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| M art' IN |
Les gens ayant conservé un peu d’équilibre mental, continueront à désigner les choses comme elles doivent l’être.
Encore un épisode de la saga des Woke, mouvement qui vient (je nous le donne en mille !) des campus américains ! Ce bidule s’est propagé en France comme le bacille de la peste (brune ?) avec la complaisance des médias et du pouvoir, même si parfois ça donne l'impression d'être farouchement opposé.
Ça milite pour la protection des minorités. Le Woke s’est collé aux Black Lives Matter (autre émanation du pouvoir profond), conçu en laboratoire et testé dans la rue entre 2010-2015, avant qu’il ne prenne corps avec un certain bruit en Hexagonie. Cet ensemble tordu, dénonce, en vrac, la ségrégation, la discrimination, l’ostracisme des minorités, le féminisme, le sommeil alarmant des marmottes, la préservation du pangolin, sans quoi le virus du Covid enlèverait du piment à nos bronches, et que sais-je encore !
Ce tout consistant à morceler le Tout pour qu’il devienne une sorte de puzzle dont les pièces sont la propriété exclusive du Gang des Mondialistes.
Quand la mode lassera, ou que la grossièreté du procédé ne tiendra plus dans l’opinion, on prendra les mêmes, on les réagitera fortement et un nouveau concept tout aussi toxique verra le jour sous une nouvelle appellation.
Avec son variant Cancel culture, apparu vers 2017, la boucle est bouclée. Tout aussi nuisible, la Cancel culture (à une consonne près nous avons cancer) consiste à disqualifier ceux ou celles (on dit maintenant iel) dont les propos sont jugés « révoltants » par ces militants hystériques. De quoi user de la salive à longueur de millénaire !
La liquéfaction de la pensée moulinée à la sauce nazi, sans en afficher l’intention, exerce son pouvoir de séduction sur un public intellectuellement vulnérable.
Tout cela faisant partie des diversions planifiées par l’Empire pour désamorcer toute contestation de son hégémonie, venant du peuple, s’opposant au Globalisme des élites dont il perçoit l’extrême danger.
L’Empire veut notre peau !
Sous l'Casque d'Erby
Le bonjour à toutes et à tous. Et la bonne fête aux mamans. Evidemment !
RépondreSupprimerSalut Rodo. Pour raison de commodité de calendrier, c'est hier que nous nous sommes réunis pour fêter la maman de mes petites-filles. Temps idéal, c'est sûr ! Même son papa s'était déplacé de près du stade de l'Abbé Deschamps. Allez hop ! on embrasse toutes les mamans ! (non, ne rougissez pas, Mesdames, vous le méritez bien !)
RépondreSupprimerJoli billet de fête des mères
RépondreSupprimerDans l'article de Geopolintel on trouve cette phrase concernant Macron "En 2021, Emmanuel Macron avouait avoir « une dette très claire » envers la Libye :.... " et qui fait penser au casse du siècle organisé par lui et les autres en Libye --> https://www.voltairenet.org/article197294.html
Merci. Lu le papier très profitable de Géopolintel. Si je devais donner un titre ce serait "Affreux, sales et méchants". Le bon dimanche.
SupprimerBel article à l'honneur de toutes les mères !.... Ma Juju te remercie !
RépondreSupprimerMerci.
SupprimerEt moi aussi, seulette en ce jour, je te remercie Rod...bonne fête Martine ! :-))
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Tout pareil pour nous. La bise.
SupprimerMerci pour cet article, Je réfléchis depuis des jours à en faire un sur l'historique des attaques contre la maternité déjà dégradée dans les lebensborn où les femmes étaient réduites à des utérus sur pattes. Maintenant que les mêmes technocrates de la période nazie ont inventé des utérus artificiels et qu'ils n'ont plus besoin d'esclavagiser des femmes en chair et en os, ils tâchent par le mouvement woke, effectivement, d'éradiquer l'idée même de "mère". Dans tous les cas de figure, il leur faut toujours tout artificialiser. Laisser faire la nature est un affront pour ces mégalos qui veulent tout régenter.
RépondreSupprimerLe bonjour. La période est assez épouvantable d'un point de vue moral. Le chaos est tel que pour exister il vous faut quasi systématiquement présenter votre CV quand vous vous adressez à quelqu'un : "Oui, je suis hétéro et vous pouvez vous adresser à moi en utilisant le singulier masculin. Désolé, mais je fais partie d'une génération obsolète."
SupprimerEt ne vous avisez pas d'avoir une gestuelle trop latine (c'est mon cas, je suis assez tactile), car là, c'est plainte assurée pour "attouchement' "harcèlement", que sais-je !
Heureusement, j'habite un milieu qui n'est pas encore gangrené par le fléau. La bonne journée.
C'est vrai! Cela me rappelle que lorsque je travaillais comme interprète au centre de soins pour réfugiés et demandeurs d'asile de Berlin, on posait cette question hallucinante (mais uniquement aux hommes !) s'ils se sentaient plutôt hommes ou plutôt femmes. Précisons qu'il s'agissait de gens qui avaient traversé des galères inimaginables pour des Occidentaux et qui, du coup, se heurtaient à une représentation totalement hors sol du monde. J'avais envie de me cacher sous la table mais heureusement je me suis faite virer ! :))
RépondreSupprimerInterprète d'allemand, je suppose. Si je me fie à la lecture de votre blog. Vous avez bien fait de tout faire pour qu'on vous mette à la porte. C'est très prenant de devoir travailler dans un contexte hostile. Quant à ces histoires de genre, ça m'énerve ! Que chacun se débrouille avec son intimité et qu'on cesse de mouliner de la décadence à tout bout de champ !
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