vendredi 30 mai 2014

1° MANIFESTE ŒUVRIER


1- A chacun selon ses besoins, De chacun selon ses moyens.
2- Nous naissons et mourons gratuitement : entre temps vivre bien.
3- Nos frères, animaux, végétaux ou autres (levures, bactéries...) aussi.
4- Nous ne pouvons vivre sans eux, eux le peuvent sans nous.
5- L'humanité est la seule espèce a avoir inventé l'argent.
Hier le simple cauri du troc vivable, à présent le fric-roi invivable.

C'EST ASSEZ !
6- Notre espèce humaine est en train de mourir du capitalisme fou.
7- L'humanité l'a inventé, elle peut l'éliminer. Et inventer mieux.
8- Enfants, femmes et hommes actifs sont créatifs du futur : œuvriers.
9- Les parasites du pouvoir capitaliste ne peuvent les mater. Exit !
10- L'avenir est ouvert. C'est sûr, et on s'y met tous, en belle liberté.

ŒUVRONS !
LIBERTÉ & JUSTICE SOCIALE :
TRAVAIL/SALARIÉ, BANQUE/ARGENT, ÉTAT/ARMÉE : NON ! LIBERTÉS/AMOURS/ŒUVRES : OUI !

Note-
Bien que ce texte soit de ma seule responsabilité, assumée, je ne le considère pas comme personnel. Il est le fruit d'un très grand nombre de contacts personnels, depuis bien des années, dans bien des circonstances, hasardeuses parfois. Même si je reste très fidèle à des ami(e)s de plus longue date. Ces ami(e)s très très divers m'ont souvent amené à faire un acte social, à me faire un(e) autre ami, à lire tel ou tel livre ou blog, etc. Merci : vous êtes quelque part rédacteurs de ce manifeste !

Longtemps réticent – et toujours méfiant – d'Internet, il a bien fallu que je fasse ma cure de jeunesse (je vais vers mes 76 ans). Et accepter d'être ami de tel ou telle, à jamais inconnu visuellement, grosse frustration. Parfois handicap pour la confiance, voire pour l'influence (réciproque ou pas) dans la circulation d'idées. La nourrice de nos efforts de clarté. Si nécessaire à accompagner l'action.

Un seul exemple. C'est il y a bien 30 ans, dans l'action, que j'ai connu Marianne Henckel, déjà pivot du CIRA (Centre International de Recherche sur l'Anarchisme), alors à Genève. Tout simplement en tant que ''marginal'' laborantin photo. Cette femme ultra active, dévouée, sollicitée, reste dans mon souvenir d'abord une amie toute simple, souriante de mes lacunes en histoire de l'Anarchie, parfois heureuse (et moi donc!) de nos rares moments de détente, où mieux se connaître entre amis...
Je l'avais perdu de vue depuis. Mais à l'occasion de l'autoédition de mon essai ''jeune Utopie & Anarchie manifeste'' (début 2013), je sus qu'elle était très toujours active au CIRA de Lausanne. Elle reçut l'essai et - par courriels...- nous avons pu rétablir de chaleureux contacts !

Bien entendu ce bref Manifeste n'est qu'une ébauche provisoire. Une bouteille à la mer ''Toile''...

Il est en principe destiné à ouvrir un bref essai : ''Les Œuvriers''. Dont certains de mes articles ici-même sont des ébauches de chapitres futurs. Qui comprendront aussi anciens poèmes et photos... : j’œuvre comme je peux, en fragile équilibriste ! - Rém*


Sous l'casque d'Erby


25 commentaires:

  1. Du très grand Rem*. Un magnifique retour aux fondamentaux, là où des ignares (ou des fous furieux de l'Extrême Centre, j'ai des noms) ne voient dans l'Anarchie que désordre, alors qu'elle est la plus haute expression de l'Ordre. L'Anarchie, c'est la Vie.

