mercredi 20 novembre 2024

La vie n'est pas du cinéma !

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Les lignes bougent en profondeur. Dans les ténèbres des officines, on brûle des documents compromettants, comme on brûle les ordures ménagères ! Ici, pas question de faire le tri ! On efface, tant bien que mal, les traces d'une tentative de génocide et de contrôle mondial des populations.
Je parle de l'empire pharmaceutique, des cabinets-conseils, de l'OMS et autres organismes de mort aux très mauvaises intentions. La gouvernance globale par la santé publique, visant à créer le mal pour faire semblant de le guérir, avec des gains colossaux, a du plomb dans l'aile. Quelles que soient les couches de vernis qu'on applique, la charpente de l'édifice satanique semble touchée par la mérule !
Entendre le discours hystérique des larbins de l’État profond dans cet Occident dégénéré, a été un moment de jouissance fort agréable.
Certains de nos faiseurs de propagande – ils se proclament journalistes – sont tellement déçus par les résultats de l'élection américaine qu'ils en perdent pied en direct. D'autres, tout autant affectés, ont évacué sans passer par la case toilettes !
Cela étant, se réjouir ne suffit pas. Il nous faut encore pousser la charrette pour que ce monde fait de crimes et d'escroqueries cède la place à des sociétés gouvernées avec humanité. Je ne sais pas si l'on peut parler de victoire, mais le fait est que cette élection américaine aura été un ravissement sublime.
Souhaitons seulement que la déception ne vienne pas ternir – ce qui est hélas souvent le cas – un espoir légitime, après tant de décennies d'horreurs sous couvert de démocratie et de liberté ! Deux vocables attrape-gogos que l'élite nous sert chaque fois qu'elle s'apprête à commettre ou à cacher un crime ! L'Ukraine et la Palestine étant des exemples palpables. Des dossiers qu'il faut clore avec les sanctions qui s'imposent, à savoir la condamnation et l'emprisonnement des responsables… 
Le peuple des States, cette nébuleuse perdue dans le smog étouffant d'un projet mondialiste génocidaire, a montré par les urnes que quand on ne triche pas en comptant les bulletins, sa parole n'est pas en raccord avec le discours officiel. Cette masse méprisée a montré que si on peut la mener en bateau, elle n'est ni indigne ni dupe !
Prise dans la nasse de la trinité travail, famille, télé, avec la décérébration massive que l'on sait, elle n'a pas toujours le temps ni la force de se prendre en main. Mais si inculte qu'elle paraisse, ou qu'on veuille nous le faire croire, elle sait au fond d'elle quand on lui veut du mal.
Au tour des européens de foncer sur l'UE, dont le seul remède qui lui reste pour sauver sa peau est le déclenchement d'une 3ème guerre mondiale, faisant tout pour qu'elle advienne, afin de nous libérer de la pourriture qui nous tue !
Tout cela me ramène à ces films de série B ou Z que je consommais avec voracité étant gamin. À la fin, tous les méchants mouraient comme ils le méritaient ! Quel soulagement et quel plaisir ! Mais ça, c'était du cinéma !
Sous l'Casque d'Erby 


