lundi 11 mars 2024

Macron : se souvenir ou ne pas oublier ?

Erby
Emmanuel Jean-Michel Frédéric Macron est né un 21 décembre dans la Somme. Que l’on nous dit ! Tout est tellement brouillé chez lui !
Du signe du Sagittaire, il est lié à l'élément du feu. Est-ce pour cela qu’il cherche constamment à faire la guerre ? À la lumière d’une agitation constante et de pulsions maladives, nous sommes en présence d'un pyromane multirécidiviste !
Fils de papa-maman exerçant tous deux dans le milieu médical, petit Macron drope chez les jésuites d’Amiens de la sixième à la première avec l’énergie d’un pur-sang.
D’Amiens à Paris, un billet de train suffit pour le faire atterrir au lycée Henri-IV, où il obtient le bac S avec mention très bien. C’est du moins ce que l’on dit, car tout est sujet à caution en ce qui le concerne, de l’avis de ceux qui s’en sont intéressés au personnage et dont les avis convergent.
Après, c’est hypokhâgne et khâgne, toujours à Henri-IV. Mais, petit coup de fatigue, il échoue au concours d’entrée à l’École normale supérieure. Pas grave, le gars finit par obtenir une maîtrise, DEA de philosophie à l'université de Paris-X-Nanterre.
Diplômé à 24 ans de l'Institut d'études politiques de Paris (2001), il étudie à l'ENA, à Strasbourg, de 2002 à 2004 dans la promotion Léopold Sédar Senghor, pour laquelle le classement final est annulé par le Conseil d'État (?!). Ce qui ne l’empêche pas d’être affecté à l'Inspection des finances, d’où il démissionne, titillé par on ne sait quel démon.
Dès lors, on le retrouve banquier d'affaires chez Rothschild & Cie sur recommandation de... Jacques Attali ! Une référence, l’Attali ! Collé comme un ormeau à l’oreille de tous les présidents français depuis Mitterrand, il sait dénicher la bonne bête !
Sans être encore un partisan déclaré des idées guévaristes, Emmanuel Macron apparaît comme un dissident rothschildien ayant gagné le maquis pour mener une guerre totale contre la pornographie capitaliste !
À ce stade de la conscientisation, il rejoint le Lider Maximo des Tupamaros français, Francisco Holanda, surnommé par ses pairs de Izquierda Revolucionaria, le « Fossoyeur » pour avoir creusé le trou dans lequel il a jeté la dépouille du socialisme à la française par une nuit sans lune.
Les lois sur le travail du dimanche, le travail de nuit, lors de l'exercice de son ministère de l’Économie sous les ordres du Fossoyeur, ne sont-elles pas annonciatrices de ce qu’il fait subir au pays depuis son élection à la présidence ? Le début d’un fascisme larvé à faire pâlir les plus ardents théoriciens de ce système politique !
Ce guérillero New-Age, addict et mégalo, avec treillis trois pièces, cousu par des couturiers sous acide, ne laisse aucune chance à ses ennemis mortels, les peuples français et russe, cherchant un choc frontal avec Vladimir Poutine et la Fédération de Russie depuis que l’Otan l’a ainsi décidé.
Dès sa prise de fonction à la tête du pays, sa mission est on ne peut plus claire : détruire un maximum de commerces et son lot de petits bourgeois, cette classe moyenne faisant le lien entre le haut et le bas de la société, est de trop ; se défaire du surplus de viocs, ne servant qu’à parasiter l’économie, empêchant les actionnaires de profiter pleinement de leurs gains ; traumatiser la jeunesse, l’empêchant de vivre une vie normale, la poussant au suicide par manque d’avenir ou à l'envoyer au casse-pipe en Ukraine. Confiner tout un peuple et l’obliger à se faire vacciner, avec des vaccins expérimentaux aux effets secondaires mortifères, c’est son œuvre. N’a-t-il pas déclaré : « nous les aurons, ces connards », se référant à ceux qui refusaient le poison ? N’a-t-il pas attisé les antagonismes, donnant carte blanche aux communautés, les poussant jusqu’au bord de la guerre civile, crachant sur le pays une bile haineuse, sans jamais intervenir pour apaiser comme c’est le devoir d’un Chef digne de ce nom ? Démonté l’économie, en générant du chômage et laissé aller la dette du pays jusqu’à la faillite ? Faire piquer massivement les français dans le but d’enrichir multinationales, laboratoires et cabinets-conseil ? Réduire la France à une province de la galaxie globaliste, afin de favoriser une immigration massive, grâce à l’étoile gravitationnelle, Soros, militant du grand remplacement, pour qui le monde est un grand parc d’attraction et les humains des animaux de compagnie ?
Macron est l’Élu de l’élite, que personne dans la classe politique n’ose chasser. Pourquoi ?
 
Sous l’Casque d’Erby 
 

 

11 commentaires:

  1. Le bonjour à toutes et à tous. Pas trop le temps, ces temps-ci. Mais, quand faut s'arracher. La bonne journée.

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  2. Ah Rodo.....
    Cela me rappelle avec insistance dans le film Le Corniaud, cette remarque exaspérée de Saroyan « Alors là, il m'épate, il m'épate.... » tant ce billet est d'une pertinence aiguë digne des Grands Auteurs Disparus — je dis bien disparus, parce qu'aujourd'hui, sans doute y en a-t-il encore malgré les coupes sombres faites à la LANGUE, mais justement, cette langue fut virtuellement mais efficacement coupée.Égaler un Paul Valéry n'est pas donné à tout le monde.
    Il a beau pleuvoir, nous allons CONTINUER. Foi d'animal.
    Jean-Claude, sis près de l'impasse (!) où se termine l'Avenue Malherbe !

