Guerrière - M art' IN |
La première partie de ce billet est parue le dimanche 8 décembre sous le titre : « La Fille de Tribu... Ayapad'yaka-focon ». Se terminant par l'annonce de 4 souhaits d'orientation : 1-contre la corruption, 2- tout simplifier, 3- liberté, solidarité, justice sociale, 4- imaginer... Ici résumés par le titre « Justice Sociale ». Voici la suite de ce billet consacré à présenter une future libre candidate à la Présidence de la République Française, désormais Jeanne Moulin. Rém*
*
Note - Mon nouveau nom d'avenir fait vaguement allusion à la légendaire Pucelle d'Orléans et précisément allusion à Jean Moulin : Ce héros est mort avant que la Résistance ne termine sa tâche par le célèbre Programme du CNR qui tant nous guide et inspire depuis 67 ans. Pour demain...
1- Contre la corruption
Je souhaite restaurer les vrais valeurs de la dignité humaine, fondée sur la liberté et le respect : valeurs de dignité et créativité, confiance et gratuite joie de vivre dans nos différences individuelles et notre solidarité sociale...
Hélas, toute la société humaine est désormais fondée sur l'argent - salariat, allocations, dividendes, trafics, etc. - : la corruption y règne donc. C'est une règle non écrite absolue, à tout niveau. Vicieux fléau de saines mentalités si elles sont dominées par « l'intérêt à court terme », du moindre citoyen lambda que je suis comme vous au plus féroce boss de la pègre : l'honorable gros patron de banque...
Avant d'arriver à supprimer l'argent – qui ne devrait être que simple écriture comptable, sans circulation monétaire -, déjà combattre son fruit le plus vénéneux qu'est la corruption.
Toute la politique et toute la morale du monde ne restent que blablas impuissants sans une vraie « insurrection des consciences », individuelle, générale, sincère. Motivée par la connaissance des ravages de la corruption (argent, cadeaux, favoritisme...) et la lutte opiniâtre contre elle, individuellement et ensemble.
Voilà déjà l'esprit de « tout le programme » !
2- Tout simplifier
« L'usine à gaz » est une image courante et juste pour dire la complexité inouïe de dispositions législatives ou bureaucratiques. Certes, la complexité est réelle dans beaucoup de cas : par exemple celle d'établir des responsabilités d'accidents ou incidents (soins, circulation, production, consommation, loisirs...). Mais tout « l'art » des politiques dignes de ce nom serait de ne pas rajouter de la complexité artificielle, mais de la simple clarté pour mieux gérer la naturelle complexité des choses, ses facteurs imbriqués, etc.
Cela demande de la bonne volonté plus encore que du talent. Et, faute d'efforts de ces « décideurs politiques », les filous redoublent d'efforts pour contourner la loi ou le règlement... phénomène courant et apparenté à la corruption : « le règne de la combine »...
Un exemple parmi d'autres : la plupart des contrats (assurances, etc.) ont des clauses imprimées en tout petits caractères, dans un charabia obscur, tout comme bien des notices ou mode d'emploi de biens de consommation (durée et conditions de garantie, etc.). Il est évident que tout cela peut être clair et simplifié : le sera si l'utilisateur, vous et moi, est privilégié, pas la combine de vente opaque par lucre... à prix souvent « arrangés » entre pseudo-concurrents « libres et non-faussés » de l'hypocrite loi de l'« économie libérale » à la mode « TINA »!
3- Liberté, solidarité, Justice-Sociale
En trois mots très liés, là est l'essentiel de mes vœux. Des vôtres, dores et déjà ou tout bientôt ? Ces trois mots disent que nous sommes tous, individuellement, « de l'élite » comme certains se le proclament orgueilleusement. Ou alors, plus simplement, qu'il n'y a pas d'élite. Juste, dans un domaine particulier, des compétences différentes et complémentaires entre citoyens libres et solidaires. Chacune et chacun conscient d'être dans le même bateau « Justice Sociale ».
