mercredi 26 juin 2024

Elections et petites horreurs entre amis

Amorim
Julian Assange est « libéré » tout en plaidant « coupable » ! Place désormais aux opportunistes qui n’ont jamais bougé leur petit doigt pour cela et qui se présenteront comme les grands artisans de sa libération !
Rien de surprenant à cela, l’être humain étant doté d'un culot et d'une duplicité incroyables !
Après le bordel soigneusement orchestré par Macron avec la dissolution (aidé par BlackRock ?), nous ne sommes pas au bout des sales surprises.  Larry Fink, le patron de BlackRock, n’était-il pas dans la capitale française lors de l’annonce de la dissolution ? Ne dit-on pas que cette décision, transformant une consultation européenne en scrutin national, aurait été soufflée à Manu par le vrai patron de la politique intérieure du pays ?
C’est ce que pensent les « mauvaises langues » complotistes qui, depuis la mise en place de la plandémie, ne cessent d’avoir raison sur tout ce qui touche à la manipulation de masse !
L’été s'annonce caniculaire et les prochains JO de Paris seront le théâtre de compétitions bien moins ludiques qu’une partie de water-polo dans une Seine aussi « propre » que la maire qui dirige la capitale.
On informe ceux qui s’intéressent aux choses glauques de la politique profonde que le faux drapeau sera une des activités les plus prisées de cet événement dont la flamme s'épuise à chaque foulée du porteur, gay, transgenre ou simple travelo !
La guerre américaine contre la Russie en Ukraine connaissant, avec son tournant terroriste un virage horrifique d’importance, prenant désormais pour cible la population civile, on avance un possible élargissement pendant les jeux olympiques, avec des attaques terroristes sous faux drapeaux, le tout indiquant l'implication directe de la Russie !
Ceci se traduira chez les candidats au partage du pactole électoral par un consensus qui ne s’est jamais démenti depuis que la politique existe. Le peuple, servant de faire-valoir, sera convoqué à la barre pour donner l’illusion qu’il existe. Et même si la partie est finie avant même d’avoir commencé, le gueux sera convaincu d’avoir sauvé le pays !
Rien n’est plus simple et plus complexe qu’une campagne électorale ! Entre psychopathes confirmés et sociopathes en pleine expansion, il n’y a pas de place, ni pour le peuple, ni pour la démocratie !
Tandis qu’en France, on agite l’épouvantail des petits soldats RN, base et sommet de la stratégie électorale présidentielle, sans autre danger que celui du frisson à bas prix, le vrai fascisme, celui qui s’est moulé dans le costume nazi, jusqu’à en épouser l’horreur, représenté par l'Etat d'Israël, continue son entreprise de liquidation à Gaza, sans que cela perturbe outre-mesure la conscience des « bonnes gens » de la République « une et indivisible » !

Sous l’Casque d’Erby 



6 commentaires:

  1. Le bonjour. Disparu sans laisser d'adresse, ni personne pour nous fournir la moindre explication, j'attends toujours un signe de la part de Jean-Claude ou de ses proches.
    Je n'avais pas le peps pour écrire une énième variation de l'horreur ambiante, mais une petite phrase de Jean Cocteau m'a poussé vers l'abîme. La voici : "Il est possible que le progrès soit le développement d'une erreur." Quelle clairvoyance !
    La bonne journée à ceux qui passent.

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  2. Ah je te retrouve ! :-)
    Assange, ses mots récents: "Je ne pensais pas que les hommes intelligents puissent être aussi lâches"…
    « Je pense depuis longtemps déjà que si un jour les méthodes de destruction de plus en plus efficaces finissent par rayer notre espèce de la planète, ce ne sera pas la cruauté qui sera la cause de notre extinction, et moins encore, bien entendu, l’indignation qu’éveille la cruauté, ni même les représailles de la vengeance qu’elle s’attire… mais la docilité, l’absence de responsabilité de l’homme moderne, son acceptation vile et servile du moindre décret public. Les horreurs auxquelles nous avons assisté, les horreurs encore plus abominables auxquelles nous allons maintenant assister ne signalent pas que les rebelles, les insubordonnés, les réfractaires sont de plus en plus nombreux dans le monde, mais plutôt qu’il y a de plus en plus d’hommes obéissants et dociles. »
    Bernanos

    Oma

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    1. Bonjour Oma. Les siècles passent, l’horreur demeure. Quel que soit le temps reculé d’où arrive un bout de pensée qu’on utilise comme citation, une constante : si le monde bouge, l’homme reste immuable, fidèle à sa « logique » de la soumission. Comme si briser les chaînes qui le maintiennent au piquet d’un système le conduisait non pas à la liberté mais à quelque chose que son esprit supporte moins que son état végétal : l’inconnu ! Insupportable ! La Bise.

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  3. Salut ROD, J'aime à rappeler les mots de Coluche :
    Coluche disait: "si voter devait changer quelque chose, il y a longtemps que ce serait interdit".

    Et déjà, Elisée RECLUS:
    Voter, c'est abdiquer ; nommer un ou plusieurs maîtres pour une période courte ou longue, c'est renoncer à sa propre souveraineté. Qu'il devienne monarque absolu, prince constitutionnel ou simplement mandataire muni d'une petite part de royauté, le candidat que vous portez au trône ou au fauteuil sera votre supérieur. Vous nommez des hommes qui sont au-dessus des lois, puisqu'ils se chargent de les rédiger et que leur mission est de vous faire obéir.
    Voter, c'est être dupe, voter, c'est évoquer la trahison,

    Et j'ai partagé ce matin les mots d'un autre penseur : "Ceci se traduira chez les candidats au partage du pactole électoral par un consensus qui ne s’est jamais démenti depuis que la politique existe. Le peuple, servant de faire-valoir, sera convoqué à la barre pour donner l’illusion qu’il existe. Et même si la partie est finie avant même d’avoir commencé, le gueux sera convaincu d’avoir sauvé le pays !
    Rien n’est plus simple et plus complexe qu’une campagne électorale ! Entre psychopathes confirmés et sociopathes en pleine expansion, il n’y a pas de place, ni pour le peuple, ni pour la démocratie !

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  4. C'est un grand honneur, monsieur l'anonyme. Merci.

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    1. Petite précision a posteriori : "Monsieur ou...Madame l'anonyme !

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