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Alain
Finkielkraut élu à l'Académie française dès le premier
tour, jeudi 10 avril, par 16 voix sur 28, c'est de l'info !
C'est ce qui pouvait arriver de mieux à cet être momifié, sorte de ténébreux triste à crever, qui à force de ne pas s'aimer finit par détester les autres, de préférence le palestinien, le noir, l'arabe, le Rom et tout ce qui ressemble, de près ou de loin, à une vision de pauvreté devant son rectangle de fenêtre, ce qui lui rappelle sans doute que la psychanalyse n'est pas que le canapé sur lequel on s'allonge pour faire de la confidence au spécialiste, mais le lit de mort de celui qu'il pense être son ennemi ! Combien de siècles lui faudra-t-il pour comprendre que l’œil et l'esprit ne perçoivent que des erreurs longues à mettre en lumière ?... Raison pour laquelle il a sans doute fait de la France et du sionisme un jardin jalousement préservé. Dans un autre contexte, il aurait été tout aussi bien défenseur de valeurs contraires. Hélas pour lui, cela n'est pas le cas, ce qui lui confère un manque de noblesse qui le frustre : on ne peut pas se prétendre philosophe et détester autrui avec autant de force ! C'est donc avec une valeureuse pugnacité que l'homme bataille férocement pour la défense de SES valeurs, aussi vraies que les nuits de papiers qui l'habitent. C'est aussi sans doute pour cela qu'il quête, fouille dans les coins et sous la poussière, cherchant trace et ADN du bijou rare qui lui permettrait de « tirer au clair » l'onde volage de la métaphysique, pour que celle-ci lui révèle, enfin, jusqu'à quel point il a RAISON. Il en a fait, dans sa folie, son mythe de Sisyphe, mais monté à l'envers par un cinéaste de série hollywoodien, où l'on voit le gars descendant à toute vitesse la colline où il est censé se trouver roulant sa caillasse, débarrassé du fardeau, sulfateuse en main, tirant sur la gueule de tous ceux qui n'ont pas eu la chance d'avoir sa chance, ni l'élasticité d'une culture revisitée à la sauce sioniste.
Finalement il est bien à sa place chez les morts-vivants !
Dans la ligne de mire :
Alain Finkielkraut, « l’homme qui ne sait pas comment ne pas réagir »
Sous la Banane de Miguel
C'est ce qui pouvait arriver de mieux à cet être momifié, sorte de ténébreux triste à crever, qui à force de ne pas s'aimer finit par détester les autres, de préférence le palestinien, le noir, l'arabe, le Rom et tout ce qui ressemble, de près ou de loin, à une vision de pauvreté devant son rectangle de fenêtre, ce qui lui rappelle sans doute que la psychanalyse n'est pas que le canapé sur lequel on s'allonge pour faire de la confidence au spécialiste, mais le lit de mort de celui qu'il pense être son ennemi ! Combien de siècles lui faudra-t-il pour comprendre que l’œil et l'esprit ne perçoivent que des erreurs longues à mettre en lumière ?... Raison pour laquelle il a sans doute fait de la France et du sionisme un jardin jalousement préservé. Dans un autre contexte, il aurait été tout aussi bien défenseur de valeurs contraires. Hélas pour lui, cela n'est pas le cas, ce qui lui confère un manque de noblesse qui le frustre : on ne peut pas se prétendre philosophe et détester autrui avec autant de force ! C'est donc avec une valeureuse pugnacité que l'homme bataille férocement pour la défense de SES valeurs, aussi vraies que les nuits de papiers qui l'habitent. C'est aussi sans doute pour cela qu'il quête, fouille dans les coins et sous la poussière, cherchant trace et ADN du bijou rare qui lui permettrait de « tirer au clair » l'onde volage de la métaphysique, pour que celle-ci lui révèle, enfin, jusqu'à quel point il a RAISON. Il en a fait, dans sa folie, son mythe de Sisyphe, mais monté à l'envers par un cinéaste de série hollywoodien, où l'on voit le gars descendant à toute vitesse la colline où il est censé se trouver roulant sa caillasse, débarrassé du fardeau, sulfateuse en main, tirant sur la gueule de tous ceux qui n'ont pas eu la chance d'avoir sa chance, ni l'élasticité d'une culture revisitée à la sauce sioniste.
