mardi 6 mai 2025

Notes contre l'oubli

Le chaos psychologique dans lequel « nos » dirigeants occidentaux ont plongé les peuples est tout sauf fortuit. Un scénario écrit et mis en scène par des experts en chantage et manipulation dans les sous-sols du pouvoir profond.  Ne riez pas, c'est sérieux. Il s'en trouve encore des esprits corrompus par la propagande qui demandent des preuves ! Non seulement ils ne foutent pas une ramée pour s'ouvrir les mirettes, en plus il faut leur donner la becquée. Et même comme ça, pas sûr que ça ouvre correctement les écoutilles !
Le but de cet acte de guerre contre les peuples déclenché en 2020 : amener les individus à accepter une dictature mondiale par consentement mutuel. L'OMS et son auxiliaire, l'UE, distillant consignes et directives, prélevant et distribuant l'argent public par milliards à des gangsters et à des escrocs sous les yeux d'une opinion sonnée par l'épouvante.
Les cadavres imaginaires s'amoncelant dans les salles de rédaction comme si nous assistions au retour de la peste bubonique puissance mille ! 
BigPharma et ses brigades de la terreur, grassement rétribuées, colonisaient les plateaux télé pour alimenter en charbon les locomotives de l'horreur. En moins de temps qu'il ne faut pour remplir les coffres, des vaccins sortaient des chapeaux en un délai record, pour une série de ponctions qui, à défaut de nous sauver d'un virus fabriqué de toute pièce, remplirait les poches des concepteurs développant une flopée d'effets secondaires, tous attribués à la pugnacité du pangolin !
Un train de mesures, sorti des brumes maléfiques d'esprits dérangés, poussait les peuples vers l'abîme et les élites vers ce monde idéal, dont elles ont tant rêvé, enfin débarrassé de ses encombrants !
N'ont-elles pas ouvertement annoncé la nécessité d'éradiquer le surplus d'humains, la planète devenant trop petite pour tous ?
Klaus Schwab, pour le forum mondial de Davos ; Bill Gates, Fauci, etc. pour BigPharma ; Tedros Adhanom Ghebreyesus pour l'OMS ; la galaxie Soros pour le « pacte migratoire » ; Ursula von der Leyen pour l'UE, composent l’état-major de cette conspiration à échelle mondiale. À la suite, l'ensemble des classes politiques, qui, par pression, par chantage ou par pure corruption, toutes tendances confondues, ont tout fait pour hisser un citoyen sous influence du statut de clampin ordinaire à celui de super-clampin !
Port obligatoire du masque, confinement, distanciation sociale, rien ne lui a été épargné. Comme aux heures sombres du nazisme, les villes sont devenues des déserts et les sirènes hurlantes des ambulances vides traversant la nuit déserte, maintenant la population dans une terreur et un stress permanents. Pourtant, les hôpitaux n'affichaient pas une affluence inhabituelle et les pompes funèbres ne croulaient pas sous la mise en bière !
La question demeurant : où sont passés tous ces morts ? 
Et gare à ceux qui mettaient en doute la « parole sacrée » ! Honnis ! Poussés dans les cordes par des journalistes et des consultants hystériques, salis, ostracisés, licenciés de leur travail et donnés en pâture aux lâches et aux collabos, tenant bon sous le mauvais vent du totalitarisme, passant de citoyens sceptiques à citoyens résistants, voire des fachos, sans autre récompense que l'honneur des braves et le mépris des soumis.
Qu'en est-il cinq ans plus tard, au moment où se multiplient les procès contre des responsables de cet homicide collectif et les effets secondaires avérés d'un vaccin génique néfaste ?
Il nous reste l'espoir d'un Nuremberg 2 et la condamnation des coupables afin de retrouver un peu de la dignité perdue !

Sous l'Casque d'Erby 


jeudi 1 mai 2025

En mai, fais ce qu'il te plaît !

