samedi 5 novembre 2022

Contre la mémoire courte : éradiquons la vermine !

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Aujourd’hui, le terme à la mode est « déradicalisation ». Mais pas n’importe quel désendoctrinement. Ne cherchez pas ici le djihadiste banlieusard de retour de Syrie à évangéliser, vous auriez du mal à démêler le bien du mal. Ici et maintenant, nous avons affaire à une forme de « déradicalisation » qui n'en est pas une, tout en l'étant. Il s’agit de désenvoûter les millions de citoyens sur qui le pouvoir a exercé une autorité abusive et qui, découvrant ce qui était et demeure un acte criminel majeur perpétré en toute conscience, se battent contre l’oubli en demandant justice.
Quand on dit « exercice abusif de l’autorité », on se réfère à la terrible épreuve de la pandémie et à son « remède vaccinal » imposé par la force. Torture psychologique intensive serait le terme approprié pour désigner ce plan criminel.
On n’oublie pas, lors des premières campagnes de vaccination, les propos d’Emmanuel Macron, lâchant avec une vulgarité incompatible avec la fonction : « Nous les aurons, ces connards ! », parce que la population trainait des pieds, sentant que l’Etat lui servait un milliardième mensonge !
Aujourd’hui, avec le merdier ukrainien (sur le même modèle de manipulation) et la pénurie qui l’accompagne, on oublierait la violence dont la population a fait l’objet de la part de l’Etat et de ses élus, tous complices, sauf rares exceptions, une nouvelle campagne se fait jour.
Cette campagne consiste à faire accepter l’idée de « pardon » contre ceux qui depuis 2020 exercent sur les peuples une pression ignoble afin de les obliger à se faire vacciner autant de fois que les laboratoires le jugent nécessaire ! Par ricochet, la ruine des économies dans le cadre d’un projet globaliste rigoureusement mis au point, poussant inexorablement l’humain vers son état primitif, ne peut être ni pardonné, ni amnistié. Il y va de notre vie !
On sait jusqu’où l’Etat et ses séides sont allés en matière de chantage : licenciements secs ; mises à pied à la chaîne ; chantage ; campagnes de peur et de culpabilisation des parents pour les obliger à faire vacciner leurs enfants, ce qui, au tout début, on disait exclu !
Des millions de personnes vaccinées par la contrainte, subissant des effets secondaires néfastes, des morts en quantité importante ; des perturbations graves du cycle menstruel chez les femmes… Des vieux à qui on interdisait la visite des proches… Des morts assaisonnés au Rivotril dont on empêchait les familles de voir les corps et de les enterrer dignement… Des enfants qu’on empêchait d’être des enfants à l’école, avec des contraintes dignes d’un monde dystopique qu’on pense ne découvrir qu’au cinéma !
On s’y perdrait tant cela paraît incroyable, voire impossible à faire dans un pays qui tire fierté d’un passé révolutionnaire exemplaire : Etat d’urgence « sanitaire », confinement, attestation de déplacement dérogatoire, amendes, citoyens molestés par la police aux terrasses des cafés ou dans la rue, avant et après le couvre-feu, le tout copié sur le modèle de l’occupation nazie, avec un discours infantilisant pour « combattre » un virus dont la létalité n’a pas fait exploser le chiffre d’affaires des funérariums !
De quoi être méchamment en colère ! Et voilà qu’aujourd’hui on nous suggère le Grand Pardon, une sorte d’on efface tout et on recommence. Une méga production nationale avec une distribution internationale digne du « jour le plus long »
Comble du cynisme, on fait appel à la « déradicalisation » des victimes, remontées comme un coucou suisse, exigeant des comptes légitimes aux auteurs d’une politique sinistre !
A quand des messes solennelles avec feu de joie pour célébrer la grande réconciliation nationale ?!
Mes chères sœurs. Mes chers frères. Ouvrons grand les portes de nos cœurs aux enflures qui, après avoir bazardé le pays et tenté de nous tuer, nous invitent au festin des rapaces !
Ouvrons donc des perspectives pour éclairer les lanternes. Pourquoi ne pas envisager dans cet ordre d’idées, la fermeture des prisons et la libération immédiate de tous les embastillés ? Après tout, le criminel n’a pas voulu tuer ; le voleur n’a pas voulu voler ; le violeur n’a pas davantage voulu violer ! … Pas plus que le pédocriminel n’a pas souhaité abimer l’existence des petites créatures qu’il a pris pour des jouets et ruinées à jamais !
Allez, écoutons la voix de la raison et déradicalisons en éradiquant la vermine qui nous gouverne !

Sous l’Casque d’Erby

5 commentaires:

  1. Le Bonjour. Faut pas oublier. Ca, non ! Car c'est sur cela qu'ils comptent ces charognes ! La bonne journée.

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  2. Salut Rodo. Oh non, surtout ne pas oublier. D'ailleurs", "ILS" n'oublient pas, eux. Une simple gifle est punie de prison, de retrait des droits civiques : "ILS" ne badinent pas avec ces choses-là. C'est pourtant vrai : une simple gifle, c'est à peine assez. Christophe Dettinger a démontré comment faire, animé d'un légitime courroux.

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  3. Le Cévenol ne pardonne jamais !... Je cite encore une fois son proverbe favori : " On ne me chie dans les bottes qu'une fois ! "...

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  4. Maintenant, on sait….alors …. pas de pitié Georges, pas de pardon pour cette minable humanité perverse, répugnante, toujours en avance sur ses excréments.

    “Si le Peuple avait la moindre idée de ce que nous avons fait, il nous traînerait dans la rue et nous lyncherait.” (George Bush,1992)

    Oma

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    1. Bonjour Oma. Maintenant on sait et nous sommes cette petite vague qui enfle et que peut devenir tsunami. Même si nous ne sommes pas toujours optimistes il faut y croire. Croire et continuer à pousser pour écraser la vermine ! On me dit que les gouvernants ne sont que des figurants sur qui on exerce chantage et pression. Qu'ils ne sont pas entièrement responsables des décisions anti-humaines qu'ils prennent, etc... Mais, quand même, cela n'empêche que j'ai très envie de leur botter le cul sévèrement !
      Le bon dimanche !

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