Nous sommes ces cubes de glace longuement exposés à des chaleurs extrêmes. Celle-ci générant ce mirage qui interfère entre regard et horizon, donnant des hallucinations merveilleuses que la réalité dément cruellement.
Nous sommes, par la volonté de la propagande de quelques malfaiteurs occultes, focalisés sur tel ou tel sujet planétaire, que l'on nous somme d'aimer ou de détester. De proscrire untel ou untel de nos carnets d'adresses, même si vous en ignorez la raison. On nous dit de le faire et cela suffit.
Aucune importance si les personnes ciblées ne font que défendre leur pays, leurs frontières et les valeurs qui s'y rattachent. Tout ce que nous souhaitons que nos dirigeants politiques mettent en œuvre dans notre pays et ce qu'ils ne font pas.
Nous vivons cela à chaque palier de notre interminable dégringolade. Est-ce par distraction, par paresse, ou pire encore, que l'on coule le bateau qui nous porte des rives de l'ignorance à celles du savoir ?
Ainsi de ces coupures d'électricité « monstres » survenues en Espagne et au Portugal, prélude de ce qui nous attend prochainement.
Un accident ? Mon œil ! Comme pour l'opération Covid et son arsenal de contraintes, tout cela est planifié pour nous faire accepter ce que nous n'accepterions pas sans l'adjuvant de la terreur.
Pas d'électricité, pas de consommation ! Allez, à l'heure du tout digital, présenter votre carte de crédit pour régler vos achats de nourriture ? Désolé, mais sans électricité...
Tout est en place pour vous faire accepter l'idée que tout cela est la faute de Poutine et qu'il nous faut consentir un effort de guerre supplémentaire pour armer l'Europe contre un agresseur imaginaire !
Tout détruire pour tout reconstruire — et revoici les Trente glorieuses —, c'est la leçon économique que nous donnent ces artistes du crime !
Cela fut le cas à chacune des grandes conflagrations mondiales et cela continue !
Les faiseurs d'agendas mondialistes, ces transfuges d'un autre temps, rescapés du nazisme, rêvent d'une revanche et sont sur le point de l'obtenir dans une Europe chloroformée par une propagande vénéneuse !
Tout est orchestré pour nous faire oublier nos responsabilités devant les égarements du présent. L'ennemi n'est pas celui qu'on nous désigne, mais celui qui nous montre qui nous devons aimer ou haïr. Celui qui présente le coupable idéal pour qu'on oublie ses propres crimes.
S'envoyer par le fond pour préserver son confort est tout sauf clairvoyant. C'est faire abstraction de notre vie et de celle des générations futures. Pire encore : faire diversion avec des idées bancales, pointant des index accusateurs en direction d'un danger imaginaire, c'est s'assurer le naufrage !
N'existerions-nous qu'au ralenti, comme l'affirmait sans empathie Céline dans « Bagatelles pour un massacre » ? N'utilisant que 3 à 5 milliards de globules au lieu des sept dont nous sommes pourvus ! Vivant en « larves inquiètes », dans une « cuve d'asphyxie » au cimetière de nos vies ?
J'ose espérer que non !
PS. On s'apprête à fêter le 1er mai. Et si, au lieu de célébrer les défaites du passé, nous faisions en sorte de gagner la guerre qui vient ?
Sous l'Casque d'Erby
Le bonjour aux Dames et aux passants. Ce qui doit arriver arrive, dit-on. Et si, une fois n'est pas coutume, nous faisions que cela n'arrive pas ? ,Un vœu bien pieux ! La bonne journée.
RépondreSupprimerSalut ô grand Rodo qui heureusement n'habite plus l'Espagne !
RépondreSupprimerEh oui, ici nous avons du courant, pour le moment ! "Vous n'aurez plus rien, et vous serez heureux", disait l'autre abruti. Bien entendu il ne se compte pas parmi ceux qui n'ont plus rien, c'est cela, l'avantage d'être "du bon côté" du dispositif à filtration inverse, mais gaffe à ce que cela n'aille pas trop loin, sinon paf ! la baudruche explose !
Là-dessus, pendant que "la famille" s'esbaudit du côté de Montignac, je vais aller contenter les six chats et les quatre poulettes de poche, ils seront contents de me voir.
Profitons-en : il fait beau !
Je vois ici des gars en forme, à point, vibrants et drôles, comme le dessin de R.B ;-)).. .Moi je suis amère amenée à faire le dos rond et çà m'étonne... çà pleut trop dru les désenchantements... Et si elle explose la baudruche, aura-t'il la chance de naître enfin ce monde dont rêve notre reine-mère, la Terre, si cruellement torturée et tant désillusionnée...
RépondreSupprimerOma