samedi 2 mars 2024

Si l’Ukraine m’était contée

M art' IN
Ceux qui sont solidaires de l’Ukraine, alors même qu’ils ne connaissent pas le pays, ni ce qui s'y passe réellement. Pas plus qu’ils ne savent comment tout ce chaos a été orchestré, ne se doutent pas qu’ils se trompent lourdement. Au point que cette erreur est aussi grave que le crime lui-même.
Soutenir une « mauvaise » cause arrive à n'importe qui. Moi qui vous parle, j’ai bien souvent donné dans le panneau. Mais refuser de chercher, d’ouvrir les yeux, par obstination ou par confort, nous rend complices de choses aussi graves que celles que nous dénonçons. Cela, nous ne pouvons plus l’accepter aujourd’hui, car il y va de notre survie.
N’invoquons pas la télé, sans négliger son importance, le poids de la propagande, l’insidieuse manipulation mentale dont nous faisons l’objet en permanence, ce que les journaux matraquent à cor et à cri, sur injonction de leurs richissimes propriétaires.
Il existe d’autres façons de s’informer et cela ne nous exonère plus !
Ne nous laissons pas embarquer dans une galère dont nous serons à coup sûr les rameurs et non les heureux bénéficiaires d’une croisière dans les Cyclades.
Si quelques égarés, nourris au lait de l’empathie (et cela n'est pas un défaut), poussent pour nous faire adhérer à une campagne de solidarité, ne perdons pas de vue que l’Ukraine, bien avant l’intervention de la Russie, n’était pas le paradis que l’oligarchie nous vend pour nous entraîner vers notre perte : mafia, trafic d'organes, d’armes, de drogue, prostitution et enlèvement d'enfants pour approvisionner en « chair fraîche » le cartel des réseaux pédophiles du monde, voilà la vérité !
En outre, c’était – et cela continue de l’être – un refuge pour nostalgiques du nazisme « revisité » ; un paradis de l’argent sale ; le terrain de jeu de la CIA, dont on ne compte plus les laboratoires clandestins qu’elle nie avoir implantés, alors que la presse américaine est en train d’en lever le voile. Labos qui n’ont rien à voir avec la démocratie et beaucoup avec les prédateurs du pouvoir profond !
Réfléchissons avant de brandir banderoles et calicots pour soutenir ou agonir Untel ou Untel !
Ceux qui ont suivi le cours des événements depuis une dizaine d’années et plus – et qu’on a traités de complotistes – savent qui sont les provocateurs et quel est le véritable dessein d’une ingérence dans la politique intérieure d’un pays souverain, dont le but est de déclencher une Troisième guerre mondiale, si nécessaire ! De s’approprier un pays en grignotant et affaiblissant un autre, la Russie, pour, à terme, se l’adjuger !
Napoléon et Hitler ont essayé en leur temps. Chassez la bête, elle revient toujours !
Ce que vous prenez pour soutien n’est que caution : avaliser le transfert des économies des pays du continent européen dans les poches de trafiquants, utilisant la guerre comme tremplin pour se remplir les poches.
L’argent pouvant servir à faire fonctionner correctement les économies européennes, agricultures, hôpitaux, aides sociales, éducation, travail, envolé par la volonté d’une clique installée au pouvoir, avec la volonté de nous détruire.
Informons-nous pour savoir dans quel but précis Black Rock, Rothschild et autres milliardaires globalistes ont acheté plus de 50 % de terres agricoles ukrainiennes, alors que les gouvernements de l'Union font tout pour dépouiller nos paysans. N'est-ce pas dans l’intention d'exercer un contrôle absolu sur la production de nourriture, et par la même occasion asservir les peuples ?  
Dernier avatar, de la part de monsieur Macron et de sa bande de nuls malfaisants, la loi militaire qu’il a fait voter. Oh, rien, sinon un tour d’écrou supplémentaire dans sa marche vers le fascisme.
Cette loi permet la « réquisition de toute personne ou entité, physique ou morale, ainsi que tout bien ou service nécessaire, si une menace, actuelle ou prévisible, pèse sur les activités essentielles à la vie de la nation. » 
Le gouvernement justifie cette mesure en affirmant qu’elle est cruciale pour faire face à d’éventuelles crises majeures, qu’elles soient d’ordre sécuritaire, sanitaire ou autre.
Toujours d’accord pour avaler de l’anaconda, pensant déguster une bonne entrecôte ?
 
Sous l’Casque d’Erby 
 
 

6 commentaires:

  1. Le bonjour à toutes et à tous. Pas trop envie, pas trop envie, mais ce n'est pas le moment de lâcher. Le bon tout à toutes et à tous.

