ERBY |
Après la
monnaie unique, l’Union Européenne va se doter d’une langue unique, à savoir…
le français.
Trois
langues étaient en compétition : le français (parlé dans le plus grand nombre
de pays de l’Union), l’allemand (parlé par le plus grand nombre d’habitants de
l’Union) et l’anglais (langue internationale par excellence).
L’anglais a
vite été éliminé, pour deux raisons : il aurait été le cheval de Troie
économique des États-Unis et les Britanniques ont vu leur influence limitée au
profit du couple franco-allemand à cause de leur réticence légendaire à
s’impliquer dans la construction européenne.
Le choix a
fait l’objet d’un compromis, les Allemands ayant obtenu que l’orthographe du
français, particulièrement délicate à maîtriser soit réformée, dans le cadre
d’un plan de cinq ans, afin d’aboutir à l’eurofrançais.
1. La
première année, les sons actuellement distribués entre "s",
"z", "c" "k" et "q" seront répartis
entre "z" et "k", ze ki permettra 2 zupprimer beaukoup 2
la konfuzion aktuelle.
2. La
deuzième année, on remplazera le "ph" par "f", ze ki aura
pour effet de rakourzir un mot komme "fotograf" 2 kelke vingt pour zent. Et le
"ch" par "§" zan §anger la prononziation.
3. La
troizième année, des modifikazions plus draztikes seront pozzibles, notamment
ne plus redoubler les lettres ki l’étaient ; touz ont auzi admis le prinzip de
la zuprezion des "e" et letr muet ; inzi ke konprimé dé zon pouvan ze rakourzir : zourz éternel de
konfuzion an efé, tou kom lé otr letr muet.
4. La
katrièm ané, lé jan zeron devenu rézeptif a dé §an§eman majeur, tel ke ramplazé "g", zoi par "ch", – avek le "j" – zoi par "k", zelon lé ka, ze ki zimplifira
davanta§ l’ékritur 2 touz.
5. Duran la
zinkièm ané, le "p" zera ranblazé par le "b" ; le "d" par le "t" et le "v" zera
lui ozi abantoné – o brofi tu "f", éfitaman – on kagnera inzi bluzieur dou§
zur no klafié.
1 foi ze blan te zink an a§efé, lortokraf zera tefenu lo§ik, é lé jan bouron ze konbrantr et komuniké.
1 foi ze blan te zink an a§efé, lortokraf zera tefenu lo§ik, é lé jan bouron ze konbrantr et komuniké.
Boniour cailles et cayous. Kécékecha(cha-cha !) ?! Un nouvel lang ?...
RépondreSupprimerNooooon Mr Rodo !!! Il fo ékrir : "1 noufel lank ?" !!!! fou zeré colé merkredi pro§in bour réfizion !
Supprimeré moi ozi kar j'oré du ékrir "bro§in".... :-(
SupprimerJe vais avoir besoin de beaukoup 2 cours intensifs. Les zalauds !
SupprimerKo Ko Ri Ko (sans cédille à franzais)
RépondreSupprimerPierre Repp en vidé du joug !
RépondreSupprimerz'est zenzazioel
RépondreSupprimer" le BEAT, comme « bien-être au travail »
RépondreSupprimerC'est du good-new-french dans le texte... et cela me rappelle aussi "Arbeit macht Frei" (le travail rend libre)de l'entrée de Auschwitz...
voir
http://labrique.net/index.php/thematiques/lutte-des-classes/742-delta-3-dans-l-enfer-du-capitalisme-logistique
un bonnet d'âne à partager avec ces enfoirés de la FNSEA !
RépondreSupprimerDéradicalisation pour nous dératiser de « nos ratons » !
RépondreSupprimerhttp://www.scoop.it/t/rushes-infos/p/4059643997/2016/02/12/les-escrocs-de-la-radicalite
http://www.humanite.fr/blogs/les-escrocs-de-la-radicalite-598933
Qu’entend-t-on par ce mot horrible : « déradicaliser » ? Que fera-t-on dans ces centres de remise aux normes? Avec quel personnel ? Des lavages de cerveau ? des tests ADN ? de la psychologie musclée? des leçons de « morale » ? l’apprentissage des bonnes manières bourgeoises, de la docilité, de la soumission ?
Et pourquoi pas des centres de « délibéralisation » pour patrons voyous, politiciens corrompus, traders dingues, exilés fiscaux, licencieurs compulsifs, managers harceleurs, ministres en coma dépassé, bombardeurs et affameurs de peuples, chasseurs de syndicalistes, semeurs de ruines sociales, apostats en tous genres?
Je crois que nous ne sommes plus....
RépondreSupprimer5 -> 20 FÉVRIER..... ???? Qué passa ?
RépondreSupprimerj'dirai ^m + :QUE PASSA ???
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