    La Vie porte les Visionnaires. C'est sans doute pour cela que M art'IN l'est autant. Elle est la Vie, et le crie dans ses couleurs. Et nous tous qui n'avons plus tout-à-fait vingt ans à l'état-civil, nous vivons tellement plus que des énarques imbus de leur ignorance et officiellement beaucoup plus jeunes.

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    1. Merci Babel pour tes encouragements, j’en ai bien besoin!

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  2. De beaux principes qui ne me semblent pas éloignés de l'écosocialisme. Mais quid de leur mise en application...

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    1. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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    2. heu ..., sauf erreur, l'écosocialisme veut tous ns remettre au travail; ce qui est à mon sens une acceptation d'esclavage au profit de ceux qui auront le pouvoir (des "socialistes " au sens large). Rien à voir donc avec l'esprit de liberté qui se dégage de + haut !

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  3. En relisant, l'article mis en lien, je me dis que ça serait sympa les cailloux publient les photos de Remy.

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    1. Ma photo ? Il y a une grande (ah mais!) sur mon site "Phoésie 3". Le lien est en bas de la colonne de droite, ci-contre.
      Sur mon site, cliquer sur le dernier chapitre "Rémi Begouen", en colonne de droite, aussi, cette fois en haut, sous l'image de l'arbre-homme, ont sont rangés les chapitres. Et, tant qu'à faire, tu peux te balader dans les chapitres, y voir une centaine de mes photos de photographe, en attendant la suite annoncée (mais je ne peux être "au fur et au moulin!).

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  4. Bonjour les caillasseux. Temps à faire frire du gros bonnet.
    "De chacun selon ses forces à chacun selon ses besoins", voilà les bases d'un programme parfaitement réalisable, digne de l'humanité. Entrer dans l'histoire avec une telle donnée c'est quand même autre chose que de laisser son empreinte par le sang, la torture et les guerres, choses que nous subissons depuis l'aube des temps...
    L'humain est-il assez mûr pour s'employer à faire de sa vie autre chose que la guerre ?...

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    1. Nous sommes "tous égaux, tous différents" : mais certains ne l'entendent pas de cette oreille, et considèrent leur différence pour ce qu'elle n'est pas : une supériorité. Cette fausse supériorité, liée à un manque évident d'empathie positive, ils la font payer à ceux qui jouent le jeu. D'où, par des manœuvres diverses, l'embrigadement, les conflits, les guerres. Les supérieurs ne sont en fait que des infirmes. Certains d'entre eux sont aussi des stratèges, donc peuvent avoir une utilité en cas de tâche collective réclamant une coordination. Les pires se contentent, faute de mieux, de "superviser", "d'avoir le Pouvoir". Oui, ce sont des infirmes, aveugles, sourds à ce qui n'est pas eux-mêmes.

      Voilà sur quoi bute l'Humanité. Quelques tarés, qui vicient le reste.

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  5. Bonjour à toute l'équipe !

    Je suis une petite fille enchantée d'être tombée sur ce blog caillouteux ! Et toujours, je me sens très proche de ce que je peux lire ici. MERCI.

    Allez, sur mon blog, je vais poster un poème écrit il y a déjà quelques années, vous le dédie.

    Très bonne journée !

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  6. J'ai été "scotche" à la radio (F-Inter) car Ariane Mnouchkine était l'invitée pour les 50 du Théâtre du Soleil. Cette superbe œuvrière est toujours très "scotchante". Son "Soleil" fête ses 50 ans par l'immense "Macbeth" !... Je crois qu'il y a 55 ans, j'ai mis pour la 1° fois mes pieds dans une troupe de théâtre amateur, en jouant un obscur figurant dans...Macbeth. Puis dans "Dom Perlimplin en son jardin" de Féderico Garcia Lorca : 2 petits rôles qui m'ont fait découvrir deux immenses poètes-œuvriers et, plus important encore le modeste et fructueux travail-œuvrier d'une troupe LIBRE, modeste mais fondamental... D'ailleurs, comment l'oublier : c'est dans ce "chaudron" que j'ai trouvé la pépite d'une première liaison amoureuse vraie...!
    Pour en revenir au présent "manifeste œuvrier", d'abord merci lediazec de la présentation ad-hoc, plus ton choix d'un Erby très ad-hoc!
    Je vais m'absenter pour - entre achats de bananes et compagnie - tirer des copies-papier de ce texte (beaucoup de mes connaissances vont peu ou pas sur internet, et, surtout...un papier passé d'une main à l'autre permet un contact humain concret). A plus !...

