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Alors que la guerre en Ukraine touche à sa fin – comme l'attestent unanimement les spécialistes de tous les camps – pourquoi les dirigeants européens s'obstinent-ils à la prolonger ? Cette interrogation est d'autant plus légitime lorsque l'on considère que les ressources financières de l'Union sont dans le rouge intense et que l’économie des personnes est exsangue, devant supporter de nouvelles levées d’impôts pour contribuer à « l’effort de guerre ». Autant dire pour nous finir !
Malgré sa posture belliqueuse, l'Europe est dans l'incapacité d'opposer une résistance militaire sérieuse à une puissance russe qui inspire de la crainte aux États-Unis même. Chercherait-elle par cette attitude à réguler son surplus d’humains par la guerre, les remplaçant par des plus corvéables importés via les réseaux migratoires ?
Ne cherche-t-on pas, aussi, à poursuivre la guerre afin d'étouffer les questions embarrassantes que se poseraient les populations une fois le « conflit » terminé, quand la comprenette prendra le dessus sur la panique ? De demander des comptes aux petites frappes qui nous gouvernent, comme on commence à le voir avec l’escroquerie du Covid ?
Des explications claires concernant l'endettement et l'absurdité d'un engagement militaire dans une région où notre présence ne sert que des intérêts particuliers et des réseaux occultes ?
Autrefois, on « achetait » la paix sociale avec des politiques d'assistanat, soutenues par les syndicats et des politiciens privilégiant les solutions faciles afin de maintenir leur position et consolider leurs avantages ; désormais, c'est pour empêcher la parole libre de retrouver le chemin de la démocratie, qu’on vend la guerre !
Face à une crise économique dépassant largement la capacité d'action des représentants nationaux, les citoyens sont traités avec une indifférence similaire à celle réservée aux animaux en élevage industriel.
À ce propos, la destruction des cheptels, particulièrement bovins, n’est-elle pas à mettre en corrélation avec les décisions prises par l’UE avec le Mercosur afin d'étouffer, voire ruiner définitivement, notre agriculture sans plus de scrupules ?
L'Union européenne présente des défaillances structurelles considérables. Bâtie sur des sables mouvants, elle file vers son effondrement avec une telle constance que l’on se demande si tout cela n’est pas volontaire !
Construite sur des fondations instables, incapable de résister aux pressions extérieures, sa fragilité accélère sa disparition. Ce qui n’est pas un mal en soi, mais les conséquences entraînent avec elle la disparition des habitants, de la culture et la civilisation d’une partie considérable du continent, écrabouillés sous les décombres !
Au-delà de cette ligne, aisément franchie, que reste-t-il aux peuples pour se raccrocher aux branches ?
Sous l’Casque d’Erby
Le bonjour aux passantes et aux passants. Que faire d'autre sinon constater notre ruine ? Chanter, danser, se réjouir ? Pourquoi pas. Mais est-ce suffisant ? Le bon week-end.
RépondreSupprimerBonjour ! Que reste t-il aux peuples ? Se libérer des chaînes mentales, du formatage institutionnalisé et re-prendre son destin en main, "quoi qu'il en coûte". Cette formule d'un destructeur patenté, a montré son pouvoir néfaste, venant d'un olibrius sans conscience. Qu'en serait-il si c'était appliqué en toute conscience par les peuples qui n'ont plus rien à perdre et, tout à gagner ? Dépasser la PEUR des conséquences, du "qu'en dira-t-on", aimer la vie et la liberté et être capable de sacrifices pour reconquérir ces biens inestimables spoliés par le côté sombre d'un système oligarchique corrompu jusqu'à l'os. Ventre affamé n'a plus de maître dit un adage et, les assiettes commencent à se vider inexorablement. À moins d'aimer les pizzas à 1 €, les plats hyper transformés pour le plus grand bénef de big pharma et de s'allumer à la bougie pour survivre.....en attendant des jours meilleurs, il y a des choix à faire, espérons que ce seront les bons. La bise à tous les révoltés !
SupprimerBonjour Volti ! Comme tu dis, s'éclairer à la bougie et se contenter de peu pour "survivre" en attendant mieux. Ça me va ! J'ai toujours vécu de la sorte, donc, pas de soucis. Le plus important a toujours été de vivre en conformité avec mes convictions. Cela m'a valu bien des déboires. Mais au bout, quelle satisfaction ! Bientôt le mouvement du 10 septembre et, soudain, me viennent à la mémoire des scènes de kermesses militantes aux joies extrêmes et aux bastonnades conséquentes. Ainsi va la terre ! La Bise à toi aussi. Toujours un plaisir.
SupprimerSalut Rodo, salut à tous !
RépondreSupprimerPour illustrer cette envie de passer aux chansons afin de ne pas pleurer, je propose ceci
qui est en allemand, mais si guilleret !
Et voici la traduction.
Le bonjour J-C. Merci pour ce madrigal, pour ne pas oublier les bonnes choses de la vie : chanter, danser, jouir, créer et vivre heureux, malgré tout. La bonne journée.
SupprimerSalut Rod et oui comme les trains, une guerre peut en cacher une autre, des gazaouis qui n'ont pas les passeurs de Soros crèvent en attendant la becquée, des gueux qui ne savent pas quoi inventer pour s"en sortir, ainsi va la vie sur Gaia ,la création et la destruction, ça occupe, je m'en retourne là:
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=Q3-_8SblRIQ
Bonjour à toi. Merci pour ce Brassens qui me rappelle des souvenirs chaleureux du temps où j'habitais l'île de Bréhat. Une période riche en avatars. La bonne journée.
SupprimerBonjour ! Ah je sais pourquoi tu es fatigué Rod : « la quantité d’énergie nécessaire pour réfuter des sottises est supérieure à celle nécessaire pour les produire ».
RépondreSupprimer"Un été épuisant entre délires climatiques et bellicistes". Loi de Brandolini
Voilà ! Alors maintenant, on se cherche une belle branche, on s'y pose et on observe ce ballet désespéré en écoutant l'oiseau... bizzz
Oma
Bonjour Oma. Le temps d’un petit répit, dans le cadre d’un vernissage, tout va bien, tout ne va pas bien. Mais on fait avec. On rit, on sourit. On aborde des sujets légers. On ne froisse personne. Nous sommes là pour la détente, alors soyons sérieux, laissons de côté les sujets qui fâchent. On boit un coup. On grignote. On met tel ou tel génie de l’art pictural dans la case correspondante et on tire grande satisfaction. Comme si le génie en question avait quelque chose à foutre de ton admiration ou de ta détestation.
SupprimerPendant ce temps, comme le rapporte Jean-Claude chez les Moutons enragés, « un élevage sain de poules détruit parce qu’une poussière recelait de la salmonellose » ! Plus de 8.000 poules d'un élevage bio du Roannais abattues sur décision de l'État : "On marche sur la tête"
Ainsi va Maboule ! La Bise.