Finalement il est bien à sa place chez les morts-vivants !
Dans la ligne de mire :
Alain Finkielkraut, « l’homme qui ne sait pas comment ne pas réagir »
Sous la Banane de Miguel
Bonjour les caillouteux. Temps printanier.
RépondreSupprimerZyque du jour empruntée dans le blog de coco
Pour le crobard, Miguel s'y est collé et il a la banane !
Finkie.... soudain le quai Conti paraît plus vermoulu, plus sombre, plus terrifiant plus chargé de poussières et de gravats. Il va réussir à dézinguer le columbarium, le bonhomme ! On notera que le léger (en apparence) La Fontaine n'y mit point les pieds.
RépondreSupprimerSail on, ye mariners, the night is gone !
Excellent !
SupprimerDès la simple expression vocale, le Alain "Finkie" pue le mépris, l'arrogance... celui du "génie intellectuel" qu'il assume être, dans une meute de crétin(e)s... qu'il a plaisir à vilipender... Pouah !
RépondreSupprimerLe cocasse de l'élection à cette Académie de croûtons (pour l'essentiel) qu'est devenue "la coupole des immortels" (!?) est qu'il DOIT faire l'éloge de Félicien Marceau, autre penseur de droite réac (pléonasme, OK), mais qui fut déchu de sa nationalité belge pour ses positions antisémites pendant la 2°guerre mondiale... Bof, le "génial" successeur va pirouetter sur sa broderie bavardeuse, pour arriver à faire, comme toujours, l'éloge d'Israël !! : la malfaisance de ce prétentieux est d'assimiler systématiquement tout antisionisme à de l'antisémitisme, "l'arme suprême" de la propagande du pouvoir fasciste actuel en Israël...
Dernière actualité de ce pouvoir : Israël bloque le reversement de taxes qu'il prélève pour l'Autorité Palestinienne, en RÉTORSION aux efforts palestiniens de se faire entre-bailler les portes d'agences internationales de l'ONU : l'arrogance du sionisme n'a d'égale que celle de son brillant "académicien" nouveau...
Comme tu le dis si bien mon Rémichhhh.... Pouaaaaa!!!!
SupprimerQuelqu'un de gauche, qui donc est AMOUR, ne peut pas s'exprimer comme toi, allons ! Finkyyyy...
RépondreSupprimerIl est assorti à cette France rance dont la droite envahit les rues pour défendre des valeurs religieuses, méprisantes et rétrécies. Il est dans "l'air du temps" (de chien).
RépondreSupprimerVivent les valeurs religieuses réelles, celtes et chrétiennes; Finky est un juif de Sion qui prône sa merde mondialiste !
SupprimerFrance rance ? Rance, oui, mais pas de France, du Ghetto Juif !
SupprimerIl est peut-être utile, comme repoussoir, qu'une brebis galeuse puisse s'exprimer dans notre "meute de méchants loups gôchistes". Mais qu'elle aille semer sa gale dans la gentille meute des brebis pro-sionistes qu'elle vitupère de loin !...
Supprimerpourquoi vouloir mettre du juif partout ? Finkie est un haineux, qu'importe le reste.
SupprimerVoilà vraiment un homme qui ne mérite pas avoir une tel audience .
Supprimer:(
RépondreSupprimerL'on sent de plus Z'en plus comme une mauvaiZe odeur sur cette partie de Terre d'accueil nommé
France.
L'on vit une période exceptionnel depuis plus d'un siecle,je n'ai pas cent ans,mais ,
mes Grands-Parents sont encore vivants ..
L'on vas devoir de plus en plus apprendre a etre endurant,pour espéreZ pouvoir transmettre
à nos enfants et nos p'tits enfants:
LA DEGRADAZION ENTRETENUE ET VOULUE PAR CES TROU DU CUL !!
J'en ai presque LA GERBE .
jp31
,,
Beau texte, d'une écriture alerte et fort bien membré ...
