dimanche 15 novembre 2020

Hold-up

Erby

On atteint des niveaux extraordinairement haut dans la bassesse. Quand reverrons-nous la lumière des choses ordinaires et des plaisirs simples ?
Le film-documentaire Hold-up consacré au Coronavirus et à la conspiration mondiale des élites fait un carton sur les réseaux sociaux, faisant une entrée fracassante dans les foyers à l'heure du reconfinement.
Beaucoup moins apprécié chez les élites dont les nombreux larbins médiatiques sont à pied d’œuvre pour colmater les brèches, ça grouille derrière la moindre minuscule antenne et ça ne compte plus ni les efforts ni les heures supplémentaires pour salir et dénaturer.
Aux riches la crasse, aux gens intègres honneur et dignité retrouvés !
Le succès fulgurant du film Hold-up a donc pris de court la société d’en haut. En quelques heures des centaines de milliers de vues sur la toile, ce qui expliquerait qu'il vient combler un besoin de vérité urgent. Le phénomène s’amplifiant, les pouvoirs ont réalisé qu’il fallait sortir la grosse artillerie. 
Appelés à la rescousse, les médias dominants ont fait ce qu’ils font de mieux chaque fois qu’un mouvement social, politique ou culturel incommode les Princes, en l’occurrence le fameux gouvernement invisible dont parlait Roosevelt dans son discours d’adieu à la Maison Blanche.
Prenons les Gilets Jaunes, mouvement social pacifique, qui ne demande pourtant pas grand-chose à la base, tout au plus, la baisse du prix des carburants, l’augmentation de salaire et zéro taxe pour les produits de première nécessité, nous avons vu comment la machine à dénigrer s’est mise en route et les désignations antisémite, facho, casseurs sont tombées sur leur râble comme une nuée de phylloxera s’abattant sur la vigne. La violence fut la seule réponse du gouvernement à une demande pacifique. Et qu'on ne parle pas de Black bloc, groupuscule pseudo anarchiste téléguidé par la police, qu'on utilise dans les manifs pour discréditer les Gilets Jaunes.
Pour couronner le tout, une des intervenantes dans Hold-up, la sociologue de « gauche » (qui par ailleurs fait du bon travail) Monique Pinçon-Charlot, dénonce une « instrumentalisation » de ses propos et fait techouva, pour avoir comparé le coronavirus à un « holocauste » visant à « éliminer la partie la plus pauvre de l’humanité, dont les riches n'ont plus besoin ».
Selon qui « holocauste » aurait des droits d’auteurs ? Mais ne signifie-t-il pas « extermination » ? Où est le problème ?
Comme toujours, le diable se cache dans le détail et la vérité derrière un groupe de pression !
Regardez la vidéo et faites-en votre propre analyse.

 


Sous l'Casque d'Erby




1 commentaire:

  1. Bonjour aux caillouteuses et aux caillouteux. Les temps sont aux braquages en tout genre !

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