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  7. Salut à toi, Ô Rém
    Merci pour ce "Manifeste œuvrier".
    Comme tu as déjà pu le constater, je suis un râleur, ne me satisfaisant pas de ne pas trouver la sortie. Évidemment cela peut être à cause de ceux qui auraient fermé la porte, mais peut-être un peu aussi, de ce que, plus bêtement, nous n'aurion spas même trouvé la porte.

    - "À chacun selon ses besoins, De chacun selon ses moyens."

    Je n suis pas bien convaincu que l'Homme soit un être de "besoin".
    Si cela était le cas, il se contenterait probablement de brouter dans la prairie en compagnie des cervidés, lesquelles ont des cornes absolument magnifiques. Cela manque à l'Homme, très certainement. Ce dernier me semble plus proche du loup, ou du chimpanzé. Un animal politique. Les vampires le savent bien : en suçant le sang, on s'empare de l'âme. Les hommes n'ont plus d'âmes, et se contentent donc de ce qu'ils trouvent sur les étagères, remplissant leur caddy et courant vite chez eux pour y regarder le dernier polar. Une vie humaine assurément qui comble les besoins. L'ennui pour le système marchand - et je compatis - est qu'à force de "satisfaire ses besoins", l'Homme se trouve en quelque sorte "comblé", rempli jusqu'à plus soif, et n'a plus de besoins. GROSSE KATASTROFE ! S'il ne veur pas s'écrouler, le système doit absolument lui en trouver de nouveaux, lui garantissant des "BESOINS À VIE". Bref !, au terme de ce joli compte, les pauvres consomment ce que l'on veut bien verser dans leur auge, et disent Merci !, tandis que les dirigeants dirigent ... leurs besoins !
    Ce n'est pas que les dirigeant soient plus intelligents, mais ils se contentent, quant à eux, de donner le LA !


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    1. Tu as raison Pim , essayons de garder nos âmes.
      Nous sommes contagieux et comme les moutons nous sommes à la merci de la falaise, j’en suis là c’est derniers temps, je crois qu’il faille claironner du positif

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  8. " 5- L'humanité est la seule espèce a avoir inventé l'argent.
    Hier le simple cauri du troc vivable, à présent le fric-roi invivable."

    "avoir inventé l'argent". On se demande bien pourquoi. Quel en fut le "besoin" ?
    Le "cauri" est aussi une monnaie.
    Quant au troc, il me semble qu'il ne résoud pas la question, qui demeure comme lancinante, de la "valeur".

    Qu'est ce qui fait que nous accordions davantage de valeur à telle ou telle "chose" et qui, du fait, surdétermine les relations sociales, lesquelles en viennent à prendre la monnaie de singe pour argent comptant ; je veux dire à croire que ce qui importe, au finalm, ce qui mérite toute l'attention, voire ce qui EST, c'est la valeur, et non la relation, laquelle disparaît dans l'échange. Le "vécu concret" ;;; pfuitttt! .

