À l’instar de ses congénères de l’espèce, Élisabeth Borne a jeté un cri dans l’espace de plus en plus restreint de la communauté globaliste. Acquis à sa cause, le public, de plus en plus clairsemé, tant le mouvement qui le préside, devient un point imperceptible, l’applaudit sans mesurer la véritable portée du propos. À l’ère de l’IA, on ne fait pas plus automate !
La Borne rêve à haute voix. Son rictus en est la démonstration ! Elle imagine un monde dans lequel, dès son plus jeune âge, l’enfant doit commencer à réfléchir à son avenir. À se faire guider dans le choix de son futur métier. Fini le plaisir, hormis, peut-être, celui que la tendre enfance procure à certains réseaux, dans les milieux de la pédophilie. Plus vite, on l'ampute de l’innocence naturelle, plus vite, il en épousera le moule. Sort si bien décrit par George Orwell dans son pamphlet culte, est-il besoin de le rappeler ?
C’est sur LCP, chaîne de télévision de l’Assemblée nationale – et pas dans un torchon complotiste – dans Questions au Gouvernement, que la Borne a croassé les propos pour lesquels elle est épinglée au mur de la « vermine ». Les guillemets sont là par pure charité : « Les élèves de maternelle doivent réfléchir comment ils se projettent dans une formation et un métier. »
Plus tôt on commence, plus vite l’on réduira le nombre de brebis galeuses !
Les centres de rééducation et d’endoctrinement du gouvernement sont là pour un tracé rectiligne. Pas de dépassement sur les routes de l’horreur, que les lignes rouges du Nouvel Ordre !
La tolérance parentale réduite à zéro ! Terminé le bac à sable et les jeux de plage ! Aux oubliettes, la suavité et l’insouciance d’une enfance heureuse, vous préparant progressivement à la vie d’adulte ! On saute l’étape facultative !
Une seule mission pour ces brebis frileuses : suivre leurs pasteurs ! Et, pourquoi pas, alimenter en chair fraîche la filière des réseaux pédophiles !
Si ce n’est pas écrit dans le Talmud (Ursula von der Leyen vient de faire une embardée sur le sujet), la Bible, Dieu sait dans quel abécédaire de l’esclavage, rédigé avec le sang des vraies victimes, le propos est on ne peut plus clair : l’avenir qu’on nous réserve en haut lieu inspire des frissons indicibles !
Le mot de la fin pour Milan Kundera : « Un jour, on sait et on comprend beaucoup de choses, mais il est trop tard, car toute la vie aura été décidée à une époque où on ne savait rien. »
Sous l’Casque d’Erby
Le bonjour aux Dames et aux passants. Si nous devions faire un parallèle entre horreur et abondance, ce monde ne manquerait de rien ! La bonne journée.
RépondreSupprimerBonjour amis d'ici, ;-) Quand entre horreur et abondance abondent : Revenue à l'écran TV, j'y apprends la folle transmutation du désir légitime d'avoir un enfant quand "l'amour" est là. Aujourd'hui, pour nombre de jeunes couples, ce désir est devenu "un projet d'enfant"… Surtout, et je raccourcis,( témoignages impressionnants ), des foetus sont triés selon leur capacité promise à devenir un être exceptionnel…On ne peut plus prendre le risque de rater son enfant ! Folle humanité…
RépondreSupprimerOma
Texte de Christine Deviers, publié sur VK. Comme je sais que tout le monde n’a pas accès ici à VK je le copie in extenso. C’est terrifiant de vérité :
RépondreSupprimerMacron Rampe, Ursula Implose, l’Europe Se Vide – Le Grand Suicide Européen
Le Titanic Européen, Commandé par des Clowns!
Ce n’est plus une Union européenne, c’est un théâtre de marionnettes qui s’enfonce dans le ridicule et l’impuissance.
Tandis que Trump déroule le tapis rouge aux industriels européens, Ursula von der Leyen supplie, Macron gesticule… et les multinationales fuient. Le tout sous les yeux d’un peuple qu’on prend pour un troupeau docile, maintenu dans l’illusion d’une gouvernance compétente.
