Erby |
Ça se passe près de chez nous et c’est signé par des lascars ayant perdu de la réalité son sens premier, la vie !
Des bêtes féroces, d’un genre dérivant, éradiquent, elles aussi, ce qu’elles désignent comme les « animaux de Gaza », afin de faire de la place à des complexes immobiliers, obligeant le sédentaire à fuir ou à mourir sur sa terre.
Ce monde est malade de sa furieuse folie.
Très bientôt, dit-on, les animaux domestiques, chiens, chats, poules, gerbilles, que sais-je encore, seront taxés par le gouvernement parce que cela met en péril le climat. Le climatosceptique étant un sous-genre de la faune vivante, fera à coup sûr partie des futurs proscrits !
Et à la cadence imprimée par les globalistes à leur Agenda, très prochainement, autant dire tout de suite, nous nous rendrons chez le toubib pour une migraine et il prescrira sans sourciller une décapitation ou le vil garrot. Pour une gastro, il vous fournira le wakizashi, ou sabre court, ainsi que les témoins, pour un seppuku (hara-kiri), ce qui vous ôtera définitivement le mal et la vie !
A ce stade, il est important de noter que le rituel du seppuku est d’origine chinoise et non japonaise comme nous pouvons le penser. Le hara-kiri nous vient bel et bien de Chine et était pratiqué par des femmes – et non des hommes – qu’on avait accusées, à tort, d’adultère.
Maudites mauvaises langues !
Pour dire jusqu’à quel point ces dames étaient tatillonnes avec leur vertu d’épouse et de mère, elles se donnaient la mort pour « prouver leur innocence » !
Prenez ça dans la gueule, bande de malfaisants !
Bref ! Friands de ce genre d’horreurs, les Japonais l’adoptèrent au XIIᵉ siècle, avec le variant masculin. Forcément !
Cependant, cette tradition aujourd'hui proscrite, semble retrouver vie en Occident depuis 2020 et l’apparition miraculeuse du Covid 19 avec le dispositif contraignant mis en place pour nous pousser à nous faire hara-kiri par autosuggestion.
L’idée est simple : Pour laver votre honneur entaché par le complotisme qu'on vous colle comme une étoile jaune, et, afin de prouver votre innocence, vous vous livrerez au rituel du seppuku en présence du personnel soignant qui n’aura pas à vous aider à rester en vie, puisqu’il a été mis à pied et perdu son statut pour avoir refusé un vaccin génique !
Ainsi, nous éviterons au gouvernement le poids de son déshonneur pour tentative de « génocide » et un tas d’autres désagréments, lui prouvant que notre extrême docilité n’est pas un vain mot !
Sous l’Casque d’Erby
Le bonjour les amis. Noël est là et on parle de trêve des confiseurs. J'aimerais tant !
RépondreSupprimerEh non, Rodo, les Gazaouis passeront "les fêtes" à la belle étoile, pour ceux qui sont encore vivants....
SupprimerAh je t'y prends, Rodo ! Un p'tit article comme ça, pour vanter les boutonnières non surfilées et les décollations sans décalcomanies, les personnels hospitaliers sans hôpitaux, les vélos sans selles (le bout du cadre sert de bouchon) et la fait-selle de Rians......
RépondreSupprimerLà-dessus, pas de soleil : la trêve des confiseurs s'en passera. Un beau temps de début novembre, quoi !
JC
Bonjour Jean-Claude. Eh, oui, la vie c'est ça, du maillage à l'endroit, du maillage à l'envers et de temps à autre, un raté, un noeud qu'on oublie de fixer et un fil qui se défile. Un peu de vent par ici et couverture nuageuse. Un temps de saison, quoi. Les bonnes fêtes.
SupprimerHi Rod et amis d'ici...
RépondreSupprimerLe rituel du seppuku, j'ai appris, aujourd'hui...Et j'avoue y penser parfois...çà annoblit tout à coup ce délire ;-) ! Merci...
Joyeux Noël auprès des "votres" êtres chers....♥
Oma
Oma
Noyeux Joël, Oma !
SupprimerJC
« Et puis un jour on sait, et on comprend beaucoup de choses, mais il est trop tard, car toute la vie aura été décidée à une époque où on ne savait rien. »
RépondreSupprimerMilan Kundera.
C'est y pas un peu vrai çà ? :-) Merci JC pour ton coucou...Bisou...de Noël ! :-) ♥
Oma
Bonjour Oma. Aussi vraie que splendide, cette citation de Kundera, qui, ajoutée à plein d'autres de même facture, démontre que, les années passant, nous faisons le chemin de la vie en marche arrière. Sûr que cela aide autant qu'handicape notre "marche en avant" ! C’était la séquence surréaliste. La Bise et le bon tout au pied de la crèche.
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