mercredi 28 octobre 2020

La dictature, un point c'est tout !

Erby

Période de tension extrême. C’est devant nous, là, ça nous colle au museau. Impossible de faire un pas sans que sa réalité ne nous explose à la gueule. Tout le monde craint le pire. Tout le monde se tait. Tout le monde se courbe. 
« C’est pour notre bien », lit-on dans la presse subventionnée. Faut bien qu’elle rembourse les sommes qu’on lui avance pour délivrer des mensonges ! 
Je ne parle pas de la deuxième vague virale, celle qu’on annonce avec roulement de tambour et qui va nous pousser dans nos réduits pour nous révéler ce que nous sommes : des rats de laboratoire. 
Je ne parle pas de ça, je parle de la dictature qu’on met en place au nom d’un code viral. Pour notre sécurité, nous dit-on. Mais quand, un chef d’État s’est-il soucié d’autre chose que des intérêts de ceux qui l’ont porté au pouvoir ? 
Notre sécurité ? S’est-on soucié d’elle quand on a défalqué plus d’un million de personnes (femmes, enfants, vieillards) et ruiné un pays comme l’Irak ? Quelle était le prétexte déjà ? Ah, oui, le fameux bouc-émissaire Ben Laden, l'artificier des tours jumelles !
S’est-on questionné sur la sécurité du peuple libyen quand décision a été prise de saccager le pays et de laisser derrière un champ de ruines ? 
Et la Syrie, qui sans l’aide des russes courait elle aussi à sa perte, c’était pour la sécurité de son peuple ou pour le profit d'un tiers ? 
Alors, la sécurité du peuple français, messieurs les gouvernants, opposition comprise, vous n’avez rien à faire. Ce qu’il vous faut, vous le savez déjà, c’est de ruiner le pays et le niveler par le bas, comme inscrit sur le carnet de commande du pouvoir occulte. De transformer nos frontières en une gigantesque passoire pour créer des tensions et déclencher de la violence entre les plus pauvres et les moins pauvres. Entre le blanc, le noir et le basané. Faire de la place dans le disque dur en compactant l’ensemble, un peu comme on fait avec les voitures à la casse.
Le confinement c’est la dictature en marche ! Provisoire ? Mon œil !
Sous Franco, en Espagne, instaurée en 1939, elle devait prendre fin avec la défaite des nazis, parole des démocraties ! Elle a duré 40 ans ! Sous Salazar, au Portugal, quasiment autant !...
Est-ce dire qu’en 2050, les grands-parents diront à leurs petits enfants : « Tout a commencé en 2020. Nous pensions alors que cela s’arrêterait avec l’épidémie... A présent, éteignez les bougies et dormez ! Bonne nuit les enfants. »

Sous l'Casque d'Erby


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