Source image |
Aux Amériques, le Père Donald, les
mains sur les deux bibles, a signé son bail sous l’œil inquisiteur de la C.I.A.
à qui il jure fidélité à « mille
pour cent » ! A cent pour cent, ça suffira !
A l’intérieur comme à l’extérieur,
les Clintonmaniaks ne lâchent pas prise, multipliant les campagnes de
diabolisation contre ce champion de la bagatelle que les électeurs d’une
Amérique méprisée par les élites ont porté au pouvoir. Kakastrouphe !
Rien de nouveau sous le « soleil de Satan », puisque
tel que ce monde a été configuré par le gratin, aucun Etat n’a besoin d’un chef
pour le diriger, mais d’un bon figurant sur lequel la bienpensance focalise sa
grande frustration. Manipulation grossière ! Faire campagne contre le très
grossier Donald Trump, sous prétexte « féministe »,
comme cela s’organise un peu partout dans le monde, c’est cautionner la très hystérique
Hillary Clinton à l’équilibre mental plus qu’inquiétant. C’est comme si on nous
donnait à choisir entre la peste ou le choléra !
Ni l’un ni l’autre !
Épiphénomène hexagonal en ce
dimanche de grâce : jour de vote en terre solférinienne pour désigner les
deux premiers candidats de la primaire qui auront le droit de disputer un
quatrième débat avant proclamation du vainqueur par le biais d’un nouveau vote.
Vous avez suivi ? Aucune importance. Vu le charisme de bigorneau des
postulants autant profiter du beau ciel pour aller s’oxygéner sur le bord de la
grève en fredonnant un bon chant marin aux accents prémonitoires :
Loguivy
de la mer, Loguivy de la mer
Tu
regardes mourir, les derniers vrais marins
Loguivy
de la mer, au fond de ton vieux port
S'entassent les carcasses des bateaux déjà morts.
S'entassent les carcasses des bateaux déjà morts.
Sous l'Casque d'Erby
Le bonjour aux caillardeuses et aux caillouteux. Un temps magnifique !
RépondreSupprimerprofite bien du soleil pour gommer les troubles environnants
SupprimerJe reviens pile de Plougrescant. Superbe temps ! Des couleurs magiques.
SupprimerArphhuuuuuu ! Vivent les caphys, les caillassous, les enragés laineux et autres ruminants rhuminés....
RépondreSupprimerSous le ciel où dansent trois nuages,
La mer bat comme un cœur cadencé.
Elle semble ainsi se balancer
De Marseille à l’incertain rivage
Du Couchant à l’azur enflammé.
La mer bat telle une grosse artère
Engorgée du sang roux de la Terre…
L’astre-roi est un lion affamé
Dont les crocs aiguisés dilacèrent
Le ciel bleu accablant de l’été.
Tout là-bas, l’horizon est flouté,
Avec des rais d’argent qui éclairent
La tour ronde imprécise d’un phare
Insensible aux gifles de la mer
Qui se mêle intimement à l’air
Pour lui faire larguer ses amarres.
La mer bat comme une grosse caisse
Pulsant fort sous les horions du vent,
Gigantesque et tout aussi vivant
Que les flots qui montent, qui s’abaissent.
Le ciel bleu peu à peu s’obscurcit ;
L’eau foncée maintenant semble épaisse
Comme la lave brune que laisse
Les volcans dans ces lointains pays
Où nues et mer semblent se confondre.
Le ciel fond, le vent crie, la mer bat.
Monstrueux ils mêlent leurs ébats
Au-dessus d’un monde qui s’effondre.
(Vette de Fonclare)
superbe texte
RépondreSupprimerTout pareil pour moi !
SupprimerL'Angela en perd la touffe, mais où est-elle ?!-
RépondreSupprimerCharisme de bigorneau...c'est tellement vrai !
RépondreSupprimerJe préfère me regarder quelques épisodes de Profilage en mangeant du chocolat "noisettes et cacahuètes" redoutable !
Bisous les caillouteuses et teux
¸¸.•*¨*• ☆
Le chocolat il faut savoir l'arrêter, mais ça, c'est de l'utopie !
SupprimerJ'arrêterai après ma mort.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Combien de temps après, Célestine ? Deux cent mille ans ?
SupprimerSelon l'ami Rémi que je viens d'avoir au bout de la gaffe, il y aurait un problème de "robot" dans le bloc commentaires pour commenter les articles. Est-ce votre cas, les amis ?
RépondreSupprimerPour ma part, je n'ai pas remarqué, ami Rodo.... (pas robot)
Supprimer