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  3. Bonjour mes "chers", ♥
    Merci Rod, et comme je suis d'accord avec Jean-Claude: " billet est d'une pertinence aiguë digne des Grands Auteurs" ... Tes pauses sont riches et fructueuses quand tu t'arraches !
    Encore ! Bises ;-)
    Oma

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  4. Les hommes politiques, j'vais vous faire un aveu, ne sont pas bêtes. Vous vous rendez compte de la gravité ? Ils sont intelligents. Ça veut dire que tout ce qu'ils font, ils le font exprès. Ils y réfléchissent, ils y pensent. Parce que, vous comprenez, si c'était des cons, ça irait tout seul. On dirait : « Bon, beh, c'est des cons. » Nan, nan, nan, nan. Les présidents et les dirigeants des pays qui ont laissé crever l'Afrique, l'Amérique du Sud et bientôt les Indes, c'est des gens qui le font exprès.
    Coluche
    Coluche
    Artiste, Comique (1944 - 1986)

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  5. "La moitié des hommes politiques sont bons à rien, mais l’autre moitié est prête à tout.
    La seule chose qui soit vraie dans le journal, c’est la date."

    Qu'il a dit le Coluche ! ;-)
    Oma

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  6. "La moitié des hommes politiques sont bons à rien, mais l’autre moitié est prête à tout.
    La seule chose qui soit vraie dans le journal, c’est la date."

    Qu'il a dit le Coluche ! ;-)
    Oma

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  7. Bonjour à tous. Pas beaucoup de temps pour commenter, mais une constante : la roue tourne et revient à son point de départ. Cela ressemble au mythe de Sisyphe. Ce caillou qu’on pousse vers le haut, revenant inlassablement à son point initial.
    Une minorité s’est approprié le bien terrestre, se passant le témoin de génération en génération et, hormis quelques soubresauts historiques pleins d’espoirs, perpétue l’emprise sur le monde.
    Des victoires pour les uns, des défaites pour les autres. Et à chaque défaite, quelqu’un est là qui relève le gant pour que leur victoire ne paraisse trop insolente et nos défaites trop amères. Il nous reste l’orgueil de ne pas abdiquer, nous mettre en danger s’il le faut pour que leur victoire ne leur soit trop facile et notre découragement définitif. Ce serait alors la défaite de trop !
    Dès lors, le combat n’est pas un caprice, c’est une nécessité. La bonne journée. Je m’en vais tronçonner les arbres tombés par la tempête !

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    1. Courage Rodo ! Seule consolation : tu as du bois pour la cheminée pour des années ! Cela me rappelle l'époque où mon père faisait de la poudre avec du chlorate, du charbon de bois et du soufre, afin de faire éclater des souches trop dures pour la scie (les tronçonneuses n'existaient pas encore). Seul apport extérieur : il lui fallait une autorisation préfectorale pour acheter de la mèche à un organisme spécialisé. Avec une grosse tarière datant de mon arrière-grand-père menuisier-charpentier, il creusait un trou dans la souche, bourrait de poudre, plaçait un bout de mèche, et rebouchait le trou avec de la cendre bien tassée.
      Une fois qu'il "s'amusait" à ce genre de jeu, accompagné d'un parent ancien agent de police à La Rochelle, des gendarmes intrigués par le bruit son venus voir, et ont été très impressionnés : les morceaux volaient à plus de dix mètres.

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    2. Bonjour Jean-Claude. Pour avoir du bois, j'ai du bois ! J'attends maintenant la venue d'un gars avec sa défonceuse pour faire éclater tout ça. Certaines souches ont un diamètre de 1 mètre. Pas facile à porter. Mais nous allons y arriver.
      En revanche, je découvre la technique de la poudre avec du chlorate, du charbon de bois et du soufre. Et la vigilance qu’il fallait pour éviter les éclats ! C’est quand même plus commode de nos jours.
      La bonne journée.

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    3. Salut rodo !
      C'est sûr que la poudre, c'était assez dangereux ! Mon père m'avait dit une fois que sur une souche particulièrement dure et vieille, il avait dû forcer un peu la dose, et que certains éclats parfois assez gros s'étaient retrouvés à quelque 20 mètres de l'explosion ! Après, avec une vieille scie à lame circulaire, mon grand-père ramenait les morceaux à 50 cm de long, pour fournir l'immense cheminée de l'ancien atelier de menuiserie, devenu la cuisine familiale (50 m², 4m50 de haut). Il en débitait ainsi tous les ans environ 30 stères....

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  8. https://wp.me/p4Im0Q-6eB - Quand on veut être « Néron + » on nait à Amiens en Somme ! Quel rôle, lui qui a eu une sacrée maîtresse es-qualité, d’autant qu’il ne peut n’y en avoir qu’un par millénaire! Ajouté à ses 562 milliards annuels mal gaspillés, c’est « la potée ose » en bouquet final suicidaire

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