Cela implique des renoncements à des privilèges, parfois bien ancrés dans les usages, de plus en plus nuisibles à notre avenir à tous. Je pense à l'arrogance « élitaire » des professions dites « libérales » qui s'arrogent des revenus et combines énormes. Et sont de fait complices avec les « requins de la finance », les pires bourgeois et successeurs de la noblesse déchue. Mais il y a bien d'autres secteurs privilégiés à l'excès : souvent défendus par des syndicats corporatistes, comme la FNSEA ou par de classiques syndicats via les « revendications catégorielles » de telle ou telle profession honorable (métallo ou marin, mais aussi policier ou magistrat, etc.). Et puis, enfin, il y a une foule de petits-bourgeois-peureux-et-résignés, classique proie du consumérisme et autres idoles de la pseudo-modernité. « Classe moyenne » dit-on (ce « on est un con » dit le proverbe populaire) dans les médias, accrochée à la fiction de stabilité ou d'ascension sociale, alors qu'elle subit le choc de l'artificielle « Crise structurelle » : saisies hypothécaires, chômage...
C'est à Pôle Emploi qu'on se retrouve égaux (ou plus égaux), face à la réalité sociale basée sur l'inégalité de revenus de 1 à 100 (en fait de 1 à 10.000, mais le haut de la pyramide a son pôle).
Et c'est vers une égalité de revenus pour tous que je me propose de vous emmener. D'abord via un revenu minimum d'existence, à vie, modulable selon l'âge et les cas (handicaps, etc.). Ensuite via une échelle de salaires (avant sa suppression!) de 1 à 2, modulable (risque, pénibilité, etc.)... « Mais c'est la Révolution! » Ah bon ? Ben allons-y gaiement, gentiment... ensemble !
4- Imaginer !...
La classe possédante manque d'imagination : elle règne. Voit les fissures de la pyramide sous elle et... colmate, par la loi qu'elle a faite et la force « publique » qu'elle privatise. Dans le Monde entier comme ici. Elle manque d'imagination, croit qu'il suffit de nous plumer pour nous faire peur, elle nous prend pour des oiseaux. Après son « miroir aux alouettes » pour tromper les plus crédules par ses trucs de « Droit » pour légiférer à sa guise, elle utilise son « épouvantail à moineaux », son arsenal répressif pour régner par la peur. Mais même les piafs finissent par nicher dans le pantin de paille, dérisoire...
A plus forte raison, les peuples humains, partout, apprennent à ne plus avoir peur. Avec imagination, ils renouvellent les astuces dans leurs luttes de classes anti-capitalistes : inventent. Héroïquement comme en Afrique du Sud contre l'apartheid, hier, et en Palestine depuis 70 ans contre le nouvel apartheid sioniste. La peur change de camp : les « maîtres » paniquent. Y compris en Grèce contre la Troïka « européenne », en Ukraine contre les nostalgiques de Staline (et hélas pour le miroir aux alouettes de cette même fausse Europe, provisoirement)...
En France, mon projet de candidature fait partie des multiples initiatives créatrices d'audace.
Dans un dernier billet, je présenterai ici l'avant-projet des premières mesures concrètes que je pense devoir prendre comme présidente de la République :
1- Les astuces populaires pour contourner le refus du Conseil Constitutionnel à ce qui suit :
2- Un GPRF (gouvernement provisoire de la République Française) pour clore la 5° République.
3- Un magistère collectif de la Justice Sociale regroupant les actuelles fonctions du 1° ministre, de la Garde des Sceaux, du Premier Flic de France, du Collecteur des impôts et du Gérant du Trésor... Et surtout l'organisme de mise en chantier de la Nouvelle Constitution !
4- Des Missions ad-hoc et provisoires d'actuels ministères comme la Santé, l'Éducation, etc. Dont une diplomatie d'orientation très différente, vis à vis de l'Europe, du Monde (Palestine...).
5- Je démissionnerai une fois la Constitution adoptée par référendum à 65% minimum.
Place aux Jeunes !
1- Contre la corruption
Je souhaite restaurer les vrais valeurs de la dignité humaine, fondée sur la liberté et le respect : valeurs de dignité et créativité, confiance et gratuite joie de vivre dans nos différences individuelles et notre solidarité sociale...
Hélas, toute la société humaine est désormais fondée sur l'argent - salariat, allocations, dividendes, trafics, etc. - : la corruption y règne donc. C'est une règle non écrite absolue, à tout niveau. Vicieux fléau de saines mentalités si elles sont dominées par « l'intérêt à court terme », du moindre citoyen lambda que je suis comme vous au plus féroce boss de la pègre : l'honorable gros patron de banque...