Macron : De Président à Plaignard d’Entreprise
Emmanuel Macron, l’homme qui voulait être Jupiter, n’est plus que le concierge paniqué d’un hôtel en faillite.
Il convoque les patrons à l’Élysée comme un animateur de club Med en fin de saison. « Ne partez pas, on va vous chouchouter ! » Mais les PDG rigolent dans les couloirs. Certains avaient déjà acté leur départ vers des cieux plus sains : ceux de Trump, où les impôts fondent et où la croissance n’est pas un mythe technocratique.
Macron offre des milliards en aides, et reçoit en retour des rires étouffés.
La France n’est plus qu’un musée fiscal où l’on vient admirer la bureaucratie en voie de fossilisation.
Von der Leyen : La Diplomatie des Genoux Écorchés
Ursula von der Leyen, incarnation même de la soumission mondialiste, est allée mendier la clémence de Trump. Elle propose un « zéro droit de douane pour zéro droit de douane ». Réponse : un refus cinglant. Trump exige 350 milliards de dollars d’achats énergétiques. Ursula rentre bredouille, humiliée, comme à son habitude.
Mais il y a pire encore :
Trump refuse carrément de parler à von der Leyen ou à tout autre représentant de Bruxelles. Qui l’UE envoie-t-elle alors pour espérer ouvrir la porte ? Giorgia Meloni.
Oui, l’Italie – considérée comme "fréquentable" par Trump – devient la diplomatie de rechange d’une Union désavouée.
Von der Leyen, présidente fantoche, est écartée de ses propres négociations.
On n’avait pas vu une telle perte de crédibilité depuis l’époque où la Grèce quémandait des miettes à Berlin.
Les Big Pharma Plient Bagage : Merci, Bruxelles !
Le message est limpide : les géants pharmaceutiques européens se cassent.
Novartis, Bayer, Novo Nordisk : tous sur le départ, attirés par une fiscalité américaine attractive, une déréglementation efficace, et un marché bien plus juteux.
Et que propose Bruxelles en réponse ? Une taxe sur le soja. Sérieusement. Des sanctions… sur des légumineuses.
On croit rêver, mais non : l’UE riposte à une guerre économique avec des légumes.
Immigration : Le Cheval de Troie du Chaos Social
Pendant ce temps, l’autre chantier de la destruction s’accélère : l’immigration de masse. Les chiffres américains sont édifiants, mais les mêmes dynamiques s’observent en Europe :
Des millions d’immigrés absorbés par les systèmes sociaux.
Des droits accordés sans contrepartie, sans intégration, sans limites.
Des sociétés fracturées, et des peuples qui n’ont plus leur mot à dire.
C’est le suicide organisé de l’identité européenne, et aucun dirigeant ne semble vouloir y mettre fin. Parce qu’ils ne dirigent plus rien. Ils exécutent. Et ils trahissent.
Conclusion : Un Continent sous Assistance Mondialiste
Macron n’est qu’un banquier reconverti en VRP du désastre.
Von der Leyen est une caricature de l’élite européenne : soumise, inefficace, hors-sol.
L’Union européenne n’a plus rien d’un projet politique. C’est une machine de contrôle, aux mains d’incapables guidés par des intérêts transnationaux.
Et Trump, pendant ce temps, rigole. Car il n’a rien eu à faire, sinon regarder l’Europe s’auto-détruire avec application.
Ce n’est plus une Union. C’est une fuite. Une hémorragie. Une farce.
Et le pire, c’est que ce n’est que le début.
RépondreSupprimer"Chaque étape du voyage vers l'éveil est faite en suivant le cœur au lieu de suivre la foule et en choisissant la connaissance et non pas les voiles de l'ignorance. ”
- Henri Bergson (Philosophe français)
Ici, on l'applique ! ;-))
Oma
Houille ! bonjour Rodo et Oma ! J'arrive après la bataille. Il est vrai qu'il n'y a rien à ajouter tant la coupe est déjà pleine. Pour paraphraser Nougaro, on ne peut que déplorer :
RépondreSupprimer— Que se passe-t-il ? Je n'y comprends rien
Y'avait une France, et y'a plus rien !
Nous allons laisser un bien pénible bilan à nos successeurs....
Je n'ose dire : bon dimanche !
JC