mercredi 9 novembre 2022

Un Rothschild en cache toujours un autre

M art' IN
L'Empire (États-Unis, Angleterre et satellites) perd de son influence et donc de sa puissance. Du moins, c'est ainsi que je le perçois par l’œilleton de mon microscope. Et même si cela n'est pas le cas tout à fait, c'est ainsi que j'ai envie de le positiver.
Je ne peux que me réjouir de voir cette puissance du mal réduire son champ d'influence en tirant une gueule à lécher la merdouille des caniveaux.
Chaque goutte de sueur exsudée par l'humanité est la sœur jumelle d'un torrent de sang irrigant les cultures d'où nous tirons la nourriture, depuis que cette puissance, par le biais de quelques banquiers, a décidé de faire de l'enfer non pas un futur séjour pour pécheurs mais un quotidien infâme.
Cette puissance, touchée par des coups répétés, qu'on dit au bord du knock-down, est encore capable de faire un mal infini à l'humanité avant de quitter la scène en redevenant une nation parmi tant d'autres, commerçant et respectant ses pairs.
En tant que témoin impuissant, s'agitant de manière pathétique, comme des milliards d'autres petits animaux pris au piège (certes supérieurs en nombre), je ne peux arborer qu'un état de frustration, de colère et de peur pour que le pire n'arrive avec la défaite tant souhaitée des « Maîtres du Monde ». Cette misérable minorité avec un pouvoir de nuisance inouï !
L'horreur que vit l'humanité est l'histoire d'un homme et de ses cinq fils : les Rothschild ! Un membre ou l'héritier du Club des Cinq ( on s'y perdrait dans les branches de cet arbre) vient de quitter le navire pour toujours.
Ces fils à papa furent envoyés en des pays stratégiquement clés pour, avec l'argent comme moteur de toute chose, décider de la vie et de la mort de millions de gens à travers les cinq continents !
Mettre ou ôter du pouvoir une marionnette de leur choix, dans un spectacle de Guignol qui amuse tant les élites et subjugue encore les sans dents, n'est qu'une pure formalité.
Plus qu'une famille, nous avons affaire à un clan sans foi ni loi, ne se mêlant aux nations que par le commerce de l'argent et le pouvoir infini qu'il confère à ceux qui en ont le contrôle. Fortune amassée avant, pendant et après des guerres au service de tous les camps, sans scrupule ni morale. Seul compte la puissance et le contrôle de la plèbe dont il faut par tous les moyens ventiler le surnombre.
C'est Stefan Zweig qui raconte dans « Les heures étoilés de l’humanité » l'épisode d'un ancêtre du clan Rothschild enflant sa fortune en récupérant les cadavres des batailles d'Austerlitz et Waterloo, remplissant les bateaux affrétés à cette fin avec des cargaisons d’ossements humains recueillis, les rapatriant en Angleterre pour fertiliser la culture anglaise, après les avoir dument broyés. Parce que pour pousser de manière optimale, les plantes doivent pousser dans un sol riche en azote, en potassium et phosphore. Et les macchabées, disait-on, en regorgeaient, selon ceux qui en firent le commerce ! « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. » 
Avant, pendant et après, l'humain reste une marchandise rentable ! C'est ce clan et les produits dérivés (Schwab et bien d'autres) qui sont les vraies plaies d’Égypte, dont il faut débarrasser la planète.

Sous l'Casque d'Erby

12 commentaires:

  1. Napoléon l'a dit :« Lorsqu'un gouvernement est dépendant des banquiers pour l'argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au dessus de la main qui reçoit. [...]
    L'argent n'a pas de patrie ; les financiers n'ont pas de patriotisme et n'ont pas de décence. ». Napoléon Bonaparte (1769-1821),

    Et lui s'est empressé d'appliquer : "Permettez-moi d’émettre et de contrôler les ressources monétaires d’un pays et je me moque de celui qui écrit ses lois.” M.A. Rothschild (1744-1812)

    Ont peut-être eu le temps d'être un peu potes ces deux-là...:-((

    Oma

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    1. Bonjour Oma. Napoléon n'avait pas toujours tout faux. Sauf quand il a voulu taquiner, par excès de gourmandise, l'Ours Russe ! On dit que l'animal est le seul être à ne pas tomber deux fois dans le même piège, contrairement à l'humain. La Bise.