Avant d'arriver à supprimer l'argent – qui ne devrait être que simple écriture comptable, sans circulation monétaire -, déjà combattre son fruit le plus vénéneux qu'est la corruption.
Toute la politique et toute la morale du monde ne restent que blablas impuissants sans une vraie « insurrection des consciences », individuelle, générale, sincère. Motivée par la connaissance des ravages de la corruption (argent, cadeaux, favoritisme...) et la lutte opiniâtre contre elle, individuellement et ensemble.
Voilà déjà l'esprit de « tout le programme » !
2- Tout simplifier
« L'usine à gaz » est une image courante et juste pour dire la complexité inouïe de dispositions législatives ou bureaucratiques. Certes, la complexité est réelle dans beaucoup de cas : par exemple celle d'établir des responsabilités d'accidents ou incidents (soins, circulation, production, consommation, loisirs...). Mais tout « l'art » des politiques dignes de ce nom serait de ne pas rajouter de la complexité artificielle, mais de la simple clarté pour mieux gérer la naturelle complexité des choses, ses facteurs imbriqués, etc.
Cela demande de la bonne volonté plus encore que du talent. Et, faute d'efforts de ces « décideurs politiques », les filous redoublent d'efforts pour contourner la loi ou le règlement... phénomène courant et apparenté à la corruption : « le règne de la combine »...
Un exemple parmi d'autres : la plupart des contrats (assurances, etc.) ont des clauses imprimées en tout petits caractères, dans un charabia obscur, tout comme bien des notices ou mode d'emploi de biens de consommation (durée et conditions de garantie, etc.). Il est évident que tout cela peut être clair et simplifié : le sera si l'utilisateur, vous et moi, est privilégié, pas la combine de vente opaque par lucre... à prix souvent « arrangés » entre pseudo-concurrents « libres et non-faussés » de l'hypocrite loi de l'« économie libérale » à la mode « TINA »!
3- Liberté, solidarité, Justice-Sociale
En trois mots très liés, là est l'essentiel de mes vœux. Des vôtres, dores et déjà ou tout bientôt ? Ces trois mots disent que nous sommes tous, individuellement, « de l'élite » comme certains se le proclament orgueilleusement. Ou alors, plus simplement, qu'il n'y a pas d'élite. Juste, dans un domaine particulier, des compétences différentes et complémentaires entre citoyens libres et solidaires. Chacune et chacun conscient d'être dans le même bateau « Justice Sociale ».
Cela implique des renoncements à des privilèges, parfois bien ancrés dans les usages, de plus en plus nuisibles à notre avenir à tous. Je pense à l'arrogance « élitaire » des professions dites « libérales » qui s'arrogent des revenus et combines énormes. Et sont de fait complices avec les « requins de la finance », les pires bourgeois et successeurs de la noblesse déchue. Mais il y a bien d'autres secteurs privilégiés à l'excès : souvent défendus par des syndicats corporatistes, comme la FNSEA ou par de classiques syndicats via les « revendications catégorielles » de telle ou telle profession honorable (métallo ou marin, mais aussi policier ou magistrat, etc.). Et puis, enfin, il y a une foule de petits-bourgeois-peureux-et-résignés, classique proie du consumérisme et autres idoles de la pseudo-modernité. « Classe moyenne » dit-on (ce « on est un con » dit le proverbe populaire) dans les médias, accrochée à la fiction de stabilité ou d'ascension sociale, alors qu'elle subit le choc de l'artificielle « Crise structurelle » : saisies hypothécaires, chômage...
C'est à Pôle Emploi qu'on se retrouve égaux (ou plus égaux), face à la réalité sociale basée sur l'inégalité de revenus de 1 à 100 (en fait de 1 à 10.000, mais le haut de la pyramide a son pôle).
Et c'est vers une égalité de revenus pour tous que je me propose de vous emmener. D'abord via un revenu minimum d'existence, à vie, modulable selon l'âge et les cas (handicaps, etc.). Ensuite via une échelle de salaires (avant sa suppression!) de 1 à 2, modulable (risque, pénibilité, etc.)... « Mais c'est la Révolution! » Ah bon ? Ben allons-y gaiement, gentiment... ensemble !
4- Imaginer !...
