travel Authorisation. Petit détail : le site est entièrement en anglais. Si vous parlez une langue régionale...
Pour vous éclairer sur l’importance de ces mesures sécuritaires, voici : si vous ne cochez pas les bonnes cases, tant pis, vous resterez à quai !
Qu’elle est belle l’ETA ! À ne pas confondre avec son homonyme basque au pays de Cervantès, vous vous embarqueriez dans une nouvelle galère.
Cette plateforme a été conçue pour endiguer l'arrivée non contrôlée de migrants susceptibles d'envahir et déstabiliser des nations déjà colonisées, sachant que les nouveaux arrivants en sont exemptés, puisqu’ils n’empruntent pas un circuit sécurisé !
Ce sésame, l’ETA, si vous parvenez à franchir l'obstacle de la demande en « bonne et due forme », bien plus complexe que d'empêcher un migrant de commettre des méfaits, vous coûtera 19€. Il faut bien ce prix pour ne rien empêcher du tout, tout en favorisant la traçabilité numérique ou le grand marquage du bétail citoyen !
N'oublions pas que le grand George Orwell, dont les prédictions totalitaires ne concernaient pas que son pays d’origine, mais s’étalaient comme du beurre sur la tartine planétaire, n'aurait sûrement pas applaudi la clairvoyance. 
 
Sous l’Casque d’Erby 
 

 

jeudi 16 octobre 2025

L’histoire, c’est une drôle d’histoire.

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À une période où les architectes de l’UERSS ajustent le narratif officiel, tout en s’effondrant, le souvenir du chef-d'œuvre de Luchino Visconti, Les Damnés, me revient à la mémoire avec un étrange pressentiment. Le film évoque l'ascension d'Adolf Hitler, depuis l'incendie du Reichstag en 1933 jusqu'à la tragique Nuit des Longs Couteaux en 1934.
Le cinéma a une histoire et l’histoire n’est pas du cinéma. Sans donner dans le mélo, cela souligne, si besoin, le lien de parenté entre le passé et le présent. Des lignes qui se croisent et se perdent dans le smog de la mémoire, avant un retour fracassant pour de nouvelles tragédies !
On vieillit sans trop comprendre les hommes et les choses et, quand, parfois, ces choses finissent par vous éclairer, vous êtes hors-jeu. Je ne me souviens plus, ou alors très vaguement, qui a dit que la lune au ciel, quand elle est pleine, « on dirait un Zéro transparent ».
Il est impossible de comprendre l’arrivée d’Hitler sans évoquer (l’histoire est cruellement têtue) l’appui des grandes entreprises allemandes, notamment celles du secteur chimique et pharmaceutique (suivez mon regard), ainsi que des industriels les plus puissants. Si cela ne suggère pas un air de remake, comme on dit dans le jargon du cinéma, c’est que vous êtes victimes d’un grand coup de fatigue ! Et Dieu sait si la fatigue est grande en ce bas monde !
Non seulement ils ont investi d’importantes sommes d’argent dans le parti national-socialiste, mais ils ont également confirmé que la gouvernance par la puissance et la richesse devait rester entre les mains des élites.
Qu’un cinéaste marxiste, ait été « diligenté » pour réaliser un film sur le passage d’un régime traumatisé par la défaite, faible et sans défense, vers la dictature nazie peut sembler surprenant à qui a perdu ses lentilles de contact, mais nullement celui qui lit dans les nuages l’arrivée de l’orage. 
Visconti montre comment le nazisme a englouti la famille décadente des Von Essenbeck, qui l’avait soutenu et alimenté lors de sa marche impitoyable vers le pouvoir. Cette recherche de justice poétique, non dépourvue d’une certaine naïveté, bien que porteuse d’espoir et de symbolisme, n’a malheureusement pas trouvé de véritable résonance dans les faits historiques.
Les influentes dynasties allemandes, qui avaient fourni un soutien financier et idéologique au régime nazi, ont rapidement récupéré leur position privilégiée ainsi que leurs fortunes. Malgré quelques condamnations symboliques infligées lors des procès de Nuremberg, les sanctions reçues par ces familles furent relativement légères, laissant intacte la structure sociale d’avant-guerre et permettant à ces élites de reprendre leur pouvoir et leur influence avec une étonnante facilité...
Toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé est totalement volontaire, vous vous en doutez ! 
 
Sous l’casque d’Erby 
 
 

