mardi 16 mai 2023

Qui se souvient de la mémoire courte ?

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Qui garde encore souvenir de ces petits papiers directement inspirés de l’administration allemande sous  l’occupation, nous autorisant à aller prendre l’air ou vaquer à ses occupations, comme on le fait en prison avec les condamnés ?
Avec le Covid on a nommé cela « attestation de déplacement dérogatoire » ! En allemand c’était plus concis : AUSWEIS !
Qui se souvient de l’enfermement massif des pays à l’échelle presque planétaire – le même jour à la même heure ! – pour le compte d’une minorité malfaisante ?
En cas d’effraction – que l’uniforme soit vert, gris ou bleu –, le contrevenant en prenait pour son grade ! A 135 balles la prune, ça mettait les idées au frigo, sans coup férir !
Qui se souvient encore de ce monde d’avant la « distanciation sociale » que personne ne voulait voir voler en éclats si brutalement ?
Qui se souvient de ces appels à la vaccination massive, émanant du monde du spectacle et de tout ce que cet univers a d’abject, avançant la carotte des retrouvailles avec « la vie d’avant » ?
En songeant à cela, c’est tout juste si nous ne parlons pas d’une dystopie diffusée sur des plateformes de Vidéos en ligne.
Qui a réalisé la véritable portée de ce qui nous a été infligé, non point pour nous sauver, même si cela fut l’argument de base, mais pour nous rendre fous ? Fous au point de déclencher haine et violence envers nous-mêmes ?
Caprices de la mémoire.
A vouloir nous « sauver », par cabinets-conseil interposés – le véritable gouvernement des nations –, non seulement on ruine l’économie et nos vies, nous faisant perdre le sens des réalités, mais on nous fait prendre comme une évidence ce qui n’est que l’acceptation progressive d’un plan et d’une idéologie du génocide « librement » consentie ! Tant et si bien, qu’à force, ce n’est plus eux qui proclament notre destruction, mais nous-mêmes qui l’envisageons comme la chose la plus « normale » du monde !
C’est ainsi que, insidieusement, le suicide collectif devient une réalité acceptable. Et si, au fond, nous n’étions ces insectes qu’on cherche à nous faire avaler en lieu et place d’un bon ragoût de mouton, d’un coq au vin ou d’un sauté de veau ?
« Ce n'est pas parce que la mouche vole que cela fera d'elle un oiseau », rapporte dans ses mémoires le truculent porc-épic d'Alain Mabanckou, établissant un parallèle entre l’insecte diptère et l'homme, sur lequel il ne se montre guère charitable. Car si celui-ci a des aptitudes reconnues à faire le bien, il aurait tort de trop s'en vanter, car c'est souvent dans le mal qu'il excelle !
En ces temps où la mauvaise foi tient lieu de programme et le crime de catéchisme philosophique, l’épandage de produits toxiques dans les champs de la pensée est aussi courant que la misère morale est fulminante. Pour combler vide et sidération, une très large place est faite dans l'actualité à l’inversion des sens : un homme pouvant devenir, entre autres nouveautés une femme, s’il le désire, puisque c’est ainsi qu’on le décide pour vous. On l’encourage même, et ce dès l'école. On te matraque cela comme une vulgaire publicité pour une friandise, sous les applaudissements des femmes elles-mêmes. Elles ne réaliseront que trop tard que les véritables ennemis de la féminité ne sont pas ceux que l’Empire leur désigne !
Mais, quelles que soient les manipulations proposées par les séides de la déconstruction généralisée, le champ génétique ne pourra en aucun cas supplanter ce que la nature fait de manière naturelle ! Le reste n’est qu’atrophie et décadence.
En sommes-nous totalement conscients ? Or si on oublie tout cela, plus tout le reste, comme par exemple la guerre qu’on livre à la Russie en Ukraine pour nous faire revenir aux temps primitifs, nous sommes mûrs pour avaler le reste de la potion 2030 !

Sous l’Casque d’Erby


8 commentaires:

  1. Le bonjour. On a beau le penser, le savoir, la mémoire est si capricieuse qu’elle nous ferait perdre le nord. Modeste petit rappel. La bonne journée.