La classe possédante manque d'imagination : elle règne. Voit les fissures de la pyramide sous elle et... colmate, par la loi qu'elle a faite et la force « publique » qu'elle privatise. Dans le Monde entier comme ici. Elle manque d'imagination, croit qu'il suffit de nous plumer pour nous faire peur, elle nous prend pour des oiseaux. Après son « miroir aux alouettes » pour tromper les plus crédules par ses trucs de « Droit » pour légiférer à sa guise, elle utilise son « épouvantail à moineaux », son arsenal répressif pour régner par la peur. Mais même les piafs finissent par nicher dans le pantin de paille, dérisoire...
A plus forte raison, les peuples humains, partout, apprennent à ne plus avoir peur. Avec imagination, ils renouvellent les astuces dans leurs luttes de classes anti-capitalistes : inventent. Héroïquement comme en Afrique du Sud contre l'apartheid, hier, et en Palestine depuis 70 ans contre le nouvel apartheid sioniste. La peur change de camp : les « maîtres » paniquent. Y compris en Grèce contre la Troïka « européenne », en Ukraine contre les nostalgiques de Staline (et hélas pour le miroir aux alouettes de cette même fausse Europe, provisoirement)...
En France, mon projet de candidature fait partie des multiples initiatives créatrices d'audace.
Dans un dernier billet, je présenterai ici l'avant-projet des premières mesures concrètes que je pense devoir prendre comme présidente de la République :
1- Les astuces populaires pour contourner le refus du Conseil Constitutionnel à ce qui suit :
2- Un GPRF (gouvernement provisoire de la République Française) pour clore la 5° République.
3- Un magistère collectif de la Justice Sociale regroupant les actuelles fonctions du 1° ministre, de la Garde des Sceaux, du Premier Flic de France, du Collecteur des impôts et du Gérant du Trésor... Et surtout l'organisme de mise en chantier de la Nouvelle Constitution !
4- Des Missions ad-hoc et provisoires d'actuels ministères comme la Santé, l'Éducation, etc. Dont une diplomatie d'orientation très différente, vis à vis de l'Europe, du Monde (Palestine...).
5- Je démissionnerai une fois la Constitution adoptée par référendum à 65% minimum.
Place aux Jeunes !
Sous l'casque d'Erby
Et youpiiiii ! Des mesures comme je les aime. Mais tu t'en doutais, Rem*. Continuons le combat.
RépondreSupprimerYoupiiii ! chante déjà le coq de combat (de classe!) babel en pleine nuit, bien avant l'aube ! çà, c'est classe...
SupprimerLe billet est agrémenté d'un Erby de classe, en prime : droit au but...!
Et, en en-tête, une magnifique Jeanne Moulin d'énergique stature, signée de sa sœur M'art IN que j'embrasse.
(encore que la Jeanne dont je me fais ici le porte-parole ressemble plutôt à l'énergique Aminata Traoré - voir la video d'hier)
Merci à vous trois, les amichh, et au 4°larron, lediazec, à qui je vais signaler quelques menues coquilles à rectifier : il paraît que je peux le faire, mais j'sais pas bien y faire, en vieux ballot...
Oui ! Continuons le combat !
SupprimerMerci d'apprécier mon crobard, mais je ne pense pas qu'il soit très adapté à ton article. Mon "Droit au butt" ( avec deux "T", qui dans le slang anglophone signifie "cul" ) est plutôt satirique et scatologique étant donné la prestation footeuse - pour ne pas dire merdique - de l'OM !... ;-)
Perso, j'ai trouvé le décalage absolument admirable !
SupprimerLe Bourilhou - J'avais bien compris l'allusion au "butt" argotique et l'allusion aux merdes de l'OM... mais, bof, puisque tu as détourné le mauvais but de l'OM en beau "butt" de la Fanny, j'ai détourné ta Fanny et ma Jeanne... qui offre déjà ses beaux seins à voir grâce à l'artiste Martine, alors pourquoi pas son beau cul grâce à l'artiste Le Bourilhou-and-Erby C° !...
SupprimerBonjour les caillounautes. Temps merveilleux.
RépondreSupprimerA l'instar de Babel, je dis Youpi et re-Youpi. Bien que rétif à toute forme de gouvernement et donc de programme, celui-ci ne me laisse pas de marbre. Plan anti-corruption drastique, justice sociale, solidarité à tous les étages de la casbah politique, la mise à bas de la bureaucratie et, pour couronner le tout, la touche d'imagination sans laquelle aucun projet n'est viable !
