Rassemblement M art'IN |
L’incitation à la violence ne peut donc en aucun cas résider dans les guignoleries du défilé artistique, carnaval en chansons du 14 juillet dernier, pointé du doigt par un sous-préfet et autres instances.
Par le 49.3, l’état d’urgence, les saccages commis sur l’environnement et les dénis des droits de l’homme et de la vie sont hautement plus nuisibles. La soi-disant démocratie s’épuise comme peau de chagrin en même temps que la liberté d'expression…
Nuit debout M art'IN |
N'est pas Charlie qui veut !...
Nuit
debout
Lannion s’est élevé artistiquement, et humainement par le biais d’un carnaval contre
l’oppression. A la toute fin, où il est de tradition de brûler des personnages en paille
représentant la monarchie, ils furent « décapités »
à la bretonne, avec le concours de l’Ankou, rappelant de fait les temps obscurs de la
guillotine.
La véritable violence est stigmatisée dans ce 49/3 mis en place illégitimement par trois fois sur deux ans, volonté totalitaire pour asphyxier des revendications citoyennes.
La véritable violence est stigmatisée dans ce 49/3 mis en place illégitimement par trois fois sur deux ans, volonté totalitaire pour asphyxier des revendications citoyennes.
De fait, la violence se trouve pour l'essentiel dans les
défilés officiels. L’armée et l’armement défilant chaque année sans aucune mesure pour célébrer la prise de la
Bastille par le peuple avec leurs fourches et des piques ! Leurres et artifices. Ces armes exposées publiquement tuent femmes, enfants et civils loin de chez nous, sous le prétexte étrange de leur éviter des violences.
La violence commence par celle faite aux peuples de la terre, aux vivants et au sol sur lequel ils vivent.
La violence est faite à ces jeunes et ses vieux précarisés qui ont le temps d’observer, de comprendre et vivre au quotidien la déstructuration qu’on leur inflige.
La violence est faite à notre jeunesse qui revendique légitimement dans la rue et se fait violenter par les forces de l’ordre.
La violence est faite à notre jeunesse qui revendique légitimement dans la rue et se fait violenter par les forces de l’ordre.
La violence se fabrique avec les
formations proposées par l’éducation nationale si peu adaptées à la vie à
laquelle seront confrontés les citoyens de demain.
La violence est aussi cette dette savamment orchestrée par des financiers pour voler aujourd’hui les peuples d’Europe et leur patrimoine.
La violence est aussi cette dette savamment orchestrée par des financiers pour voler aujourd’hui les peuples d’Europe et leur patrimoine.
La violence est simplement dans les
informations accessibles des médias vendus aux grands marchands, ou à l'état dont les élites sont elles-même achetées par les marchands.
La violence c'est la manipulation du peuple contre lui-même. L’état
d’urgence muselle, alors que sa mise en place légitime n’est qu’un sac percé pour faire
filtrer les violences terroristes.
La violence est dans ces nouvelles
guerres que des gouvernements puissants fomentent dans les greniers du monde, semant le chaos, poussant les peuples à se déplacer , devenir fous ou mourir.
La violence est dans le soutien des
gouvernements fascistes, génocidaires, qui manipulent et détruisent le monde.
Violence a été faite à Nuit debout Lannion où il est déjà demandé comme par hasard, à leur membres précaires de payer 1500€ pour des dégâts occasionnés par un passant sur la porte de la Mairie, le soir ou Nuit debout tenait sa permanence. Ce n'est qu'un début, des violences du même ordre sont à suivre dans l'espoir de capitulation . La violence tue.....
Faire face M art'IN |
La violence réside dans toutes les
guerres que les Etats soumis font à leurs propres peuples.
L'art est l'image en miroir de nos sociétés. Violence est faite aux artistes français.
Nuit
debout
Lannion est donc soutenu par des artistes bretons et leurs œuvres vivantes,
pleines de sens, représentant « l’art
d’aujourd’hui », à ne pas confondre avec l’art totalitaire officiel français, nourri
avec l’argent du contribuable, ne soutenant que le seul style conceptuel,
violent par manque de sens, d’échange naturel avec le peuple. Cet art avant
tout marchand est dit « Contemporain » pour mieux nous confondre. Il ne profite
qu’à une élite d’artistes essentiellement étrangers !
Violence est faite aux jeunes artistes en herbe n’ayant aujourd’hui accès
qu’à l’enseignement imposé de ce seul style. Finies les techniques artistiques
de base de nos anciens qui firent de la France l’exception culturelle.
Les feux de la violences vont-ils cesser quand il n'y aura sur terre que des cendres ?...
Les feux de la violences vont-ils cesser quand il n'y aura sur terre que des cendres ?...
Bonsoir aux caillardeuses et aux caillardeux, aux civils en danger. C'est la guerre. Celle de l'Etat contre les citoyens. Contre l'homme libre !
RépondreSupprimerLa bonne soirée !
Acqueux salut, ô Rodo-z-et-tribu !
RépondreSupprimerDe notre côté, nous nous préparons à la violence qu'on veut nous faire tomber dessus : d'ailleurs aujourd'hui j'ai prévu d'aller me couper un bâton à sculpter un peu pour le 8. Les réunions préparatoires ont largement commencé. Les bâtons c'est pour faire du bruit, comme dans la chanson.
MERCI, M art In, de ce beau billet replaçant l'art dans LE politique : la vie de la cité – ici Lannion...
RépondreSupprimerTu termines ton billet sur : « Cet art avant tout marchand est dit « Contemporain » pour mieux nous confondre. Il ne profite qu’à une élite d’artistes essentiellement étrangers ! Violence est faite aux jeunes artistes en herbe (Etc.) » Je crois qu'hélas cette constatation est loin d'être nouvelle ! : La grosse différence est que l'artiste était autrefois « acheté » par une élite aristocratique (qu'il soit petit chef du village ou sorcier, grand roi ou pape...) et qu'il est maintenant déformé (dans sa liberté) pour l'aristocratie boursière spéculative... c'est pire !!! : que cela profite essentiellement à des « étrangers » ou pas ne me semble pas l'important. L'important est bien sûr que de filous protégés de la maffia boursière se fassent reconnaître « Artistes » au détriment des vrais artistes, « en herbe » ou « confirmés » (comme... M art In!). Rém*