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  2. Salut Rodo. C'est sûr, on parlait de la joyeuse période 1940-1945, mais en y regardant bien, on a connu son équivalent, et en plus, comme allant de soi (et non de soie, aïe aïe aïe..... ni de soit parce que, cailloux et/ou moutons enragés, nous petit nombre avons refusé).
    Ausweis, couvre-feu, rayons vides..... il n'y a guère que les bombardements qui nous ont manqué, vu que c'était du côté du Donbass que cela tombait comme à Gravelotte. Quant à l'habitant du Kansas ou du Missouri, en fait il n'était pas mieux loti : il s'agit toujours d'une guerre mondiale ! La guerre plus que séculaire que font "les GRANDS" (mais les grands quoi ?) aux "petits"...
    « Et nous, les petits, les sans-grade, nous ne l'étions pas, fatigués ? » (Flambeau, dans "l'Aiglon" d' Edmond Rostand)
    .
    .L'intrus du 55 rue du Faubourg l'a bien dit, « Nous sommes en guerre.... » sauf qu'il n'a pas dit qui était ce NOUS, pluriel de majesté oblige, ni qui en était la victime, puisque le Peuple ne compte pas.
    .

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    1. Salut Jean-Claude. On me souffle à l’oreillette que « l’intrus du 55 » n’est qu’un pion, une sorte de figurant dans l’horrifique méga-production anglo-hollywoodienne. N’empêche, que j’aimerais bien l’assoir sur une chaise et, entre deux ramponneaux, juger pour « trahison à son pays », cette petite frappe malfaisante !
      A propos (et cela est amusant), j’ai tiré de l’étagère le Edmond Rostand que tu m’avais offert dans la collection Omnibus, où figure, entre Cyrano et Don Juan, la pièce en 6 actes, l’Aiglon. Un auteur, moins ronflant que beaucoup d’autres, qui mérite mille fois plus de gloire que certains panthéonisés !
      La bonne journée.

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  3. Un autre rappel ! Je m'autorise à reposer ce lien, trop fort pour ne pas être découvert ;-) (posé trop tard !)

    Voici une citation d'Henry Kissinger tirée d'un discours devant le Conseil de l'OMS sur l'eugénisme (sic), le 25 février 2009
    "Une fois que le troupeau accepte les vaccinations obligatoires, c'est GAME OVER. Ils accepteront n'importe quoi - le don forcé de sang ou d'organes- "pour le plus grand bien ». Nous pouvons modifier génétiquement les enfants et les stériliser - "Pour leur plus grand bien". Contrôlez l'esprit des moutons et vous contrôlez le troupeau. Les fabricants de vaccins vont se faire des milliards. Et beaucoup d'entre vous dans cette salle sont des investisseurs. C’est un GROS gagnant/gagnant. Nous réduisons le troupeau, et le troupeau nous paie pour nos services d'extermination."
    Philippe de Villiers : Ce que je ne savais pas... et vous non plus … à 7mn …à 18 mn mais le tout… c'est mieux !
    Ce que je ne savais pas... et vous non plus

    Oma

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    1. Bonjour Oma. Je me suis permis de mettre ton commentaire à la bonne place. Bien que le personnage Philippe de Villiers ne m’inspire pas des masses, je dois lui reconnaître une forme d’intégrité et une parole franche. Ce qu’il dit est non seulement vrai, mais doit être repris hors clivage.
      Quant à ce rat de Kissinger, il a tellement de sang sur les mains qu’il n’existe pas de nettoyant assez puissant pour lui ôter les traces. S’il est vrai qu’il existe un jugement dernier, son procès sera vite expédié !
      Soigne-toi bien. Bises.

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  4. Merci Rod...Pas fan du bonhomme ni du site d'où est émis la vidéo... C'est le hasard qui m'y a amenée...mais j'ai trouvé utile de le partager :-)...D'autant qu'il fut banni des mass-médias en tant que "conspirationniste" après ses prises de position ferme (vaccin: https://youtu.be/CIr8QIcpgi8)...
    Oma

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    1. Pour l'anecdote, Oma, j'ai connu de Villiers alors que j'avais 18-19 ans, au lycée. Nos nous parlions fort peu : il était alors fan de foot, alors que je passais les récrés en tant que partenaire au bridge, avec le futur maire de Saumur. J'aurais eu du mal à admettre que, plus tard, c'est lui qui aurait eu une audience nationale.

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    2. Merci pour ce souvenir partagé... Amusant et trop drôle ce hasard ! :-)

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