lundi 18 janvier 2021

Demande pas pour qui sonne le glas

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Tout concorde. La Pandémie est un leurre, donc un mensonge et un crime passible d’une peine contondante. De celles qui marquent durablement les esprits. Sous couvert de Sécurité Sanitaire on nous prépare au règne des psychopathes.
Si rien n’est encore écrit à 100 %, tout est en place pour la mise en pratique de ce que tout le monde appelle avec pudeur le Grand Reset et qui n’est autre chose que l’avènement du grand esclavage par la dictature totale.
Nous étions déjà en prison, une minorité le dénonce sans relâche, se faisant ridiculiser par « savants » et idiots qui en des termes très humiliants tentent de la disqualifier.
Nous voilà désormais tous alignés comme à la parade, recevant consignes sur consignes de la part de gardes-chiourme costumés « dernier chic » par des couturiers d’une autre galaxie. Pensant qu’ils ont sauvé leurs fesses, ils paradent comme des chapons avant que Noël ne leur tombe dessus. Ils ne réalisent pas – pas encore – qu’ils auront à partager leur vie durant le même espace que les condamnés.
Naître, vivre et mourir en prison, quel étrange destin ! Quel rêve merveilleux pour la minorité dominante.
Tout a commencé par un virus insignifiant à qui on a collé l’étiquette « mortel ». Pardon ! Les mots ont leur importance : « virus létal » ! C'est  plus porteur.
Et soudain, comme dans un concert d’AC/DC, à la belle époque des sublimes insouciances, les cons, bien plus nombreux et dangereux que nos tortionnaires qui ne sont qu’un minuscule 1 %, ont répercuté de la létalité jusque dans les caves les plus sombres du Vatican.
Dieu étant absent, pour des raisons qu'on ignore, le Diable et ses démons ont dansé comme on danse les nuits de la Saint Jean, autour de grands feu de joie, brûlant nos croyances comme on grille du poisson dans les paillotes de bord de mer en été.
Pendant ce temps, dans les bourgs, le glas ne sonne pas plus que d’ordinaire et les cloches rouillent d’un mortel ennui.
« Des promesses ! Des promesses ! », tintent-elles dans un spasme grotesque et silencieux.
N’est-il pas que les grandes douleurs sont muettes ?

Sous l’Casque d’Erby




2 commentaires:

  1. Le bonjour aux caillardeuses et aux caillardeux. Ben, il faut se rendre à l'évidence, non ?

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  2. ooma

    Excellent encore...Bien sûr qu'on doit se désoler que:

    Pendant ce temps, dans les bourgs, le glas ne sonne pas plus que d’ordinaire et les cloches rouillent d’un mortel ennui...

    Là, de çà, on en est loin encore: "il faut beaucoup d'indisciplinés pour faire un peuple libre." Bernanos

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