Tu paries, mon pote ? Tope-la ! La prochaine fois j'enlève le haut ! : A poil les neurones détraqués !!! Source image avant retouche |
De Rome à Berlin et hier à Londres, Manuel Valls passe son oral devant les financiers. Des hectolitres de salive et de sueur pour convaincre les rupins européens, très critiques à l'égard de l'Hexagonie, que sous l'estampille « socialiste » se cachent en vérité de vrais disciples du libéralisme à la française.
C'est au « cœur historique » de la City, à Guildhall, là où ça palpite, là où ça s'agite, là où s'ourdissent les sales coups, que notre Manu a présenté ses arguments à nos meilleurs ennemis les anglais. Empruntant le chemin le plus direct, il n'a éprouvé aucun malaise à se présenter devant David Cameron dans une tenue qui en dit long sur ses intentions, comme le montre la photo d'illustration. Tenue qu'on aurait du mal à comparer au fameux bleu de chauffe propre à un représentant du prolétariat militant.
Oui, mon gouvernement a changé. Désormais il chasse ouvertement du pauvre, du sans-abri, de l'indigent, du fraudeur au Pôle-emploi, du clandestin... Nous allons presser tout ça, comme on presse les pommes à cidre, a-t-il exprimé devant des examinateurs fort surpris par le bagout et la pugnacité du catalan.
Poussant le bouchon encore plus loin, il a expliqué, sans émotion particulière, comment le gouvernement français allait aider le patronat à aller encore plus haut dans ses bénéfices, en baissant ses charges et en supprimant la taxe à 75% sur les revenus supérieurs à un million d'euros, prévue dès janvier 2015 et qui risquait de pénaliser les millionnaires du ballon rond, afin de réussir son plan d'économie de 50 milliards d'euros !
Sous l'casque d'Erby
Bonjour les caillasseux. Ça caille les miches, vous ne trouvez pas ?
RépondreSupprimerLe Manu, 'tention ! J'espère que tu te prendras, physiquement ou moralement, un bon coup de barre derrière les oreilles pour apprendre enfin à vivre en citoyen;, non en truand survolté et coléreux.
RépondreSupprimerPour commencer, tu vas t'immerger pendant un mois dans l'ambiance du magique Couleurs d'Aencre, et si ce n'est suffisant, un mois de plus parmi les Cailloux dans le Brouill'Art, plus un autre mois au milieu de Tranquilles Cénobites, on peut continuer ainsi chez Rosaelle ouchez Cui-Cui le surprenant volatile ou auprès du Monolecte et du beau langage (çà te changera). Et toc !
Le Monolecte ! Impardonnable ! Voilà un blog que j'ai oublié de mettre dans le répertoire. Je répare en demandant pardon. Merci Jean-Claude pour ces précieux rappels.
SupprimerOn peut aussi et prioritairement mettre ce genre d'individus qui pètent plus haut que leurs cul à un "travail d'intérêt général" de taulard en semi-liberté, boulot genre nettoyer les chiots dans l'une des quelques grandes usines qui emploient encore en France des milliers de prolétaires. Avec le RSA, accordé par humanité, après gel (puis don à l'assistance publique) du magot personnel que ce genre de mec ne manque sûrement pas d'amasser...
Supprimerlégende de la photo : Tu paries, mon pote ? Tope-la ! La prochaine fois j'enlève le haut ! : A poil les neurones détraqués !!
RépondreSupprimerLégende ajoutée. Non, mais !
SupprimerSur une idée de Lediazec, P.diaz a réalisé cette photo hilarante
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