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  2. Salut Rodo. Je viens de donner de la graine à moudre à mes copains les passereaux. Une bonne dose, bien qu'il ne fasse pas très froid. J'ai même changé l'eau. En revanche la pluie est bien là, comme d'habitude.....
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    Concernant "les petites bonnes affaires", j'ai appris il y a quelques jours, sans être trop surpris, que dans £€ $¥$T€M€ amère loque, si fier de ses armées, il n'y a pas l'équivalent de ce qui s'appelle en France le Train des Équipages. Justement c'est Napoléon qui avait inventé cette sage initiative pour remplacer la gabegie que la Révolution avait hérité de l'ancien régime : devoir se reposer sur des initiatives privées (entre autres "les cantinières") pour sustenter, fournir en vêtements, armes, munitions, véhicules les armées en campagne. Cela donnait évidemment l'occasion de se faire des affaires en or en "graissant la patte" des officiers. C'est pour de telles avanies en particulier que Robespierre, opposé à la peine de mort, fit malgré tout raccourcir Danton. C'est pour continuer de telles avanies que le même Robespierre fut raccourci à son tour par ceux qui voulaient continuer leur fructueux manège. Henri Guillemin l'a fort bien démontré.
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    Eh bien non, les Ricains n'ont pas ça, ce qui a permis à Clo, en mission pour Antenne2 à Mogadiscio en 1994, de noter que les GI's étaient époustouflés de l'efficience française en approvisionnement : eux étaient tributaires de boîtes privées, sans doute se faisant payer cher, pour du matériel de qualité médiocre. C'est là, où elle rapportait qu'au marché noir UNE ration de combat française s'échangeait contre SIX "équivalent" US. Ce devait être de belles cochonneries.
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    Il est vrai (petit détail) que rien que ce que depuis plus d'un siècle nos bidasses appellent "le singe" est du bœuf cuit en boîte de très bon goût (j'en ai toujours un peu d'avance, au cas où). Hier justement, c'est ce que je me suis fait au repas. Avec une boîte de macédoine un peu égouttée, de l'oignon, de l'ail, un fond de graisse de canard, de la chapelure, j'ai mis ça au four une demi-heure, c'était magnifique.
    Cela se présente comme ça, et c'est fabriqué comme en 1914 à Bressuire, à une cinquantaine de kilomètres d'ici. La race parthenaise donne une viande savoureuse.
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    Oui, apparemment rien que la nourriture US doit être infecte, et cela n'aide pas le moral. Et en plus, le prix à payer doit être à la mesure de l'obésité générale là-bas.

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    1. Le bonjour Jean-Claude. J’ignorais tout de l’histoire de l’approvisionnement de l’armée et les différences entre la nôtre et l’Américaine. Quant au business que ça génère, aucun étonnement. J’ignorais tout autant les différences entre l’une et l’autre. On en apprend tous les jours. Quant aux boîtes de corned-beef, vingt-dieux, qu’est-ce que j’en ai avalées quand j’étais jeune. On avait beau me dire que c’était de la saloperie, que ça allait me donner la malemort, je te les avalais comme un forcené. Un vrai cannibale ! Ça, et les religieuses au chocolat. Qu’est-ce que j’en ai démonté comme cornettes ! Et encore maintenant, quand je me retrouve à la pâtisserie, je ne résiste pas à son appel ! La bonne journée.

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  3. Bonjour à vous,
    D'abord, il fallait que ce fut fait...Quel travail que ce billet ! Le grand public ne sait pas ce qui se passe on le sait et ce qui est encore plus déplorable c'est que le grand public ne sait pas qu'il ne sait pas.
    Fasse qu'il fasse le Tour de France afin d'éclairer tous les journaleux incultes et tous les zôtres ignorants....
    Merci à J-C pour le rappel et la photo "CORNED BEEF", j'essaierai d'en commander tantôt ! :-)
    Bon dimanche ♥
    Oma

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    1. Bonjour Oma. Le grand public ne sait pas, dis-tu. Mais que penser des initiés, ceux qui savent, la ferment et cautionnent pour garder leur privilège et ce sentiment de pouvoir sur les autres, qui les rend « supérieurs ». A ce propos, je suis tombé sur un papier qui relate des faits survenus dans la Sarthe. Une enquête a été ouverte pour « violences volontaires sur personnes dépositaires de l'autorité publique, trois jours après la défenestration de trois élus, effrayés par des pétards lancés lors d'un conseil municipal à Challes (Sarthe), a annoncé ce samedi le parquet du Mans. »
      Je n’ose pas imaginer l’état de ces défenestrés volontaires, à cause d’un bruit de pétard dans la rue. Dans la Sarthe ! Le dernier endroit où un ennemi de la nation songerait à manifester sa haine et sa violence. Eh bien, ces élus l’ont sérieusement pensé ! Il faut dire que le traumatisme est grand chez eux. Lisant l’article, on apprend, par exemple, que les agressions de ces élus dans leurs fiefs ont augmenté considérablement depuis plusieurs années. Et pour cause ! Les administrés les tiennent pour responsables du chaos qui s’installe dans le pays, avec des lois liberticides, entre autres. Mais de cela, les médias, c’est motus !
      Voici le lien : Enquête ouverte
      Bises.

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    2. Salut, Oma, Rodo, et le reste du monde ! J'avais cru comprendre que ces pétards avaient été lancés dans la salle du conseil municipal, ce qui est bien plus grave !

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