mercredi 13 novembre 2024

Lettre à un ami européen

Cher ami européen,
Tu m'interroges à propos de la politique. Quelles sont les différences entre ton pays et le mien ?
Si par pays et par différence, on entend les particularités pouvant les distinguer, ma réponse est : hormis la langue et quelques coutumes régionales, tendant à disparaître, aucune. Nos pays sont remodelés selon des critères extérieurs à la culture de chacun, nous sommes dans le tout pareil.
Le reste ? Les mêmes ronds-points d'une contrée à la suivante, et ainsi jusqu'au bout de la route. Le bord de mer affichant les mêmes panneaux à l'adresse d'un public infantilisé, avec des « Attention, l'eau est froide ! », le même type de règlements, les mêmes menus McDo et les mêmes kebabs. Les mêmes tendances vestimentaires, les mêmes drones, les mêmes caméras de surveillance. Les mêmes propagandes et l'instillation des tendances à normaliser, drapeaux LGBT dans les lieux de baignade et dans les enceintes officielles, la transidentité, la pornographie à l'école, etc.
Pour le reste : Big Brother te regarde. Big Brother t'a à l’œil. Big Brother s'occupe de la post-civilisation ! Bienvenu dans le nouveau monde digitalisé . N'aie pas peur, c'est pour ton bien !
La politique est un jeu d'enfant. Tout le monde, de 7 à 77 ans, pourrait devenir ministre de la Vérité ou secrétaire d’État dans l'alimentaire, si l'on respecte la ligne tracée par l'élite. Le travail est tellement mâché par le personnel administratif que n'importe qui, avec un minimum de discipline, peut s'en acquitter. Salaire et avantages motivant le postulant à l'obéissance aveugle !
La politique, c'est une minorité qui guide une majorité sous sédatif pour l'empêcher de prendre conscience de sa force. Afin qu'elle ne déborde pas et ne devienne suspicieuse, voire dangereuse pour la conduite des bonnes affaires de l’État, il faut qu'elle demeure ignorante !
Les centres de rééducation par le discours et par l'image sont très efficaces pour obtenir des résultats. On n'imagine pas les ravages que cela cause dans les esprits !
Ici, comme chez toi, les groupes dominants font semblant de se faire la guerre dans un schéma identique. Certaines entreprises ne pratiquent-elles pas le défoulement du personnel dans des locaux dédiés ? On s'insulte, on s'accuse mutuellement des pires crimes, afin de bien chauffer la masse, jusqu'à la division et à la subdivision de la subdivision. Pareil que dans une pièce de théâtre ou dans une grande production cinématographique, tout est soigneusement écrit et mis en scène. 
Toute élection organisée dans n'importe quel point de la planète en est la démonstration. Quel que soit le gagnant, il n'y a qu'un perdant : le peuple, le citoyen, l'individu, la masse. Sous n'importe quel vocable, c'est lui qui est visé ! Est-ce dire que ceux qui pensent encore que la classe politique, bras armé du pouvoir invisible, est honnête sont plus crétins que ceux qui dénoncent le mensonge ? Disons que l'heure de la révélation ne sonne pas en même temps pour tout le monde.
L'exemple des derniers scrutins hexagonaux en est l'illustration. Comme il fallait s'y attendre, nous avons assisté au tir nourri d'injures de tous les groupes sur tous les groupes, dans un chaos aussi joyeux que ridicule. Qu'en est-il en réalité ? Que tous ces « ennemis » n'ont qu'un seul ennemi : le peuple. Faut-il une thèse de doctorat pour comprendre ce que Dindon veut dire ?
Le comble de la stupidité, par exemple, est de crier à tout va que Donald Trump, crédité de la victoire électorale aux États-Unis, est un nazi et tous ses électeurs des fascistes, parce que, se détournant du « droit chemin », le peuple n'en peut plus d'entendre « la voix de son maître » !
L'étrangeté vient du fait que les mêmes qui hurlent au nazisme ferment le clapet sur le soutien de l'UE aux nazis (de vrais ceux-ci) en Ukraine et à Netanyahou en Israël, avec le génocide qui éclabousse si méchamment les consciences ! 
Comment passer sous silence que certains dirigeants de l'UE (non élus) sont des descendants directs de dignitaires nazis au service d'Hitler et qu'ils font tout comme papa/maman jadis !
Le pouvoir s'exerce dans des zones tellement sombres que la canne blanche est nécessaire pour s'orienter dans ces ténèbres. C'est dans ces sous-sols que l'on pratique des rituels réservés à une élite triée sur le volet, où s'ourdissent les plans machiavéliques de la « grande politique » ! C'est dans ces lieux qu'on « équilibre » les pôles, quand ceux-ci donnent des signes de faiblesse. C'est là que l'on décide quel groupe va gagner ou va perdre une échéance électorale sans que cela affecte l’État profond dans sa marche funeste.
Nous voilà donc, cher ami, embarqués dans la même galère. Allons-nous continuer à ramer vers notre perte, faisant semblant que c'est pour notre bien ? Ou allons-nous enfin nous arracher en mettant un point final à une opération criminelle ?
Bien à toi, ton frère de la province voisine. 