Je retiens tout particulièrement la dernière ligne de ce séduisant programme : "Je démissionnerai une fois la Constitution adoptée par référendum à 65% minimum... Place aux Jeunes !"
Emballé, c'est pesé !
Moi, la ligne la plus séduisante reste pourtant :
Supprimer"Les astuces populaires pour contourner le refus du Conseil Constitutionnel" : c'est l'appel-au-peuple...
"il y a une foule de petits-bourgeois-peureux-et-résignés, classique proie du consumérisme et autres idoles de la pseudo-modernité. « Classe moyenne » dit-on (ce « on est un con » dit le proverbe populaire) dans les médias, accrochée à la fiction de stabilité ou d'ascension sociale, alors qu'elle subit le choc de l'artificielle « Crise structurelle » «
RépondreSupprimerC’est ceux là qui nous empêcherons d’avancer avec tous leurs envieux pauvres qui espèrent leur ressembler
Ceux-là ne nous empêcherons pas d'avancer, ni les envieux de ceux-là... Ils nous mettent et mettrons des bâtons dans les roues, oui, mais ils sont divisés, égoïstes, pratiquant le "tous contre tous" débile, alors que nous apprenons - difficilement - à nous unir. Je vais encore le vérifier aujourd'hui dans une opération d'occupation des parkings nazairiens ("Vinci") du comité local anti-aéroport de N-D des Landes... alors que le préfet, à Nantes claironne que le chantier NDDL aura le feu vert bientôt (Ouest-France du jour!)...
SupprimerTout cela sens bon le printemps, moi qui ne voulais plus voter, je sens que je vais m’y remettre ma soeur....
RépondreSupprimerAvec d'autres opposants à l'aéroport de NDDl, j'ai renvoyé, déchirée, ma carte d'électeur à F.H. et ne voterai un jour que SI "la Jeanne" arrive à obtenir légalement (c'est pas évident...) le droit de présenter sa candidature !
SupprimerEt je souhaite, dans le cas contraire, qu'il y ait je ne sais quoi de "off" à inventer dans le "festival officiel du théâtre des Présidentielles"... !
"festival officiel du théâtre des Présidentielles ».
Supprimernon pas « off », plutôt FO...TP
Voici le résultat d’une pétition contre le chalutage en mer profonde.
RépondreSupprimerJ’était à mille lieu de penser que l’on était en train de massacrer les espèces profondes et qu’en plus c’était « Intermarché », « Casino et « Carrefour » qui se donnaient à ses joyeuseries. C’est à dire qu’ils racle les eaux profondes pour ne garder que trois poissons tout le reste ne sert à rien. Une véritable horreur. Allez voir sur leur site en fin de page. Voici le résultat de la pétition pour l’instant.
"Vous l’avez vu dans la presse : nous avons perdu le vote du 10 décembre sur l’interdiction du chalutage profond à quelques voix.
Mais la liste de vote était confuse car il fallait en réalité d’abord REJETER le premier amendement de façon à pouvoir voter l’interdiction du chalutage profond. Si ce premier amendement était adopté, il faisait TOMBER les amendements suivants et empêchait même de se prononcer sur l’interdiction du chalutage profond.
De nombreux députés se sont trompés et ont adopté l’amendement au lieu de le rejeter. Parmi eux, figuraient certains de nos « champions » qui avaient publiquement défendu l’interdiction du chalutage profond. Dès qu’ils se sont rendu compte de leur erreur, ils ont fait rectifier leur vote.
Résultat ?
Nous avons gagné à 343 votes contre 330 !
Mais… cette victoire ne peut pas être prise en compte d’un point de vue légal. Il n’existe aucun recours.
Nous aurons donc gagné dans les archives du Parlement… mais perdu le vote.
C’est une situation incroyable. Elle montre combien chaque détail compte pour savonner la piste à un adversaire politique, pourquoi la préparation des listes de vote est cruciale, pourquoi le délai entre la publication des listes de vote et le vote lui-même compte tant…
Mais cela prouve aussi que nous aurions dû gagner, que nous avons gagné !