Source
Je déteste les célébrations !  Le tintouin m'agace. Tout pareil que pour le rituel des adieux. Ce qu'il y a d'acceptable, quand cela se passe dans une gare, c'est le train qui fait le boulot. L'heure, c'est l'heure !
Tout jeunot déjà, quand j'écoutais les grandes personnes, viocs, assoupis, prosternés, se livrant au salamalec, à l'église ou dans les lieux publics, cela m'ennuyait déjà très fortement.
Plus tard, ayant intégré certaines règles, acquises à coups de férule ou de déception, voyant les gars de ma génération reproduire le même copier-coller, ça faisait déborder la boîte à rouscailler que c'était misère.
Pour un n'importe quoi, forcément injuste, célébration ! De la mort du bébé phoque à la mue de l'aiglon ; du piaf le plus insignifiant, phagocyté par son prédateur naturel, au hanneton maltraité par les coupeurs de buzuc, célébration !
Fidèles au rendez-vous de la pleurniche, mes amis font dans le déploiement massif de bannières. On se croirait dans une version pauvre d'un film de Kurosawa ! 
« Pour lutter contre l'oubli » et pour quelques revendications ponctuelles. En souvenir des clampins de tous les continents, défalqués pour nourrir grassement les gangsters qui gouvernent le monde depuis la nuit des temps. Avant, pendant et longtemps après les grèves sanglantes du mois de mai 1886 à Haymarket Square, Chicago, on n'oublie pas le sang versé, avec ou sans tapage.
Comment oublier que la racine sous les arpions, ce n'est pas du muguet  ? Bien que, à bien y réfléchir, l'offrande du muguet le 1ᵉʳ mai remonte à Charles IX
La kermesse m'a toujours été pénible lorsque j'y participais dans une autre vie. Conception de banderoles, slogans usinés à la diable, deux ou trois hymnes hurlés dans une sono tuberculeuse sur le « mal que l'on nous fait », le ramassage du matos en fin de cortège et à la revoyure ! Chacun vantant le produit dérivé de sa chapelle, probablement fabriqué par des mains chinoises ou indiennes. 
Finalement, sans concertation formelle, attendant les mots d'ordre des instances supérieures, date est prise pour le prochain lâcher de salive, sans plus de précision ! Assurément, un massacre perpétré par le haut gratin au nom d'une idéologie mondialiste plus génocidaire que jamais !
Tant d'atrocités à commémorer qu'on en perd le fil à force de banalisation.
1ᵉʳ mai ou pas, les célébrations, c'est gonflant ! Cela dit, je suis bien d'accord : les salauds, les escrocs, les criminels, il faut faire un pack, bien lester le tout et les envoyer par le fond !
Ce jour-là, j'y serai !

Sous l'Casque d'Erby 

mardi 29 avril 2025

Silence, on coupe !

Les étoiles sont lointaines au regard qui cherche à les saisir. Tout comme leur mystère.
Nous sommes ces cubes de glace longuement exposés à des chaleurs extrêmes. Celle-ci générant ce mirage qui interfère entre regard et horizon, donnant des hallucinations merveilleuses que la réalité dément cruellement.
Nous sommes, par la volonté de la propagande de quelques malfaiteurs occultes, focalisés sur tel ou tel sujet planétaire, que l'on nous somme d'aimer ou de détester. De proscrire untel ou untel de nos carnets d'adresses, même si vous en ignorez la raison. On nous dit de le faire et cela suffit. Aucune importance si les personnes ciblées ne font que défendre leur pays, leurs frontières et les valeurs qui s'y rattachent. Tout ce que nous souhaitons que nos dirigeants politiques mettent en œuvre dans notre pays et ce qu'ils ne font pas.
Nous vivons cela à chaque palier de notre interminable dégringolade. Est-ce par distraction, par paresse, ou pire encore, que l'on coule le bateau qui nous porte des rives de l'ignorance à celles du savoir ?
Ainsi de ces coupures d'électricité « monstres » survenues en Espagne et au Portugal, prélude de ce qui nous attend prochainement.
Un accident ? Mon œil ! Comme pour l'opération Covid et son arsenal de contraintes, tout cela est planifié pour nous faire accepter ce que nous n'accepterions pas sans l'adjuvant de la terreur.
Pas d'électricité, pas de consommation ! Allez, à l'heure du tout digital, présenter votre carte de crédit pour régler vos achats de nourriture ? Désolé, mais sans électricité...
Tout est en place pour vous faire accepter l'idée que tout cela est la faute de Poutine et qu'il nous faut consentir un effort de guerre supplémentaire pour armer l'Europe contre un agresseur imaginaire !
Tout détruire pour tout reconstruire — et revoici les Trente glorieuses —, c'est la leçon économique que nous donnent ces artistes du crime !
Cela fut le cas à chacune des grandes conflagrations mondiales et cela continue ! Les faiseurs d'agendas mondialistes, ces transfuges d'un autre temps, rescapés du nazisme, rêvent d'une revanche et sont sur le point de l'obtenir dans une Europe chloroformée par une propagande vénéneuse !
Tout est orchestré pour nous faire oublier nos responsabilités devant les égarements du présent. L'ennemi n'est pas celui qu'on nous désigne, mais celui qui nous montre qui nous devons aimer ou haïr. Celui qui présente le coupable idéal pour qu'on oublie ses propres crimes.
S'envoyer par le fond pour préserver son confort est tout sauf clairvoyant. C'est faire abstraction de notre vie et de celle des générations futures. Pire encore : faire diversion avec des idées bancales, pointant des index accusateurs en direction d'un danger imaginaire, c'est s'assurer le naufrage !
N'existerions-nous qu'au ralenti, comme l'affirmait sans empathie Céline dans « Bagatelles pour un massacre » ? N'utilisant que 3 à 5 milliards de globules au lieu des sept dont nous sommes pourvus ! Vivant en « larves inquiètes », dans une « cuve d'asphyxie » au cimetière de nos vies ?
J'ose espérer que non !