Sous l'Casque d'Erby

jeudi 7 novembre 2024

Du nouveau à l'Ouest !

Dans un contexte explosif comme celui des élections américaines, il n'est pas facile de quitter l'ornière, chacun allant de son analyse la plus fine et la plus contondante.
Que pouvons-nous attendre cependant de son résultat et de la politique américaine dans les quatre prochaines années ? Peut-être un peu de répit dans la folie sanguinaire qui s'est emparée d'elle et de tout l'Occident depuis plus d'une décennie. Et, pourquoi pas, espérer un retour au respect des règles morales bafouées, et dire halte à la dictature sanitaire de l'OMS par le biais de laquelle le monde bascule dans le totalitarisme !
Quoi qu'il en soit, victoire éclatante de Donald Trump sur tous les tableaux. Sans tricher !
Les pleureuses d'une gauche pervertie parlent de démocratie à tous les étages, avec des éléments de langage pitoyables, attribuant à Trump des intentions qu'elle a très largement outrepassées depuis toujours.
De ce côté-ci de l'Atlantique, en notre chère France, les petits roquets de l'empire glapissent sur la grandeur du modèle démocratique français, souillé par ces résultats. L'UE se sentirait-elle soudain orpheline de ses pourvoyeurs officiels, à savoir l'État profond, et, sa cheville ouvrière, l'OTAN ? Bonne nouvelle !
À force de braire, on finit par devenir des ânes !
Puisqu'on nous les brise menus avec des mots tout faits, parlons-en de la démocratie au pays des Lumières !
Prenons les dernières Européennes perdues par la majorité Macronienne : Dissolution de l’Assemblée nationale, ce qui n’avait rien à voir avec le résultat du scrutin européen, et, même pas le temps de faire ouf, en trois petites semaines, on organise un scrutin législatif ! Aucun programme, rien, Niet, Nada !
Akoibon s'éplucher la cervelle à concevoir un projet, puisque personne ne le lit et, mieux, personne ne le mettra jamais en œuvre ! C'est un mandat pour rire !
Nouveau scrutin et nouvelle défaite de la Macronie démocratique et toujours pas de majorité, mais un Premier ministre imposé et un gouvernement de la même eau que le précédent.
Je ne sais pas, mais cela s’appelle un coup d’État !
Alors, démocratie ?
Là, on nous prépare à accepter l'idée d'une nouvelle pandémie pour le mois de décembre. Ce n'est pas encore tout à fait au point, mais on y pense ! Une réunion est prévue à cet effet entre le virus qui ne dort que d'un œil et les Éminences grises de l’OMS. C’est de l’étroite relation de l’un avec les autres qu’est née une forme de collaboration régulière et redoutablement fructueuse.
Le quidam ayant le trouillomètre en alerte rouge ne sera pas dépaysé en reprenant du masque, observant les gestes barrières élémentaires, regagnant son repaire pour un confinement salutaire, absorbant Pastis et Intox en surdose, ne quittant son salon que pour se faire administrer une énième piquouse à ARN messager.
Alors, démocratie ?
Avec HAARP en action, les limites atteignant des limites, c'est dans le sinistre qu'on patauge : tremblements de terres, pluie, vent, mort et misère, au menu. On tire un trait de craie sur le tableau noir de nos croyances. Incrédules, s'abstenir. Rideau !
Valence a été le théâtre d’un déluge qui n’a rien à voir avec la météo et beaucoup à l'ingénierie climatique. Satan a toujours la main lourde ! Pendant qu'on se débat dans la boue, le ventre creux, les rotules en vrac et le moral dans les chaussettes, l'esprit critique est la dernière chose à laquelle on pense, n'est-ce pas ! Et le séisme qui a dévasté Haïti n’est-il pas le résultat d’un essai « réussi » par arme sismique ? Et ceux de la Turquie et de la Syrie, des mesures de rétorsion pour avoir contrarié le pouvoir profond ?
Après avoir accusé Trump d’être fasciste, sioniste, raciste, que sais-je combien d’autres cistes, faut-il le désigner aussi comme principal responsable de ces funestes événements ?
Qui contrôle l’ingénierie climatique a entre les mains des armes de guerre d'un pouvoir absolu !

