L’esprit de résistance d’un pays en souffrance monte. Avec lui sont arrivés les contre-feux imaginés dans les officines et répercutés dans toutes les salles de rédaction d’une presse à l’agonie, perfusée avec l’argent public, avant d’échouer dans des oreilles polluées par des croyances absconses. Les petites mains du pouvoir font le reste, dans la rue comme dans les débats publics, en échange de misérables avantages.
De même qu’une escouade d’extrême gauche dans la rue ne fait pas une révolution sociale, un groupuscule d’allumés, photographié en plan serré pour grossir l’effet, arborant des drapeaux à l’emblème d’Occident, ne préfigure pas l’avènement du nazisme. Pourquoi ? Parce que le nazisme est déjà au pouvoir en Europe. Subsidiairement, ces groupuscules, téléguidés par les services de l’État, servent les intérêts des véritables agitateurs, ceux qui tiennent le palpitant du système sous divers déguisements, qui pondent des lois, imposent des directives, inventent des catastrophes sanitaires pour soumettre le monde à ce nazisme qu'on chérit en silence.
C'est à peine si ces nostalgiques 2.0 se retiennent d’exulter, tant la chose leur paraît enfin réalisable !
La question qu'une « gauche » traumatique aux militants manipulés – vivant la « souffrance de l’histoire » par procuration – doit se poser est celle-ci : le nazisme a-t-il seulement quitté le pouvoir depuis la défaite de 1945 ?
La réponse étant avérée, à quoi servent ces cris d’orfraie, ces moulinets anti-fachos et ces votes « salvateurs » à chaque mouvement électoral sinon à cacher la poussière sous le tapis ?
Dans son soutien à l’Ukraine de Zelensky et son obstination à poursuivre une guerre contre la Russie, d'ores et déjà perdue, l'UE ne fait que corroborer le fait que son objectif final est bel et bien la dévitalisation du continent par la guerre, quoiqu'il en coûte aux peuples. Le prétexte démocratique n’est que le marronnier !
L’histoire ne nous enseigne-t-elle pas que tous les totalitarismes, de l’Italie mussolinienne à Hitler, de Staline à Mao, j’en oublie, ont pour dénominateur commun l’appellation « socialiste » » ?
Qu’il est étrange que ce qui nous est vendu comme le bonheur universel cache une si épouvantable escroquerie !
Le plan, d'une simplicité enfantine, est de niveler les peuples par le bas. Convaincre celui qui est socialement au plus mal qu'il est l'homme le plus fortuné et élevé au monde ! Empêchant par le fait l'apparition de citoyens intelligents, se posant les bonnes questions et trouvant le chemin du bon sens perdu, car plus l'individu se cultive, plus il est difficile à duper. D'où une société qui remplace les librairies par des boutiques de fringues, des opérateurs téléphoniques et une culture de supérette.
Dans sa politique migratoire, qui ne cache plus la fin des pays souverains, l’UE annonce sans le dire le « grand remplacement ». Le pousse-toi que je m’y mette pour créer et développer le chaos avec une « espèce » nouvelle d’individus, plus corvéable, parce que totalement abrutie !
Sous l’Casque d’Erby