PS. On s'apprête à fêter le 1er mai. Et si, au lieu de célébrer les défaites du passé, nous faisions en sorte de gagner la guerre qui vient ? 

Sous l'Casque d'Erby 


jeudi 24 avril 2025

Juste pour mettre mon grain de sel !...

Le pape est mort, vive le pape ! On continue ou on arrête ?



« La justice est le pain du peuple, il en est toujours affamé. »
François-René de Chateaubriand 

Semblablement aux trains, un salaud cache un salaud dans un monde à la perfection aléatoire. Ainsi donc de la démission de Klaus Schwab du WEF, remplacé par Peter Brabeck, ancien président du CA de Nestlé, celui qui estime que l’eau n’est pas un droit inaliénable pour tous, mais une affaire privée dont il faut tirer un maximum de jus. Un philanthrope chasse l’autre !
Le monde des globalistes s’effondre. Les pièces tombent les unes après les autres sans que cela provoque, en apparence, grand remous à la criée. Le monde multipolaire place ses pions, reconfigurant l’espace de tous et de chacun. Un monde dans lequel les puissances américaine, chinoise et russe vont se répartir le gâteau en fonction des forces et de l’appétit de chacune.
Pour ne pas avoir eu ce qu’il faut, là où il le faut — ou parce que cela faisait partie d’un projet —, l’UE devient sous nos yeux, nation après nation, le terreau d’une vassalité qu’elle n’avait pas imaginée dans ses prévisions les plus mégalos.
Après les démissions et les successions, place aux morts. Le pape Jorge Bergoglio, qu’Obama et Biden ont imposé et conforté, s’est dissipé dans la voûte céleste, après avoir tâté aux révolutions de couleur et autres menus plaisirs dans le monde des ténèbres, au nom du très-haut, une fois encore outragé ! Et comme ça ose tout, ils ont appelé cela le « Printemps catholique » !
Infiltré et corrompu par des forces occultes, l’État du Vatican n’a plus rien à voir avec la religion qui l’a fondé, sinon l’illusion d’une partition musicale ayant perdu ses accords dans les catacombes de l’histoire. Ceux qui, comme Benoît XVI, ont (timidement) essayé d’y remédier, voire de stopper la machine, ont vite vu la limite de leur pouvoir.
Le Vatican aujourd’hui – et ce depuis longtemps – c’est comme les magasins « La Samaritaine », on y trouve de tout : des franc-maçons, des talmudistes, des banquiers véreux, des politicards corrompus, ainsi que quelques croyants étourdis qui croient encore au génie du christianisme !
L’Église romaine aura été le refuge et le centre de commandement des mondialistes et autres pervers, dont les pages noires forment une véritable encyclopédie. Elle a tout permis, à commencer par l’altération de la foi par des forces qui veulent sa ruine et celle de millions de croyants sincères !
Le pape est mort, vive le pape ! On continue ou on arrête ?

Sous l’Casque d’Erby 

                                                                                                                                                               

jeudi 17 avril 2025

Nous prendraient-ils pour des gogos ?

