Anourag en 2000 est de nouveau composé de ragas que Ravi Shankar adapte pour elle. Le génie de la sitar participe également à l'album, donnant lieu à des duos de sitar entre le père et la fille. En 2001, Live at Carnegie Hall lui vaut d'être nommée aux Grammy Awards en 2003 dans la catégorie world music. Le 29 novembre 2002, Anouska Shankar participe au Concert for George donné au Royal Albert Hall à Londres en hommage à George Harrison. Devenue elle aussi une référence de la musique indienne classique, Anoushka Shankar décide pourtant de quitter un chemin tout tracé.
Elle collabore avec des artistes venus d'horizons aussi différents que Sting, Jean-Pierre Rampal, Joshua Bell, Lenny Kravitz, ou Thievery Corporation, avant d'étonner elle-même avec Rise en 2005. Rise se situe dans le courant world fusion et vaut à Anoushka Shankar une nouvelle nomination aux Grammy Awards. Elle est également la première femme indienne à se produire lors de la prestigieuse cérémonie. Aidée par le pionnier du courant asian vibes Karsh Kale - soit de l'electro à la mode indo-anglaise - Anoushka Shankar revient sur le terrain de l'expérimentation avec Breathing Under Water en 2007.
Traveller --2012 FULL CONCERT Live
Concert extraordinare 3
Anoushka Shankar And Karsh Kale - Breathing Under Water
Concert extraordinare 3
Anoushka Shankar And Karsh Kale - Breathing Under Water
Sous l'casque d'Erby
M'Bala M'Bala ?... Peuh manchot !
Bonjour les caillasseux. Temps asphyxiants. Temps malodorants.
RépondreSupprimerDe l'air. ouvrons les fenêtres, ça pue !
Merci à Martine de nous offrir cette page musicale parfaitement reposante. Si je connaissais Anoushka Shankar pour l'avoir entendue au hasard, mais sans plus, j'ignorais qu'elle était la demi-sœur de Norah Jones... Pour la peine je suis Ravi de vous proposer l'autre frangine en vidéo du Jour, colonne de droite.
Mention spéciale au superbe Erby qui clôture la page !
Chez BiBi les pendules sont à l'heure :
SupprimerCe qui se cache derrière le fantasme « Dieudonné ».
Salut.
RépondreSupprimerJe ne connaissais pas.
Belle découverte, j'aime bien.
Commence mon ménage dominical avec :)
Bon dimanche.
Salut les cailloux ! Tiens, c'est bizarre je pensais que sitar était masculin, à la différence de la cithare. Il me semble avoir déjà entendu la demoiselle, qui vaut bien son papa. Pour le reste, Rodo a la bonne initiative de proposer d'ouvrir les fenêtres : outre qu'il ne fait pas froid pour un mois de janvier (pas assez), chasser les miasmes devient vital. Le huitième arrondissement de Paris doit avoir des problèmes, pour peu qu'il n'y ait pas assez de vent.
RépondreSupprimertu nous ravis !
RépondreSupprimerBravo Erby !
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