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Dans un peu plus d’un an, nous serons peut-être encore confinés, nous vivrons des présidentielles devant notre téloche, si d’ici là les élections ne sont pas annulées par le Conseil scientifique de l’Élysée parce que le Covid aura fait disparaître les électeurs et consacré Macron président à vie du plus grand cimetière de l’histoire de la Cinquième.
Apprêtons-nous à traverser un moment d’intense émotion. Qui pour succéder au pervers narcissique, hybridation de la Banque Rothschild et du dur de la dent François Hollande ? Vous en voyez beaucoup de candidats « crédibles » pour ce grand remplacement ? Moi aucun.
Depuis des décennies on nous bourre le mou avec le danger Le Pen, père, fille et maintenant la nièce. Gare aux loups ! A chaque élection on brandit l’épouvantail familial comme on promène des banderoles syndicales entre la place de la République et celle de la Nation, sans que rien n’altère la tranquillité des nantis. Ni ne les empêche de licencier à tour de bras après avoir palpé des milliards d’euros d’aides des caisses de l’État, approvisionnées par l’effort de tous, pour préserver la « paix sociale », comme ils disent. Et comme les pauvres sont plus nombreux que les riches, je vous laisse deviner qui raque le plus !
Nous sommes d’accord pour admettre que depuis Pompidou – pour ne parler que de l’histoire récente – tous les candidats élus sont désignés par des banquiers. Qui n’est pas passé au guichet a peu de chance de voir sa trombine placardée sur les murs des bâtiments administratifs. Le peuple ne faisant que cautionner ce qu’on lui dit de cautionner. On lui dirait à la télé que depuis des siècles nous vivons dans l’erreur, que le soleil se lève la nuit et que la lune chauffe le jour qu’il colporterait cette nouvelle vérité sans broncher et ferait de la charpie à qui oserait affirmer le contraire ! La crédulité est une viande nerveuse ! Et ne comptez pas sur l’opposition pour crier à l’imposture, elle fait partie de la distribution et tient à ses prérogatives.
Depuis 1973 la France ne décline plus, elle creuse sa tombe, sans que, à aucun moment, le clan Le Pen n’ait eu à commander aux destinées du pays. Où est donc l’erreur ? Je pose la question aux personnes qui sont encore valides de la comprenette.
A ce stade, tout pareil que lorsqu’on aborde la tumeur sioniste dans le monde, il faut d’entrée dégainer l’incontournable « je ne suis pas antisémite », sans être sûr de rien, et que je me dépêche d’appliquer au sujet de Le Pen, avec la même incertitude : « non, je ne suis pas lepéniste » !
Le pays n’en peut plus des gens qui veulent le « sauver » et qui le poussent vers les abysses ! Gouverner n'est pas détruire !
Sous l’Casque d’Erby
Le bonjour aux caillardeuses et aux caillardeux. In fine, nous aurons le droit à prendre l'air une fois la semaine. Et pour l'ambiance bar, nous regarderons des vidéos de concerts de plein air dans la vie d'avant. La bonne journée.
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=0vedBku3bCw
RépondreSupprimerJolie chanson. Tellement vraie. Merci. Lien direct : Je donnerai ma voix
SupprimerMais candidat.e presque impossible à dénicher :-)
RépondreSupprimerJe poste le commentaire de Ooma, ne pouvant le faire elle-même depuis sa bécane :
RépondreSupprimerooma
"Mais qu’est-ce qu’un homme révolté, Monsieur ?
Quand un homme est broyé et qu’il se tait, c’est un individu normal. S’il proteste et réclame son droit, c’est un révolutionnaire ! " René Char, Le Soleil des Eaux (1951)
Excellent ce billet chef... Mais ici bas, çà manque cruellement le révolutionnaire!