lundi 9 novembre 2020

Et si... Et si...


Soixante-dix longues journées avant l’investiture de Joe Biden à la fonction de président des États-Unis. Deux très longs mois pendant lesquels le pouvoir profond va imprégner de sa viscosité tous ceux qui, de près ou de loin, auront des décisions à prendre sur la régularité du vote. Autant dire qu’il y a des sales quarts d’heure en perspective pour les personnes concernées.
N’allons pas penser que les bestioles du gouvernement underground vont rester les bras croisés en attendant la suite des réjouissances, alors qu’ils sont en passe de réussir le coup parfait : la mise en place d’un gouvernement globaliste dans lequel le citoyen a déjà construit sa prison, avec chauffage au sol et air conditionné, si l’endroit est soumis à des fortes températures saisonnières. C’est ce qu’on appelle l’effet papillon, une suite d’événements d'apparence anodine où le précédent influe sur le suivant. Exemple : virus-létalité-peur-confinement-dictature-acceptation. Pour résumer ce qui se passe aux États-Unis a été précédé en Europe et dans le monde par le désormais classique Coronavirus. Le premier mouvement de l’an 01 de la dictature globaliste que personne n’imaginait possible. S’il est encore temps d’arrêter cette folie, va falloir se bouger le train, parce qu’en face ils ont mis la surmultipliée pour nous fabriquer une vie version « Soleil Vert » !
Et si ce « Clown » de Trump, que nous avons tant moqué, guidés par des médias larbins et manipulateurs, sans avoir le look glamour d’un Obama, avait fait plus pour la paix dans le monde que beaucoup de ses prédécesseurs ?
Savions-nous que le « clown » vient de négocier quatre accords de paix au Moyen-Orient, chose que « 71 ans d'interventions politiques et de guerres sans fin n'avaient pas produites »
Savions-nous qu’il est le premier président qui n'a pas impliqué les États-Unis dans une guerre à l'étranger depuis Eisenhower ? 
Avons-nous oublié que ce « clown » a mis en lumière la corruption profonde et généralisée dans des services comme le FBI, la CIA, la NSA et les partis républicains et démocrates ?
Et que penser de ses révélations sur la pédophilie généralisée au gouvernement et à Hollywood, ainsi que sur le trafic sexuel des mineurs dans le monde entier ?
Bien sûr que nous n’avons ni vu ni entendu puisque nous crachions notre haine et dansions notre joie devant sa défaite !
Une défaite qui aura des conséquences lourdes à plus ou moins long terme, parole de scout !

Sous l’Casque d’Erby




3 commentaires:

  1. Bonjour les caillouteuses et les caillouteux. Eh, oui ! Eh, oui ! La vérité ? Aie, aie, aie !

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  2. ooma

    La copine à Robinette, la voilà:

    "À l'approche d'une possible candidature présidentielle, des reproches provenant de la gauche et accusant Kamala Harris de ne pas avoir suffisamment lutté dans sa carrière contre les violences policières se font entendre.
    En mars 2018, Kamala Harris soutient les liens forts entre Israël et les États-Unis dans un congrès organisé par le lobby pro-israélien AIPAC.

    En mars 2020, elle apporte son soutien à Joe Biden90 bien qu'elle indique croire aux accusations d’agressions sexuelles portées à son encontre91. Elle revendique une carrière de procureure progressiste, tout en ayant participé à la culture politique de répression dure à l'égard de la criminalité qui a prévalu en Californie après les années 1970, tant au sein des Républicains que des Démocrates. Cette culture aurait contribué à un très haut taux d'emprisonnement des Afro-Américains, qui représentaient cinq fois leur proportion de la population de l'État.
    Cet emprisonnement disproportionné, devenu un sujet majeur de la campagne présidentielle de 2020, handicape Kamala Harris, qui compte sur le soutien des Afro-Américains, alors que nombre d'entre eux ne voient pas d'un bon œil ses 27 ans à mettre en œuvre des lois qui enfermaient des Afro-Américains.
    De manière plus générale, les tensions entre la communauté noire et les forces de l'ordre sont de plus en plus profondes.

    https://www.youtube.com/watch?v=WtlWP7BLsSw

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    1. Ah, la bonne señora Harris ! Et dire que les Black lives matter soutiennent Jo Biden et la Kamala. Ils sont l'émanation de quoi ces Black lives matter dont on a vu une représentation en compagnie du gang des Traoré récemment ?

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