Erby |
Si
vous le permettez, je suis entré en apostasie politique. C'est mon
renoncement public, sitôt après avoir chassé toute idée
religieuse de mon esprit.
Je demande au PS de laisser tomber son appellation « gauche » d'origine frelatée cherchant à devenir un parti de masse, et me met à distance respectable pour ne pas en être contaminé. Le premier qui me traite de socialo, aura affaire à ma mère, ce que je ne souhaite à personne, vous comprendrez pourquoi.
Absolument rien à se mettre sous la dent, sauf, peut-être, l'idée d'une médiocrité agaçante, ce qui n'est pas du tout mentalement flambant. Quand, d'un œil désabusé, je tombe sur l'image de François Hollande aux lucarnes, je me dis que la France ne roule pas carrosse et cela me met dans un état que, tiens, je double ma dose de tranxène, puisque personne n'a l'air de vouloir partager le pavé avec ma pomme, pour autre chose que banderoles et graffitis !
Si pour le béotien le tranxène n'est pas parlant, pour la victime, celle qui le glotte, le sent courir comme mascaret dans son organisme, dévastant les sens, la réduisant à légume, morte dans son corps, tuée dans son âme, le tranxène, entre autres psychotropes, est un médoc qui calme secos toute dérive citoyenne que le patient obligé avale à corps défendant, quel qu'en soit le gouvernement en charge des affaires de la nation.
Nous vivons en état de psychiatrie globalisant, viscose-ment subi et souvent accepté. Dès qu'un quidam présente des signes suspects de malaise ou de récalcitrance, le corps médical, en l'occurrence, la gouvernance, administre de force la forte dose (hier les roms et les pédés, aujourd'hui le terrorisme, la Russie et tout le reste), pensant que cela suffira à calmer les nerfs, t'enfonçant du pieu à tout va. Or, avec l'accoutumance, plus ça va, plus la dose est poilue, au point qu'au jour d'aujourd'hui on ne fait plus la différence entre un extraterrestre, un être normal et un déglingué du bulbe prenant Dieu pour le Père Noël, son fils pour un footeux célèbre et la mère Marie pour la mère Denis. La vérité n'étant pas, on s'en doute, le produit d'un cerveau dérangé mais celle d'un cerveau qu'on dérange sciemment !
Je demande au PS de laisser tomber son appellation « gauche » d'origine frelatée cherchant à devenir un parti de masse, et me met à distance respectable pour ne pas en être contaminé. Le premier qui me traite de socialo, aura affaire à ma mère, ce que je ne souhaite à personne, vous comprendrez pourquoi.
Absolument rien à se mettre sous la dent, sauf, peut-être, l'idée d'une médiocrité agaçante, ce qui n'est pas du tout mentalement flambant. Quand, d'un œil désabusé, je tombe sur l'image de François Hollande aux lucarnes, je me dis que la France ne roule pas carrosse et cela me met dans un état que, tiens, je double ma dose de tranxène, puisque personne n'a l'air de vouloir partager le pavé avec ma pomme, pour autre chose que banderoles et graffitis !
Si pour le béotien le tranxène n'est pas parlant, pour la victime, celle qui le glotte, le sent courir comme mascaret dans son organisme, dévastant les sens, la réduisant à légume, morte dans son corps, tuée dans son âme, le tranxène, entre autres psychotropes, est un médoc qui calme secos toute dérive citoyenne que le patient obligé avale à corps défendant, quel qu'en soit le gouvernement en charge des affaires de la nation.
Nous vivons en état de psychiatrie globalisant, viscose-ment subi et souvent accepté. Dès qu'un quidam présente des signes suspects de malaise ou de récalcitrance, le corps médical, en l'occurrence, la gouvernance, administre de force la forte dose (hier les roms et les pédés, aujourd'hui le terrorisme, la Russie et tout le reste), pensant que cela suffira à calmer les nerfs, t'enfonçant du pieu à tout va. Or, avec l'accoutumance, plus ça va, plus la dose est poilue, au point qu'au jour d'aujourd'hui on ne fait plus la différence entre un extraterrestre, un être normal et un déglingué du bulbe prenant Dieu pour le Père Noël, son fils pour un footeux célèbre et la mère Marie pour la mère Denis. La vérité n'étant pas, on s'en doute, le produit d'un cerveau dérangé mais celle d'un cerveau qu'on dérange sciemment !
Sous l'casque d'Erby
Bonsoir les caillasseuses et les caillasseux. Si vous trouvez que je suis en boule, après lecture de ce qui précède, vous vous trompez, plus Zen, tu meurs !
RépondreSupprimerAvec toi sur toute la ligne !.... Quand au tranxène, j'en ai distribué des kilos lorsque je dirigeais ma boite d'handis. C'est vrai que comme "camisole chimique" y'avait pas mieux !... Tiens "camisole" ! Ça fait penser aux "fous" ça !... C'est bien bien ce qu'ils cherchent à nous rendre tous ces politiques de merde !... VIVE BAKOUNINE ! VIVE L'ANARCHIE !
RépondreSupprimerCeci dit moi aussi je suis ZEN ! Et même KéroZEN... pour les cocktails Molotov !... ;-)
Hello, les caillaisseuses et caillaisseux,
RépondreSupprimerJe reviens après des ballades nécessaires pour quelqu'un que j'aime bien. Je suis carrément dans la même out-case que toi, super d'accord. Par contre, le tranxène est l'un des médocs qui me fait l'inverse mais néanmoins j'en prend moins. Sorry R*B je ne rentre pas dans les effets de ce médoc, ni dans les interactions avec d'autres médics, ni avec les substances naturelles qui nous sont interdites, illégales, et pourtant indispensables pour supporter ces merdeux, ces malcouilloux, ces politicards. Oui vive Bakounine et l' Anarchie. Pas mal les cocktails Molotov. La bise.
Au fait Rod, comment se passe l'expo de M'art'in ?
Bises de la Bretonne, Enervée, Anarcho, Libre, emmerdeuse, pas fiable, fugace, etc... mais y'a le reste dans ma tête encore plus.
Tout le monde est sur le pont ce matin. Salut les caillouteux. Pour ma part je m'en suis pris il y a 20 minutes aux prêtres du FRIC, au nom de la loi de 1905. Doit y avoir moyen de faire quelque chose légalement là-dessus.
RépondreSupprimerEt pour le Tranxène, je ne suis pas près d'en prendre, foi d'animal. Non mais !
Bah ! le PS est moribond de toute façon. Et on ne viendra pas à son enterrement sauf peut-être pour cracher sur sa tombe
RépondreSupprimerJe tombe bien en retard sur ce billet qui m'avait échappé hier... journée noire avec panne de téléphone et bugg informatique en prime !!
RépondreSupprimerDonc, maintenant que ces tracas du "Progrès" qui nous rendent fous ou légumes, avec ou sans trugsène, j'accède au billet. Croyant qu'il est d'aujourd'hui, je pense, d'après le titre "Apostasie Politique", qu'il s'agit de celle de la doctrine US vis à vis de Cuba, enfin "apostasiée" tout à l'heure par Obama... : moralité, lediazec est un devin !!! Vive lui !
... maintenant que ces tracas SONT RÉSOLUS - oubli...
SupprimerBien d’accord décrochons !
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