samedi 11 octobre 2025

Du brut et du brutal

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Dans sa fausse guerre contre la Russie, l'UE ne pénalise que ses sujets. Ceux qui connaissent les méthodes sournoises dont elle a le secret haussent les épaules ou s'indignent dans le vide. Interdire le pétrole brut russe, mais l’acheter raffiné à l’Inde, issu du même brut, avec une marge se comptant par milliards pour le nouveau fournisseur, n’est rien moins que de l'escroquerie en bande organisée !
A Chicago, du temps d’Al Capone, le règne ayant duré moins longtemps que celui de l’UE, les choses étaient pour le moins beaucoup plus nettes : « Ma protection ou la mort ! » !  Ici, c'est pareil, le lustre en plus. Comme disent les marins : « La peinture est belle, mais la coque est pourrie ! »
En termes de politique politicarde, on ose appeler cela une guerre de résistance contre la Russie, dont on claironne par ailleurs qu’elle est la réponse au projet d’invasion de nos contrées par des cosaques sans pitié !
Dieu, que ce spectacle est surprenant ! Tout autant que la crainte du crétin colportant les éléments de langage diffusés par des médias sous psychotrope !
Nous en sommes là aussi dans notre triste Hexagone où la liste des Premier ministres va bientôt figurer dans le Livre Guinness des records ! Du jamais vu dans l’histoire de l’agonisante Cinquième R. 
Et qui pour lui faire du bouche à bouche afin de l’aider à revenir ? Assurément pas les complices de tout ça, se jetant la pierre l’un l’autre pendant que le cadavre pourrit sur le trottoir !
La vraie question est, si tant est que ce terme ait encore un sens : veulent-ils vraiment redresser le pays, autant qu'ils sont ? 
Mais que vise l'UE avec ce commerce, sinon faire profiter les usines de raffinage indiennes et quelques intermédiaires véreux ? C'est cela la fameuse résistance contre la Russie ou la vraie mise à mort de l'Europe des nations ? 
« Ami entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines... » 
Qui va finalement passer à la caisse pour laver l'honneur supposé d'une caste hautement nuisible ? Qui est le véritable ennemi de l'Europe des nations ? Les Russes ? Vraiment ? Les Chinois ? Vous le pensez sérieusement ?
Ne faudrait-il pas commencer à chercher nos ennemis au cœur même de cette UERSS créée, nourrie et entretenue comme une cinquième colonne pour nous rayer de la carte ?
Tout ça pour planifier le manque de carburant et imposer des nouvelles hausses, les tarifs atteignant, voire dépassant ceux de 2022 !
Quitter l'UE n'est pas un caprice, mais un acte de survie pour les peuples européens ! 
 
Sous l’Casque d’Erby 
 

mardi 7 octobre 2025

A force de creuser... On finit au trou !

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Trump, Poutine, Xi Jinping, il n’y a que pour eux dans toutes les bouches « bien faites ». Ils sont le problème planétaire ! Même si on ne sait quel est en vérité le problème, ce sont eux les coupables !
C’est toujours à la protubérance qu’on juge le cœur des choses. 
Chacun de ces « vilains canards » défendant les valeurs et les frontières de leurs nations respectives en agrandissant leur zone d’influence, quel qu’en soit le moyen, comme le ferait n’importe quel gouvernant, se font caillasser par au moins aussi vilains qu’eux !
C’est de « bonne guerre » qu’on nous dit, un peu penaud, lorsqu’on met le doigt dans la plaie ! 
En réalité, le véritable hic se trouve chez nous, mais on fait semblant de rien. On compte les mouches au plafond. Pourtant c’est gros comme une verrue sur le tarbouif !
La véritable préoccupation des français réside dans le fait d'avoir un usurpateur comme président, usant de Premier-ministres comme Forrest Gump usait de la semelle ! Un camelot animé de sales intentions, bradant le pays comme on organise un vide-grenier un dimanche de pluie dans un oued perdu.
Il met en vente à vil prix les murs et le fonds. Une France qu’il déteste comme rarement on déteste. A ce niveau, ce n’est plus de la haine, c’est de la pathologie ! La clientèle est cependant ravie. On vient de loin pour saisir la bonne affaire du week-end : 
« Prenez, c’est une affaire en or et, moi, ça me débarrasse. Merci. A une prochaine ! »
D’Alstom à la montée de capitaux étrangers chez Lafarge (ciment), Alcatel (télécoms), la vente de STX France (Chantiers de l’Atlantique) à l’italien Fincantieri, ou encore de Péchiney (aluminium) aux Canadiens d’Alcan, ne sont que la face visible d’un chantier de démolition scrupuleusement planifié !
Pour cela, la France n’a pas eu besoin de recourir aux services de Trump, Poutine ou Xi Jinping ! Nous avons assez de malfaisants sur nos terres ! La pègre banquière pour qui il œuvre est aux anges. Le petit « Mozart de la finance » fait mieux que du zèle. Il invente de nouveaux concepts, que même les commanditaires n’auraient pas osé !
L’idée d’offrir la dissuasion nucléaire française à l'Union européenne, comme on offre un cadeau d’anniversaire à sa bien aimée, fait partie de cette braderie à laquelle se livrent nos dirigeants en toute impunité. Comme on dit dans les films de série, tout est permis !
Bien que cela ne soit pas encore concrétisé, ça couine un brin dans les couloirs et la rumeur monte des bas-fonds !
Ce dernier joyau d'un pays en perdition est bien plus qu'un simple gadget qu’on prête comme on prête une perceuse à un voisin bricoleur ! C'est la garantie de notre souveraineté. Même si le terme semble galvaudé, il a encore un sens aux yeux d’une grande majorité, silencieuse ou pas !
A ce point, on atteint des limites qu’on n’imaginait pas dans nos pires cauchemars ! L'histoire ne serait que ça : tout casser pour tout recommencer ? Une course contre la montre où l'on se piétine soi-même, on se marche sur le corps et sur le cœur pour passer la vie suivante à le regretter ?
La retraite, le travail, la sueur, la santé, l’éducation, la culture. Les acquis si durement acquis. Poubelle ?
 
Sous l'Casque d'Erby