Sentez-vous quelque part une intention hostile, un signe, un présage ? Une menace indiquant précisément que la Russie fourbit son arsenal pour détruire une quelconque nation européenne ? Voyez-vous d’autres menaces que celles aboyées par la meute nazillonne qui dirige l’UE et les nations qui la composent ? 
Quand un ciel est menaçant, on le voit. Quand le vent pousse fort, on le sent, on sait de quel côté il souffle. Quand la mer gonfle démesurément, il est temps de prendre ses jambes à son cou, c’est un tsunami !
Rien de tel avec la « menace russe » qu'on nous annonce imminente ! Aucun buveur de vodka dispatchant des coups de couteaux ou violant des jeunes filles dans nos rues. Aucun missile RS-28 Sarmat, surnommé Satan 2, traversant le ciel de nos campagnes pour détruire les récoltes de nos agriculteurs, les poussant à un suicide massif !
Rien de cela. En revanche, des personnes quittant leur ville de toujours pour aller s’installer dans des villes voisines pour cause d’insécurité, ça, vous n’en entendrez pas parler aux infos. Ne dites rien. Motus. Bannissez l’ensauvagement du pays de votre vocabulaire. Ainsi que le « Grand remplacement » ! Chut !
La réalité est qu’on ne voit que des baltringues, sortis d’une tirelire, faisant la noria de plateaux télé en salles de conférence, les narines enfarinées, l’œil injecté, postillonnant de la trouille à l’hectolitre, sur les mauvaises intentions de la Russie cherchant à nous mettre la pâtée, d'ici à pas longtemps !
Ce ne sont pas des hommes qui dirigent notre pays, mais des robots. Des machines conditionnées à dire et à faire le mal. Un panel d’êtres dégénérés, sans honneur ni empathie, n’ayant qu’une très infime idée de la vie ! Une faune dépersonnalisée et perverse, au point de causer le mal pour nourrir un ego à la hauteur de leur malignité !
Sommes-nous crétins, au point de ne pas faire la différence entre une menace réelle et un coup monté pour nous soumettre à la volonté d’un globalisme criminel ?
Le monde change à grande vitesse. L’angoisse est de mise. Ne sachant pas ce qu’il advient, d’étranges supputations sur l’avenir, plongent l’humain dans une peur animale.
Habitué à déglutir une nourriture prémâchée, son esprit n’assimile pas ces changements de paradigme. Lui, qui ne rêve que du solide, du fait main, de l’artisanal, est industriellement servi !
Pour satisfaire une demande factice, quoi de plus solide à tous les menus que du Russe ? Ça, c’est du palpable ! Du véridique ! De qui ne souffre pas de contestation ! De la pitance qui colle aux tissus ! 
Tant que c’est du Russe, cela reste acceptable. Mais si vous avez le malheur d’évoquer d’autres pistes, de suggérer d’autres ennemis, moins visibles, mais bien plus dangereux, comme le pouvoir profond ou la main du Khazare, vous savez où, vous plongez dans les sables mouvants de l’incrédulité citoyenne !
Sans la moindre hésitation, on éructera : « Puisqu’on vous dit que c’est le Russe ! » 
Quant aux 40/50 milliards d’efforts supplémentaires qu’on demande dans le cadre de « l’état d’urgence budgétaire » pour 2026, ne dites à personne que c’est le braquage d’un gang hexagonal, car on vous répondra que la signature ne Trump personne, c’est l’œuvre de la mafia russe !

Sous l’Casque d’Erby 


dimanche 13 avril 2025

Le silence vaut-il l’or qui le symbolise ?

La politique est corrompue par la religion et inversement. Tout est fait pour qu’il en soit ainsi. Nous sommes devenus des hamsters dans un magasin de roues, à la recherche du rayon idéal ! Si certains modèles ont de l’avance sur d’autres, dans l’ensemble la tendance à l’uniformité se confirme.
Plus j’avance en âge, plus j’en suis convaincu. Athée ? Quelle idée ! J’ai horreur des étiquettes ! De la confusion innocente à l’amalgame ! Qu’on ne s’y trompe pas : je ne suis pas insensible à une forme de morale et d’éthique. Être insensible signifierait une totale indifférence, or cela n’est pas dans ma nature d’animal conscient.
On peut avoir des règles, une morale, des principes, sans pour autant abandonner la place à des gens qui en font commerce pour briller, dominer et souiller. La religion n’a rien à faire dans la politique, tout comme celle-ci ne doit s’y vautrer pour tirer avantage. Elle est ou doit être la part intime dont on partage doutes et certitudes dans le silence des prières qu’on adresse à une force supérieure.
Le contraire dessert plus que cela ne nous enrichit. Avons-nous besoin de croyance religieuse pour nous forger une morale commune ? Pour vivre dans une certaine harmonie ?
Le premier pas de l’escroc consiste à se servir des « valeurs » sensibles, multipliant les fausses pistes dans les eaux noires de la division. D’attiser par des moyens inavouables la haine envers une doctrine rivale dont les thèses mettent en danger le profit que l’une tire sur l’autre dans le commerce des manipulations.
À force d’observer le manège, je suis devenu une bête non religieuse. L’incroyant des mille et une religions, qu’elles se disent socialiste, humanitaire, woke, trans, monarchique, bordélique… Je demeure rétif à ce catéchisme de l’alpague ! Ce sont elles qui nous tiennent enchaînés dans l’espace et dans le temps.
Prisonniers des obsolescences et des caprices aléatoires d’une pensée à la sauvette, comme celle qui saisit le naufragé, s’agrippant au premier bout de bois venu sans se soucier de l’essence ou de sa préciosité qu’en d’autres circonstances, il louait !
Je ne sais et ne suis sûr que d’une chose, j’en suis profondément convaincu : pour le peu de temps que nous restons sur cette terrible et merveilleuse planète, laissons en héritage la meilleure part de nous-mêmes. 
Donner le meilleur de soi, pas pour qu’on s’en souvienne comme de quelqu’un d’illustre (quelle blague !), mais parce que cela aide le futur à se construire dans la clarté. Pour l'heure, cela n'en prend pas le chemin.

Sous l’Casque d’Erby