Sous l'Casque d'Erby 



vendredi 1 novembre 2024

La brique rouge des infirmes / Ô Toulouse !

La rue est à la rue ! Il n'y a qu'à l'observer pour s'en convaincre. Comme vous, je suppose, j'ai jeté des quinquets fureteurs à l'Opéra urbain de Toulouse et aux commentaires qu'il a suscités. Je me trouvais dans l'état particulier de celui pour qui la récidive n'est pas un accident que je cherche à corriger.
L'électrophone calé sur « Toulouse », de Claude Nougaro — eh, oui, j'en ai un, et les vinyles qui vont avec — déroulant une diction de perforateur à percussion, fait des étincelles dans mes portugaises :  « Qu'elles sont loin, mes idées, qu'elles sont loin / Parfois au fond de moi se raniment / L'eau pourpre du sang des révoltés / Et la brique rouge des infirmes / Ô mon païs, ô Toulouse… » 
Cette kermesse toulousaine, défilant dans ses plus ténébreux apparats, n'a pas choqué un public entièrement acquis à la festoyance ! La presse régionale s'est mise au diapason pour l'aider à oublier un contexte politique nauséabond. C'était la fête au village ! Et tant mieux, si l’Église n'est pas au centre de celui-ci !
Tel est le message répercuté par les concepteurs du projet. Main dans la main, amnésie sociale et acculturation dansent une sarabande funeste sur la dépouille d'un pays qu'on fait disparaître dans l'indifférence générale. Les milliards de la dette publique, détournés au profit des cabinets-conseil, des guerres qui ne sont pas les nôtres, des laboratoires et des actionnaires, entre autres, ne paraissent pas effrayer une foule qui pourtant devrait l'être !
Seule une minorité, frustrée par le peu d'écho que ses propos suscitent, dénonce avec vigueur la supercherie ! La même minorité qui en son temps avait mis en garde sur la fausse pandémie et l'obligation vaccinale, ainsi que sur le totalitarisme naissant.
Avec Lilith, la femme scorpion, son 666 chevillé au corps, ; Astérion, le Minotaure ; Ariane, l'araignée, c'est un pan de ladite « contre-culture » que le public est invité à aimer, applaudissant à tout rompre la prouesse technique !
Qu'importe si le but est de rendre Satan aussi sympathique que possible, au nom de la « démocratie », ce leurre. Pas le gendre idéal encore, mais ça viendra. Ça viendra !
J'ai beau aimer les carnavals et l'esprit païen qui anime ces manifestations populaires, de Venise à Rio, de Nice à la Nouvelle-Orléans, parmi beaucoup d'autres, montrant une attitude iconoclaste, revendicative et bon enfant à l'endroit du pouvoir politique et religieux. Sauf qu'ici, dans la foulée des cérémonies des JO de Paris, sous la fumée et les paillettes, c'est pour le compte d'une minorité sans foi ni loi que le jeu de cartes est mélangé !
C'est cet esprit qui a guidé les festivités de Toulouse, dont on annonce d'ores et déjà une suite.
Si parmi les bénévoles et les militants de cette « cause », il en existe des naïfs, ignorant tout de la manipulation, ils n'en demeurent pas moins les petits soldats, la main d’œuvre gratuite !
Pendant combien de temps encore vont-ils ignorer la portée véritable de l'événement qu'ils soutiennent aveuglément ? Sont-ils à ce point zombifiés pour ignorer que derrière ce spectacle se cache la Grande Réinitialisation, le Nouvel Ordre Mondial et l’avènement du IVe Reich ? 
En conclusion, ce n'est pas l'esprit de carnaval qui dérange, mais la banalisation du Satanisme qui interpelle !
La bonne fête à tous les saints !

