mercredi 24 décembre 2025

Les Bonnes Fêtes

L'année s'achève doucement. Une pensée particulière pour tous ceux qu’on pousse sur les routes pour demander plus de justice sociale. Plus d’humanité à un pouvoir technocratique et inhumain. 

Pour la clore en beauté, nous passons par l'étape du réveillon, avec, pour ceux qui en ont la chance et pour ceux qui l'ont menée à bout de souffle, un maximum de joie et de bonheur. 

Cela peut sembler un peu convenu, mais c'est la tradition, et la tradition, qu'on l'aime ou non, ici, on l'honore. 

Un excellent Réveillon à chacun. Joyeux Noël à toutes et à tous.

Erby en mode Easy Rider 


 


4 commentaires:

  1. Le bonjour aux passantes et aux passants. Rien d'autre à ajouter. Le bon tout à toutes et à tous. Et merci de nous accompagner tout au long de l'année dans nos élucubrations.

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  2. Bonne soirée à toutes et à tous

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  3. Nous sommes le 25 au matin, et il fait frrrroid. Noyeux Joël à tous. Je nous vois venir des journées magnifiques (pour les très riches). Salutation bien bas aux très nombreux prolétaires.
    Depuis un JC ulcéré (aux jambes).

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    1. Bonjour Jean-Claude. J’espère que ton repas de Noël aura des allures de chaleur familiale. Bien le bonjour à ta petite famille.
      La classe ouvrière ! La voilà bien déclassée. Elle est pourtant là sous une forme hybride, puisqu’elle a été remplacée, sinon éradiquée. A la place, on a créé la mobilité et la précarité, de manière à empêcher son regroupement. Elle est éclatée, comme un puzzle dont les pièces ont été jetées au sol, comme on jetait jadis quelques pièces de monnaies aux miséreux, pour le plaisir de voir la nuée se plier et se battre pour en récupérer une. Ne reste de ces temps glorieux que des films et documentaires que plus personne ne regarde, hormis quelques romantiques de notre espèce. Une espèce bien rare, ma foi. On a remplacé la solidarité de l’atelier ou de l’usine par l’isolement du travailleur ubérisé, du free-lance en quête perpétuelle de missions, du salarié en CDD enchaîné. Le capitalisme, lui, a su s’adapter, se nourrissant de cette atomisation pour mieux régner. Pourtant et malgré tout que faire d'autre sinon continuer à se battre et à y croire. Je t'embrasse, vieux frère.

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