Léo Ferré (4/10) : Ferré chante les poètes / Pauvre Rutebeuf / L'étang chimérique
Léo Ferre/Aragon - Je chante pour passer le temps
Les amants tristes
Léo Ferre/Aragon - Je chante pour passer le temps
Les amants tristes
Le conditionnel de variétés
Sous l'casque d'Erby
Yapuka kasker.... en kaskad !
RépondreSupprimerN'est-ce pas !
Très bonne idée, l'ami, de commencer ce dimanche sous le signe du Léo-et-les-poètes, et d'y associer l'un des meilleurs "fils" de Férré : Bernard Lavilliers !
RépondreSupprimerJe n'ai encore que ré-écouté d'ailleurs le magnifique poème chanté de ce "fils" : "Noir et Blanc", l'une des plus belles chansons de Lavilliers. Ré-écoute gâchée par des acouphènes bizarres et douloureux qui m'ont tiré du lit vers 6heures ! : est-ce le résultat de tout ce que j'ai entendu en pêle-mêle de la part de la soixantaine de visiteurs (dont une majorité de femmes) de mon expo, désormais fermée (OUF!) aux heures fixes, mais visitable tout le mois d'octobre sur rdv ( 02 40 66 08 39, sans laisser de message au répondeur en cas d'absence, ou remi.begouen@free.fr ).
Bon dimanche poétique en compagnie de Léo et Bernard !
Bonjour les gens. Temps pique-mouche !
RépondreSupprimerRutebeuf, pour ceux qui l'ignorent, n'est pas né d'aujourd'hui et si nous devions mesurer le talent à la durée, il est, de loin, parmi les premiers à avoir traversé les passerelles du temps avec une traînée merveilleusement constante :
Le dit des Ribauds de Grève
"Ribauds, vous voilà bien en point!
Les arbres dépouillent leurs branches
et d'habit vous n'en avez point,
aussi aurez-vous froid aux hanches.
Qu'il vous faudrait maintenant pourpoints,
surcots fourrés avec des manches!
L'été vous gambadez si bien,
l'hiver vous traînez tant la jambe!
Cirer vos souliers? Pas besoin:
vos talons vous servent de planches.
Les mouches noires vous ont piqués,
A présent c'est le tour des blanches"
La télé vous dégoûte, bien d'accord, mais, parfois, elle peut être fascinante, comme le sujet de ce soir sur Arte. Un autre monde :
RépondreSupprimerBibliothécaires du désert, ils baladent leurs livres en yak ou en chameau
l'Erby est extra ce matin ! II accompagne très bien cette belle page que j'ai concocté avec difficulté dans la nuit après une soirée arrosé au punch. Léo Ferré....L'un de nos plus grand poète et musiciens connu de notre temps, j'adore ... j'en ferait plusieurs . Il reste furieusement d'actualité, prophète même
RépondreSupprimerun dimanche qui débute de belle manière !
RépondreSupprimerEt comment !
SupprimerAtout : t'as l'hure !
Il y en aura d'autres promis
SupprimerLéo ferré va aussi bien un dimanche que le 14 juillet
RépondreSupprimerN'est-il pas?
Dame,
Léo ferré se porte avec tout finalement.
Mais peut-être
aurais-je un faible pour quelques saisons intermédiaires, des rues vides et ventées
le port et ses anthracites,
une tasse de thé,
et
pas très loin,
à l'avant-poste de la nuit
et deux trois pâtés de sable,
un violon qui pleure doucement.
et vous enveloppe dans sa toile de brume.
;-)
Merci pour le poème, ô amant de l'estuaire !
SupprimerQuand la poésie va tout va par ce qu'elle est contagieuse
SupprimerJ'ai longuement reçu mon-ami-mon-facteur en 1°visite post-expo. Baba qu'il était devant mon expo, il m'a avoué (devant mes pochettes recyclées à ma façon, être plutôt branché Brassens - par son père - que Férré. Je lui ai dit qu'il fallait "oser" passer de l'un à l'autre poète et chanteur... tous deux chers à mon cœur.
RépondreSupprimerDonc l'article du jour tombait pile pour lui. Mais, trop éméché, il m'a promis (ou je l'ai fait pour lui?) de revenir écouter ça, et carrément, de lui expliquer que la poésie n'est pas toujours... chiante !
Je vais sûrement le ré-inviter bientôt, à l'occasion de le croiser, lui en vélo sur le trottoir, au lieu de le traiter "d'écraseur de piétons", comme d'habitude !
C'est Léo Ferré qui dit /
SupprimerLa poésie est une clameur, elle doit être entendue comme la musique. Toute poésie destinée à n'être que lue et enfermée dans sa typographie n'est pas finie; elle ne prend son sexe qu'avec la corde vocale tout comme le violon prend le sien avec l'archet qui le touche .....