Sous l'Casque d'Erby

samedi 26 octobre 2024

Les barbares

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Jadis, la peur du communisme soviétique, paradis du prolétariat militant, auquel s'accrochait une partie de la classe ouvrière du monde, était notre pain quotidien.
Tout était écrit au menu de cet éden socialiste, y compris le passage obligé par un régime dictatorial. Marx l'avait bien dit : « Pour atteindre le monde idéal, le socialisme doit passer par la dictature. » 
Tout était merveilleux dans ce nouveau paradis terrestre, dont la Russie eut la primauté à grande échelle ! Tant pis pour ceux qui rêvaient à des choses frivoles, tels des petits-bourgeois. Pour eux, le chemin était tout tracé : « Vous voulez de l'espace ? De la liberté ? Suivez la flèche, direction le Goulag, c'est vers là-bas. Loin, très loin ! » 
À la revoyure, Tovaritch !
Ces danses que l'on a faites quand le mur est tombé ! Ces visages réjouis ! Ces gens heureux, venus de toute l'Europe, labourant du parpaing comme on travaille le potager au printemps, festoyant avec des poings dressés pour commémorer la victoire du bien contre le mal !
Et ces fragments de rempart qu'on emportait chez soi en guise de souvenir, que certains gardent comme reliques, l'œil humide chaque fois qu'on les montre 35 ans après. Quel triomphe, mes aïeux !
Victoire par KO du capitalisme cannibale sur le capitalisme d’État !
Heureux enfin de voir la Russie devenir un État secondaire, bientôt un État vassal, rêvaient les vainqueurs à voix haute !
Ainsi, libre comme l'air, le « meilleur des mondes » dansait sur les cendres fumantes de l'Ancien. À nous le butin !
Pour l'équilibre de ce tout merveilleux qu’était le monde à deux facettes, il fallait que le totalitarisme de là-bas justifie dans les faits les dictatures de par ici, y compris la montée du nazisme en Allemagne dans les années 30. Et c'est au nom de ce paradigme qu'on évitait de passer l'aspirateur dans les coins !
De nouveaux monstres furent créés afin de continuer à entretenir les bonnes affaires. Après l’Union soviétique, la Chine était toute désignée pour jouer le méchant dragon. Coriace, le chinetoque ! Belle cible ! Avec la Corée du Nord, les groupes islamistes, le terrorisme made in CIA (chut !) et le très puissant retour de la Russie sur la scène mondiale, l'opinion publique, bien cornaquée par des médias disciplinés, peut croire à la version moderne du retour de la « guerre froide ».
Machiavel retrouve sa place dans l’échiquier. L'a-t-il seulement quittée ?
Cependant, l'empire américain a du souci à se faire pour se maintenir à flot, au milieu du chaos qu'il a si bien généré. Si la disparition de l’Union soviétique l'a soulagé pendant un moment, l'arrivée des BRICS sur la scène mondiale, sous la houlette sino-russe, représente un sacré caillou dans la godasse. Au point que cela donne la migraine et des aigreurs d'estomac à tous les stratèges du crime et de la corruption, made in USA.
Ironie et cruauté de l'histoire, le communisme soviétique, qui a tant alimenté le narratif des menteurs des deux côtés du rideau de fer, est devenu par enchantement le rêve du très nostalgique Klaus Schwab. C'est l'idée que les globalistes font mijoter dans leur arrière-cuisine depuis des lustres : un retour au totalitarisme soviétique, avec un zeste de nazisme et plus si affinité ! !
Avec des villes à 15 minutes, des vaccins pourris, des passeports vaccinaux, le fichage numérique et les multiples contraintes, pour vivre et travailler « normalement », ça fait rêver la horde sauvage qui le seconde, pour le grand orgasme de l'Oligarchie !
Les charmeurs de serpents sont déjà sous le charme ! 
Hélas, Messieurs, les contes de fées, ça ne dure qu'un temps ! Gare à vos fesses !