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    1. Je réponds ici à tes 2 commentaires précédents, à propos du mot "besoin".
      Il se trouve, biologiquement, que nous ne sommes pas des cervidés, ni des lions, ni, ni... mais des omnivores comme comme nos cousins singes, les plus proches animaux de notre espèce... qui eut la folie de "descendre de l'arbre", puis l'autre folie de se baptiser "sapien-sapiens", se croyant le droit de piller la nature, d'inventer l'argent et maintenant sa dérive de "l'économie financière, fiducière, virtuelle" etc. qui nous dénature, dénature nos besoins sociaux vitaux, élémentaires : pour la plupart la disette, la famine, les guerres primitives de survie élémentaire (boire, manger), pour les autres, les guerres sophistiquées (de la Kalakchikov au drone, plus propagandes et espionnages pour mieux s'entretuer au nom de nationalismes ou du "vrai-Dieu")... et puis là-haut, quelques mille financiers fous qui jonglent avec leurs "avoirs" spéculatifs d'argent fictif, sinon qu'ils sapent l'économie réelle, l'organisation du troc.
      La célèbre formule " à chacun selon ses besoins...etc." est d'anarchistes du 19° siècle, hier. Il est clair que cela désigne les simples besoins élémentaires de vie : boire, manger, respirer, dormir, aimer, procréer... Il m'attriste qu'au 21° siècle, si proche à l'échelle de l'histoire de l'humanité, le mot "besoins" puisse ne pas être clair : il est évident qu'un lapon n'a pas les mêmes besoins qu'un bantou, qu'un bantou ou un lapon, ou un français né solide n'a pas les mêmes besoins que son frère né avec une faiblesse de santé, etc.
      Il est clair que - en plus de l'air, l'eau, la nourriture...- les mots basiques sont empoisonnés, par des novlangues du "progrès", encore un mot-piège, comme la course à "La Croissance" mise en dogme du productivisme fou = "bosse, consomme, prend du crédit et tais-toi puis crève en laissant tes dettes à tes descendants", que ce soit sous la (soft!) dictature "démocratique" du "cause toujours..." ou la dure dictature du fasciste "ta gueule..."
      Il est MANIFESTE que se développent, partout, nos ESPOIRS VITAUX. De mille façons locales, dans cent domaines : écoles libertaires comme soins homéopathiques, ré-inventions de monnaies du troc, pour simples comptabilités d'échanges (le dit "sel"...entre autres, comme fut autrefois le cauri), monnaies étrangères au système bancaire-spéculatif de la pieuvre financière... Et puis, d'une façon large, une belle et rebelle culture, toujours renaissante malgré toutes les "récupérations" genre Ministère de la Kultur ou mise aux enchères de tout ou n'importe quoi... le slip fauve d'Elvis Presley "œuvre d'art" ?...

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    2. Merci de ta réponse.
      Si nous sommes des hommesnivores, qu'avons pas besoin de monnaie ?
      Qu' y mettons-nous, qui nous soit spécifique, ou dit tel, à nous autres humains ?
      Un symbole, une relation abstraite, un "vécu abstrait", censé représenter tous les autres, du temps non vécu, censé "valoir", donné en contrepartie d'un temps réellement vécu et "perdu".
      Si la réflexion n'est pas mené sur ces questions, je crains que l'on se contente de bien peu. Il ne suffit pas de crier "anarchie", "à bas l'argent" pour en reconstituer les prémisses, les sel et autres manières de se faire croire que l'on remplace l'argent alors que l'on ne fait que le perpétuer, ou le reconstituer sous sa forme première.
      Le mot "besoin" est pour moi associé à la dépendance. Voilà qui au moins est clmair. Le travail, dont il est dit qu'il permet de satisfaire des besoins vitaux est aussi, et probablement surtout une façon qui aura été trouvé d'asservir les hommes, de leur coller un fer au pieds, en leur disant qu'ils satisfont ainsi leurs "besoins".
      La réalisation de l'art et de la philosophie, dont a pu se faire le porteur un projet d'émancipation de l'Homme, peut -il se traduire par celui de satisfaire les "besoins" ? Lesquels "besoins", je me permets d'insister, sont parfaitement satisfaits par le système industriel de production capitaliste, qui en a même fait sa publicité. Que lui reproche-t-on ? De donner plus aux riches qu'aux pauvres ? ou de ne pas être capable de satisfaire une AUTRE dimension de l'Homme, une autre "besoin" ? Parle-t-on encore de besoin quand tous les autres sont satisfaits ? Et, pour être plus clair, je ne parle ici que des sociétés les plus "développées" par le capitalisme, au bord de l'explosion, non de celles en attente de ce "développement", comme on le nomme.

