samedi 16 avril 2022

Présidentielle : la peste ou le choléra ? Les deux Monseigneur !

Erby
Il est plus crédible de croire à la téléportation d’un pigeon voyageur sur la planète Mars en un battement de cil qu’au pourcentage des voix obtenu par Emmanuel McKinsey au premier tour de l’élection présidentielle. Penser une telle chose possible ouvre des voies nouvelles dans le domaine des sciences cognitives.
Debout les morts ! Vous aussi, vous avez le droit de quitter vos caveaux sans lumière - tant pis pour les incinérés, ils n’avaient qu’à faire le bon choix – pour vous rendre aux urnes. Qu’importe l’enveloppe pourvu qu’on y trouve l’ivresse. Venez festoyer pour célébrer l’ère nouvelle, dans un monde où l’on se frotte les coudes en guise de salutations ! Car si cela semblait étrange il y a deux ans, aujourd’hui et dorénavant cela est la norme. 
Quel nouveau prodige pourrait-il survenir pour émerveiller les esprits, pourtant lassés par l’abondance d’effets spéciaux dont les illusionnistes de la classe politique submergent le manant ?
Si la pandémie est momentanément en mode off jusqu’à sa reprise en automne prochain, il ne faut point se relâcher. Le troupeau a besoin de pitance et le manque de foin pourrait provoquer une crise majeure… Pour entretenir le suspense y a bien ce Diable de Poutine qui serre implacablement sa mâchoire sur les amis de l’UE et des gauchistes belliqueux, ces sympatoches ukronazis qui martyrisent depuis huit ans les populations du Donbass sans que personne ne s’en émeuve. Or ça commence à s’essouffler. Il faut du neuf !
L’opinion a besoin d’électrochoc dans l’entre-deux tours afin de lui faire accepter la seule position qui sied à sa condition, la prosternation. Les gens sont gavés de fausses informations, d’attentats sous faux drapeaux… C’est tellement gros que même les esprits les plus lents finissent par découvrir la ficelle.
Comment faire pour enjamber le scandale d’un trucage électoral sans trop de vagues ? Dire que Marine Le Pen emprunte l’argent de sa campagne en Russie ? Ouh ! Ouh ! la vilaine ! Alors qu’il eut été plus facile de faire comme Manu, aller se servir à la source, chez Rothschild !
Non, cette histoire d’emprunt russe ne prend pas non plus. Reste quoi en boutique ? Il faut quelque chose qui frappe vite et fort le « couillon » dans son fondement !
Comme pour la pandémie il faut de la trouille. On met le paquet ! Si la Le Pen passe, attendez-vous à des catastrophes innommables ! Elle ouvrirait nos frontières (imaginez ça !) à une armée de cosaques conduite par Vladimir Vladimirovitch Poutine, s’éparpillant aux six coins de l’Hexagone, répandant sur son sol fertile une semence insane. Quelle horreur !
Mais ce n’est pas tout. En cas d’élection, la Le Pen aurait accès au Bouton Nucléaire ! Et ça c’est pire que pire !
Autant rester comme nous sommes : le nez dans le purin. Certes ce n’est pas la joie, mais dans l’adversité… 
Après tout, Pfizer nous aide à supporter les attaques virales en augmentant le nombre de piqures, passant à une par semaine pour accélérer le processus de désintégration sensoriel. McKenzie mettant tout son talent en œuvre pour présider au destin du pays avec une facturation ad hoc.
Tout va bien !

Sous l’Casque d’Erby 




5 commentaires:

  1. Le bonjour et le bonjour. Comme on fait son lit on se couche. Le bon weekenge.

    RépondreSupprimer
  2. Comme tu dis amigo, foutre la trouille, çà marche !!!!@ivanrioufol

    Et comme dit Yvan RIOUFOL, les mobilisations #antiLePen des mondes universitaire, culturel, médiatique, sportif, économique, syndical, politique, préfectoral, etc. rappellent ce que furent les attaques du Système contre #Trump en 2016. Ces "démocrates" redoutent le réveil des peuples.

    On peut baratiner a l'infini, la question est comment un type aussi détesté, avec une collection de casseroles jamais vue, qui a tout raté, promettant recul social, guerre et pénuries peut faire un tel score!

    oma

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Hélas chère Oma, pour ceux qui pensent encore qu'une élection "nationale" représente des valeurs "démocratiques" et que tel candidat, si mauvais soit-il, vaut mieux que tel ou telle autre, monsieur Boris Karpov ne le rassure pas dans le billet que voici. Un candidat est par essence un agent de l'Empire, puisque tout se décide ailleurs que dans le pays où il fait campagne. Un peu de lecture pour s'en convaincre : Plus que quelques semaines avant le « Grand Reset »: Guerre mondiale


      Supprimer
    2. Hélas, on n'a plus avant le grand chambardement qu'à le serrer la pince, Monseigneur...
      https://www.youtube.com/watch?v=1oYvA0IDY2s

      Supprimer
    3. Euh.... "qu'à TE serrer la pince"..... j'm'as gourré !
      JC

      Supprimer