Sous l'Casque d'Erby 


mercredi 23 octobre 2024

Zéro de conduite !

L'art de la propagande est à la base de victoires et de défaites dans les guerres, sachant que la guerre 2. O se gagne ou se perd par le bourrage de crâne, autant que par la force bestiale.
Dans l'épouvantable tourmente que l'on traverse en ce premier quart de siècle dystopique, je prends soin de ne pas me lancer dans le « jeu » hasardeux de qui a tort et qui a raison. Je tiens à conserver mon intégrité psychique dans le désordre de la pensée intellectuelle. Même si, petite chose apeurée, j'ai mon idée sur la question.
Se taire ? Jusqu'à un certain point, car qui ne dit rien consent, et ça, c'est au-dessus de mes forces.
L'objectif d'une guerre est toujours le même : la spoliation, le viol, les crimes et la soumission des peuples à une idéologie, les deux camps se disputant le 1ᵉʳ prix !
Les gagnants dans ces jeux du cirque modernes sont toujours les comploteurs (les vrais !), ceux qui trouvent dans le commerce des guerres de quoi tuer, affamer, atterrer et ruiner la masse d'esclaves que l'Oligarchie déteste, tout en affirmant le contraire.
Cette minorité, composée de groupes « invisibles », de chefs militaires et d’agences gouvernementales, nouent et dénouent les crises selon une stratégie bien rodée, avec toujours le même dessein : globaliser le monde. Le modeler selon un critère propre, réduisant à néant toute tentative de redressement moral et politique venant des parties pensantes de la société. Car pour la minorité dirigeante, en dehors de son cercle, il n'existe que des troupeaux d'animaux qu'on découpe en quartiers pour les besoins de la « cause » !
Dans cet univers de plomb, ni ministres intègres, ni vertu. Une seule obsession domine chez chacun : sauver sa peau, quoi qu'il en coûte. À ce point de désintégration morale, la réflexion sur les valeurs à préserver est un navire en perdition dans un océan de corruption. Les quelques poches de saine résistance se faisant absorber par une masse saisie par la terreur et la soumission.
La guerre a perdu son sens héroïque, son panache. Où sont passés ces héros et les épopées qui ont nourri l'enfance de générations entières ? Les hommes sans imagination sont perdus pour eux-mêmes et pour l'humanité dès lors qu'on les ampute de leur part d'imaginaire !
À l'instar d'Israël, à Gaza ou au Liban, on bombarde à tout-va. Des tonnes de bombes lancées sur les églises, les hôpitaux, les lieux publics pour tuer non point l'ennemi, mais ce « surplus » d'encombrants.
On rase, on décoiffe, on nivelle et quand il ne reste plus que poussière et des morts pourrissant sous les décombres et des estropiés, on envoie les troupes au sol. On fait comme à la parade de cérémonie d'ouverture des Olympiades, on achève les survivants sous les hourras d'une foule démente !
À l'heure où tout le monde est à la becquée, demandant que faire, bien malin qui… Ce que je peux dire, à l'instar de beaucoup d'autres, est que partager nos angoisses, dénoncer les crimes et les dénis, demeure essentiel dans le chaos mental actuel. Pour le reste… le ciel est assez vaste dans sa miséricordieuse étendue pour tourner le dos à nos prières.
Ce que nous devons urgemment faire, c'est nous affranchir des « miracles » qui tombent du ciel, afin de retrouver le pays qu'on nous vole, cesser d'être un protectorat américain gouverné par des Chicago Boys et envoyer par-dessus bord son officine, l'UE !
Cela n'est qu'un pas, certes, mais ce serait un grand pas !