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    3. désolé ! il faut lire : qu'avons-nous besoin de monnaie ?

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  9. Oui mon Rémichhh, je te suis, A l’abordage la liberté de vivre, à bas les ceintures de sécurités, vidons les poubelles de nos têtes folles qu’on leur laisse bourrer de détritus perpétuel qui comblent , à nous écoeurer, les envies saines d’harmonie et d’élévation dont on a tant besoin....
    Tuons les leurres qui nous tiennent en laisse

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    1. Je crois que la réponse de Val, publiée sous mon nom à 17h40, plus loin, va bien dans ton sens - et le mien !

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  10. Pour une "folle raison" (voir la légende du dessin d'Erby!), le commentaire que l'on pensait bien (comme dit Pascal) devoir prendre place ici se trouve... en fin des commentaires de l'article d'hier !!! Faut dire qu'on a été, Val et moi, au beau soleil (enfin!) avant de casser la croûte en arrosant ci et ça (l'article et le soleil)... et que - pour moi - je subis un traitement médicamenteux (Heu! Ouh!) qui prétend m'interdire l'alcool... c'est pas cool !
    Maintenant - après sieste ! - que je suis plus clair ( au jus de pomme), je vais copier-coller ce commentaire ci-dessous :

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    1. Plutôt que de répondre à vos commentaires ce que j'essaierai plus tard je vous passe la Val (Véritable artisane Libre) : Un manifeste oeuvrier quoi de mieux pour réveiller cette société qui nous empêche de vivre et de sous-vivre car survivre est un non sens. Je fréquente et viens en aide comme je peux pour des personnes dans la détresse (morale, physique et sentimentale), le constat est alarmant et ces personnes ne font confiance que rarement aux humains et préfèrent largement la compagnie de leurs animaux. Je les comprend. Notre espèce humaine est à démonter et à refaire, le "délit de sale gueule" n'a que trop de place dans les esprits si piteux et ignorants. La place est à la télé, à l'ordi et au téléphone : si c'est ça la communication et l'envie d'apprendre il vaut mieux comme le font les politicards se masturber l'esprit plutôt que d'agir en se faisant du FRIC - Force Répulsive de l'intégrité Commune- Alors la créativité, c'est l'avenir de nos enfants c'est tout vert, ouvert et merde à la bétise humaine.
      note de Rem* - je vais donc supprimer ce commentaire publié par erreur sur l'article d'hier...

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    2. Mon cher Rémi, parce que c'est toi et que je te dois le respect, suivant ta volonté, j'ai guillotiné le commentaire qui tu as malencontreusement fourgué sous l'article d'hier.
      J'espère que je n'ai pas commis l'irréparable !

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    3. OK, merci, ô bourreau !

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  11. bien sûr qu'on le signe ton manifeste et le plaisir sra pour nous de te rencontrer pour de vrai lors de nos passages en Bretagne

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    1. Merci...mais ! Il n'y a rien à signer ! Ce n'est pas une pétition...
      Ce n'est qu'une proposition qui ne demande qu'à être discutée, enrichie, etc.
      Donnant lieu peut-être à un 2° Manifeste, un jour ?
      L'essentiel restant, à mon point de vue, à être UTILE dans la diversité de nos luttes sociales autonomes ou non, à respecter. Sauf celles, si ringardes, menées par des syndicats ou partis politiques qui ne pensent qu'à leurs boutiques et leurs pouvoirs... dont celui, principal, de savoir nous embobiner avec des "Tous ensemble! Unité!" (sur ma-juste-ligne-la seule-qui...blabla !)

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