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    2. Ta réponse m'a amènée à aller voir le thème astral de cet énergumène... et je constate une fois encore à quel point c'est fascinant l'astrologie !
      Toouuut était écrit dans son ciel de naissance... Son destin ne pouvait être tellement différent. Pour les curieux non initiés, mais çà pourrait leur parler : LION ascendant SCORPION. :-)
      Mais explorer le ciel de ce jour-là est particulièrement impressionnant !









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    3. Salut Oma. Si tout était écrit dans son ciel astral sans que que tu ne t'y épanche davantage signifie que cela devait être particulièrement glauque. Ce qui n'a rien d'étrange, vu le personnage et sa lignée !

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    4. Gulp, elle s'est mal exprimée la dame ! Je parlais du ciel de Napo !!! Vraiment saisissant...:-) Mis il y a tant à dire ! On en reparlera tantôt....
      biz

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  2. Et dire que tout est parti de là....
    https://i.servimg.com/u/f62/11/40/28/12/le_mag10.jpg ! La fameuse boutique à l'enseigne rouge !

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    1. Salut Jean-Claude. Je ne connais pas l'histoire de cette photo. Pourtant il me semble l'avoir déjà vue...

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    2. J'ai trouvé une intéressante étude sur cette "intéressante" famille, à laquelle se sont jointes une ou deux autres familles du même jus. La Banque du Monde était née.

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    3. Salut Jean-Claude. J'ai vu tes "découvertes" au pied de l'article dans les Moutons. Tu es une mine, mon ami. Quelle culture !

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  3. Partage : tellement vrai. ;-(

    « Nous vivons dans un monde plutôt désagréable, où non seulement les gens, mais les pouvoirs établis ont intérêt à nous communiquer des affects tristes. La tristesse, les affects tristes sont, tout, ce qui diminuent notre puissance d’agir. Les pouvoirs établis ont besoin de nos tristesses pour faire de nous des esclaves. Le tyran, le prêtre, les preneurs d’âmes, ont besoin de nous persuader que la vie est dure et lourde. Les pouvoirs ont moins besoin de nous réprimer que de nous angoisser, ou, comme dit Virilio, d’administrer et d’organiser nos petites terreurs intimes.
    La longue plainte universelle qu’est la vie …On a beau dire « dansons », on n’est pas bien gai. On a beau dire « quel malheur la mort », il aurait fallu vivre pour avoir quelque chose à perdre.
    Les malades, de l’âme autant que du corps, ne nous lâcheront pas, vampires, tant qu’ils ne nous auront pas communiqué leur névrose et leur angoisse, leur castration bien-aimée, le ressentiment contre la vie, l’immonde contagion.
    Tout est affaire de sang. Ce n’est pas facile d’être un homme libre : fuir la peste, organiser les rencontres, augmenter la puissance d’agir, s’affecter de joie, multiplier les affects qui expriment un maximum d’affirmation. Faire du corps une puissance qui ne se réduit pas à l’organisme, faire de la pensée une puissance qui ne se réduit pas à la conscience…»

    Gilles Deleuze (18 janvier 1925 – 4 novembre 1995)

    OMA

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    1. @Oma. Belle citation de Gilles Deleuze. Voilà un gars dont je n’ai lu la moindre ligne, hormis des citations éparses saisies au hasard. Je ne supportais pas son côté play-boy faisant la pose, suivi d’une basse-cour insupportable, riant et caquetant au moindre de ses propos. Bien que déjà « militant engagé », je ne supportais pas ce genre d’attitude chez ses admirateurs, tout comme je ne souffrais pas le « admirez-moi » du maître à penser… Il va être temps que je lise un de ses livres, pour voir…La bise.

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  4. Je ne l'ai jamais lu ni même vu sa tête ! Réflexion transmise par ma fille et aussitôt partagée ;-))

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