RépondreSupprimerAllons ! notre petit moine soldat, élu grand-prêtre de la langue (de bois ?), méritait une telle diatribe, une telle plume, si légère qu'elle le fera très certainement éternuer (verbe assez proche d'Immortel, au final, et ... la poussière s'y mettant ...)
On pourra, désormais contempler d'un même œil dubitatif l'élection de l'éternel "élu" chez les Immortels, après la nomination au poste de premier sinistre de "la Fille aînée de l'Église romaine" de l'"élu préféré des Français", accessoirement adhésif éternel de l'État promis au "Peuple élu" par Dieu le père, comme une bonne concordance des temps modernes où tribalisme, archétypal, sacerdotal se voient congelés en un même mausolée (Lénine, Mao, Jules César assassiné par Brutus, et Moïse, la Trinité tout en Un), affirmation sans appel de ce que RIEN, JAMAIS, ne changera. Le "Règne de Mille ans" promis par un petit Autrichien ... comme si nous y étions !
Des Empires passèrent... L'Humanité, tint le coup... jusqu'à présent.
SupprimerSoyons réalistes. La Vie perdurera sur notre caillou, mais avec les rayons pernicieux que des humains stupides ont favorisés, et continuent à mettre en avant comme "sans danger", ce ne sera définitivement plus la même Vie, et les Humains tels que nous les connaissons en seront exclus. Merci aux américium, et autres avatars résolument radioactifs, qui auront éliminé une espèce plutôt prometteuse. Bien entendu, ce seront les générations actuellement très jeunes, ou à naître, qui féliciteront leurs prédécesseurs imbéciles. Les "responsables", bien sûr, pas ceux qui ont subi contents ou pas cette fin d'une certaine Histoire. Sans doute y aura-t-il à nouveau des versions expurgées, parlant de fatalité, non de CONNERIE.
"cette fin d'une certaine Histoire" ... Hum ! Cette fin certaine de l'Histoire : "l'Histoire est l'histoire de la lutte de classes" aura écrit Marx. De ce point d'un "réalisme" de Sirius, il n'y a guère d'autre hypothèse que celle -ci : il n'y aura plus d'Histoire, puisque plus de classes, puisque plus d'humains capables de conscience, une classe n'étant que le fruit de celle-ci de ses conditions d'existence. La chimie, comme la lobotomisation aidant, c'est certain, la conscience n'aura pas même un mot qui l'exprime.
SupprimerPlus la même vie ... c'est peu que de le dire à seulement considérer les infinis, les exponentiels "progrès" accomplis depuis la Commune de Paris en matière de dégradation du milieu, de dégénérescence de toute perception du réel, remplacée par le discours sur le réel, discours bien évidemment programmé en amont par les docteurs de la Loi.
Pour répondre au commentateur suivant : l'Académie a pu servir de bureau de fixation de la langue, de sa modélisation pour une langue comme terrain de jeu d'un perpétuelle construction sociale, d'un rapport de forces.
La chose semble réglée, et l'Académie peut aller jouer aux billes ... ce qu'elle fait d'ailleurs. mais il n'est pas anodin que le monsieur y soit nommé. il indique qui tient aujourd'hui le mur des "bonnes paroles".
Pourquoi ne t’ont t’ils pas nommé Pim à sa place ....Oui je sais tu n’en aurais eu que faire....
Supprimer"tu n’en aurais eu que faire ..."
Supprimerque ver ???...
c'est que ... cette couleur, avec un peu de gris, et puis, trônant, ... le portrait de Richelieu ... je ne suis pas sûr ... mais enfin c'est gentil d'y avoir pensé. J'ai au moins une voie tracée, au cas où ...
parce que ça sert à quelque chose l academie française ????
RépondreSupprimer"la joie d'exister n'entre pas dans un bilan"... sur ce thème entre autres, "Au bout de la route" nous invite à voir-entendre une rencontre EXCEPTIONNELLE entre J-M Le Clézio et Pierre Rhabi... Et là, ça sert à quelque chose!!!!!!!!!!!!!
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