mercredi 15 juillet 2015

François Hollande à la télé : témoignage d'une téléspectatrice insomniaque

Les interventions télévisées de François Hollande – dont j’ai maté des extraits ce matin – font penser à la célébrissime série allemande « Inspecteur Derrick », laquelle visait la ménagère retraitée, sourde et surtout myope, qui profitait de l’heure de diffusion, 13 heures trente sur des chaines nationales, pour piquer un roupillon. Un remède contre l'insomnie. Quand, au réveil, pendant le générique de fin, lorsqu'on demandait à la somnolente mamie comment elle avait trouvé ça, elle répondait : « Le mari idéal. Jamais à la maison à l’heure des repas. Quand il revient c’est pour dormir. Quand il se lève le drap n’a pas un pli à présenter à la machine à laver. Quand on l’interroge sur son travail, il répond : « J’ai enfin attrapé le dahu ! » Quel menteur ! Si vous saviez seulement la pile de dossiers qui dorment dans le grenier recouverts de poussière, d’affaires non résolues !... 
Prenons l’affaire criminelle de la Grèce qui lui prend, dit-il, tout son temps. Que des mensonges ! Il n’a jamais cherché à aider ces pauvres gens à négocier, puisqu’il n’y a jamais eu négociation. Il a fait, avec enthousiasme, sans toujours y mettre la manière, ce que ses amis les riches lui ont ordonné pour filouter l’opinion afin de chouraver la richesse contenue en Grèce, à commencer par les gisements pétroliers et gaziers dont certains, partant de la Crète courent jusqu’à la bande de Gaza (comme c’est curieux !), sans omettre l’importance stratégique du pays dans le cadre d’une domination totale, ce qui demeure le véritable objectif de ses amis les puissants.
A présent que l’affaire semble pliée, son plaisir étant de déshonorer monsieur Tsipras, celui par qui le scandale est arrivé, afin de le faire disparaître dans les remous de la mer Egée dont il n’aurait jamais dû quitter les fonds.
Monsieur Hollande, le Derrick français, est un retors opportuniste comme on en trouve à foison dans toutes les productions de série B : l’allié du fort contre le faible. Un félon pour être précis.» 
Après ce témoignage implacable, voici maintenant une petite animation envoyée par Odile, toujours vigilante, montrant jusqu’à la vomissure la nature profonde du mensonge sur la Grèce :



Trois idées reçues sur la crise grecque



Sous l'casque d'Erby



7 commentaires:

  1. Bonjour caillardeuses et caillardeux. Eh, oui, le mensonge est récurrent. Que faire sinon le dénoncer encore et toujours !
    La bonne journée !

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  2. Juste un truc : il nous prend vraiment pour des imbéciles ! En permanence.....

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  3. MERCI ODILE !!
    Beau billet, lediazec...

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  4. Beau billet c'est bien vrai une fois ! ;-).

    Quand je vois sa face... " Tiens v'là LOU RAVI !
    Et voilà que je trouve:
    "Lou Ravi, un santon des plus importants. A tout seigneur tout honneur, le personnage pressenti pour avoir le visage de François Hollande serait Le Ravi, personnage indispensable et des plus importants s'il en est pour accompagner Jésus dans la crèche de Noël.

    « De plus , nous glisse malicieusement Claude Gandolfi, le chef de fabrication aux établissements Gariguette, c'est le santon qui lui correspond le mieux. Comme lui, le Ravi est une personne naïve, limitée, un simple d'esprit au sourire béat, content de lui en quelque sorte. Je me languis de le faire ce santon, le Président est tellement Le Ravi. C'est même, en quelque sorte, l'archétype du Ravi, « Lou Ravi » comme on dit chez nous en Provence ».

    Ah ah ah. Mais ce serait qui alors le Jésus de la crèche ?

    Odile

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  5. Si vous ne l'avez pas encore lu:
    http://lesmoutonsenrages.fr/2015/07/15/traite-de-versailles-coup-detat-nazis-varoufakis-sort-lartillerie-lourde/

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  6. Merci Martine, j'ai lu :-(( .

    Ecoutez donc Lou ravi (1mn4 ).... tout à la fin, tendez l'oreille !

    https://www.dailymotion.com/video/x2xzi5q_hollande-et-le-danger-nucleaire-israelien_news

    Odile

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  7. Raoul Jennar parle de la CAPÏTULATION de Tsipras :

    " il a cédé là où il fallait résister. Il est des moments où le courage, c’est de dire non. On ne mesure sans doute pas encore totalement l’ampleur de la défaite subie le 13 juillet non seulement par le peuple grec, mais par tous les peuples. Car, ce qui vient de l’emporter c’est cette idée qu’au modèle imposé, il n’y a pas d’alternative"
    Voir :
    http://altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article28955

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