Notre mobilisation a eu des résultats concrets et ce n’est que le début :
- Une semaine avant le vote, le 2 décembre, CASINO annonçait l’arrêt des ventes d’espèces profondes en janvier 2014,
- La veille du vote, le 9 décembre, CARREFOUR annonçait une mesure similaire qui serait mise en place d’ici juin 2014,
- Quelques heures après le vote, Intermarché publiait sur sa page Facebook que sa flotte souhaitait désormais éviter de cibler les espèces profondes.
Votre mobilisation a convaincu les acteurs économiques d’agir là où les élus échouent.
Nous reviendrons vers vous d’ici quelques jours pour vous donner des indications concrètes pour les étapes suivantes.
D’ores et déjà, visons un million de signatures à notre pétition pour faire connaître nos attentes au gouvernement français. Leur position ne reflète même pas la réalité socialiste française car nombreux sont les élus et militants socialistes qui soutiennent l’interdiction du chalutage profond.
La France doit réparer les dégâts qu’elle a occasionnés. Elle peut négocier avec les industriels (surtout Intermarché) la période de transition pour sortir du chalutage profond et proposer une interdiction de cette méthode de pêche au Conseil d’ici 3 ou 4 ans au lieu des deux années jusqu’ici proposées par l’Europe.
La France peut et doit devenir force de proposition au Conseil des ministres européens.
Continuez à partager notre pétition sur les réseaux, likez notre page FACEBOOK, suivez-nous sur Twitter et rejoignez-nous en devenant membre pour seulement 10 euros par an ici : http://www.bloomassociation.org/nous-soutenir/.
A très vite pour de prochaines étapes
Très amicalement,
L'équipe BLOOM »
Dommage que tu n'aies pas mis le lien pour "BLOOM". Comme je suis signataire de la pétition, j'avais déjà lu son compte-rendu, que tu as bien raison de reproduire ci-dessus. Cette "embrouille" de règlements en "usine à gaz" a fait que le refus de cette pêche odieuse est passé de majoritaire - en fait - à minoritaire - légalement !!! : C'est un cas typique du "pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué?", méthode de malfrats du détournement de la SIMPLE démocratie "Un humain=Une voix"...
SupprimerDirect au trou, c'est décidément ce qu'ils nous faut. Peut-être que cela permettra à certains de se rendre compte à qu'elle point la sodomie est un sport national propagandé par les "zélus" du peuple !! Il faut comme tu dis Remi tout remettre à l'endroit et à plat. Adoptons ta constitution à 69%
RépondreSupprimerAh çà... l'anonyme de dimanche dernier a encore dit la vérité;.. poil au pied !
SupprimerOn a le droit de se présenter à une élection française en étant affublé d'un pseudonyme grandiloquent et ridicule ? J'ai comme l'impression que ça va pas l'faire…
RépondreSupprimerBonjour Didier. Comment que ça va bien ?! Je découvre ton post. Comme dit mon facteur, ce n'est ni l'enveloppe ni le design du timbre qui compte mais ce que l'on trouve dedans...
SupprimerComme vous, moi aussi j'attends et suis impatient de découvrir qui se cache sous le cachet de la poste.
La dame Jeanne Moulin (qui se présentera en temps opportun sous son vrai nom, bien sûr) m'envoie le message que voici :
RépondreSupprimer« L'une des tâches du Magistère collectif ici esquissé sera bien entendu de réévaluer la prétendue « DETTE » qui ligote le budget de l'État français pour le plus grand profit des spéculateurs et escrocs du Système-Fric, le Corrupteur-en-chef, planétaire.
Selon la plupart des vrais économistes (baptisés « hétérodoxes » comme par hasard par « l'élite »), ces dettes d'États sont partout TRÈS surévaluées, artificielles, infondées, injustes... et conduisent au gouffre social. La France se doit de montrer l'exemple (après l'Islande et d'autres). Beaucoup de pays, d'Europe et d'Afrique notamment mais partout, suivraient...
Il est possible (après réunions d'économistes-citoyens et autres citoyens « lambda » tirés au sort) que cette DETTE soit estimée pour sa plus grosse partie (75 ou 95%?) à jeter aux oubliettes. Et le peuple tranchera par référendum. »
"La France se doit de..." écrit Jeanne. Peut-être a t' elle pensé à la prise de la Bastille un certain 14 juillet ? : On disait cette forteresse imprenable et elle le fut de par la volonté de la "vile populace", on connaît la suite... bien plus importante que la destruction d'une forteresse à peu près vide, d'ailleurs !
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