Sous l'Casque d'Erby


vendredi 18 octobre 2024

Chronique Vagabonde

M'art'IN
Mi-octobre. 8 h du matin. Il fait noir. Le jour tremble à l'idée de devoir se lever. Une pluie fine et poisseuse tamise la lumière jusqu'à la rendre opaque. La couette remontée jusqu'aux yeux, je flemmarde comme un militant dépressif se livrant à des séances d’autostimulation, découvrant soudain que l'hiver peut vous saisir à n'importe quelle saison.
Le mal que je me trimballe ! J'ai le melon comme une pastèque qui a trop pris le soleil. Une nuée de mouches la survolant, attendant le moment pour s'y jeter dessus pour un festin de tous les diables. Adieu sucre ! Adieu fraîcheur ! Pas le moindre cacheton de Doliprane pour me soulager ! Et pour cause ! L'usine va être donnée aux Amerloques, comme tout ce qui fonctionne dans ce pays ! La France est devenue la Foire du Discount !
Les Psys que je consulte par le biais des pages Web multiplient les fausses pistes de lien en lien, comme dans une intrigue d'Alfred Hitchcock ! Heureusement que les séances sur le Web sont gratuites ! Un canapé et une tablette suffisent à mon bonheur. Ça yoyotte là-dedans comme dans une usine de yaourts !
Les spécialistes se disputent mon clic, avec appel et contre-appel, comme des joueurs de foot dans un match à enjeu !
Dans mon petit traité sur l'immensité des gouffres, je n'ai pas encore atteint le niveau zéro de la désespérance. Je m'accroche ! À l'instar de monsieur Tesson dans Les chemins noirs, j'évite les grandes artères de la « civilisation ».
À mon chevet, mon livre de citations préféré. Une sorte de réponse à tout où sont groupées les questions les plus courantes et les réponses les plus définitives. Bien que cela n'existe pas, il est rassurant de penser qu'il y a des réponses définitives à tout. Je ne me sépare jamais de ce petit livre vert de l'Espérance. Où que j'aille, il est dans ma bandoulière, n'attendant que le moment opportun pour clouer le bec à ces abrutis de contradicteurs, soumis à l'esclavage par le mirage d'un bonheur factice ! Inutile de les renvoyer à l'école, ces camps de rééducation, c'est elle qui les a rendus idiots !
Dans l'état actuel des choses, le choix, si choix il y a, n'est guère réjouissant. La dérive est si bien orchestrée qu'il ne reste qu'une alternative possible entre capitalisme et capitalisme : le capitalisme ! C'est ainsi, sauf que l'une des deux appellations est à vocation Sataniste !
Que nous applaudissions avec les oreilles ou avec les voûtes plantaires, le résultat ne fait pas de doute : c'est une ratonnade !
Ben quoi, le monde serait tellement pourri que même le rêve en est proscrit ? Non, il n'est pas interdit de rêver. Pas encore. Mais bientôt, il sera interdit d'exprimer ses rêves, d'en échanger le contenu. Le contrôle sera absolu.
Je pense à Jack London et à son Vagabond des étoiles. À ce condamné à mort, enfermé dans une taule américaine, soumis au supplice de la camisole pour refus d'obtempérer. Afin de s'évader, il pratique l’autohypnose ou l'évasion par la pensée. C'est par ce moyen qu'il devient escrimeur sous Louis XIII, jeune garçon de courses pendant la Ruée vers l'or, navigateur en Corée, centurion en Palestine, avant un final inéluctable, comme celui de tout être vivant…
Tout ça, nous pouvons encore le penser et l'écrire, mais plus pour longtemps. Le temps, comme le lever du jour, a du mal à quitter son habit noir !

Sous l'Casque d'Erby