samedi 7 juin 2025

L’Ukraine refuse de récupérer les corps de ses soldats morts au combat pour faire des économies



 
Aujourd’hui 6 juin 2025, devait avoir lieu la première partie de « l’échange » à grande échelle entre la Russie et l’Ukraine de corps de soldats morts (en réalité, il s’agit d’un transfert quasi unilatéral de la part de la Russie, car l’Ukraine n’a pas un grand nombre de soldats russes morts en sa possession). Mais au dernier moment, l’Ukraine a refusé de récupérer les corps de ses soldats, pour des raisons particulièrement cyniques.
La première étape de « l’échange » de corps à grande échelle entre la Russie et l’Ukraine devait avoir lieu aujourd’hui. Kiev devait recevoir les corps de 503 soldats tués (sur les 6 000 corps qui sont en possession de la Russie), et Moscou devait en recevoir 42. Cependant, le transfert n’a pas eu lieu.
Environ 150 camions réfrigérés transportant les corps de soldats ukrainiens sont arrivés à la frontière entre la Biélorussie et l’Ukraine, mais la partie ukrainienne a refusé de les prendre, sans donner de motif.
Ce refus peut sembler des plus étranges. En effet, quel gouvernement ne voudrait pas permettre aux familles des soldats morts au combat de les enterrer dignement au lieu de les laisser moisir dans les morgues ennemies ? La suite, c'est par ici

vendredi 6 juin 2025

Marre d’être heureux, pas vous ?

Pixabay
Les campagnes contre l'homophobie se multiplient, comme si la société était engagée dans une guerre de cent ans sur une pratique sexuelle ancestrale désormais banalisée.
On vous demande de porter des signes distinctifs, symbole de soumission aux nouvelles règles du ministère de la Vérité ! Un concept politique qu’on impose dans tous les milieux sociaux et lors des manifestations sportives où le public est nombreux, afin de généraliser la pensée unique. À l'instar de l'ex-Union soviétique et de la Chine maoïste, que les gauchistes fanatisés de la décennie 1970/80 cachaient pudiquement sous les écharpes rouges lors des campagnes de prosélytisme décomplexé.
Un moule pour chacun et tous dans le même moule, c'est la grande reconfiguration des cerveaux !
Le refus de porter un signe distinctif n'implique pas nécessairement l'homophobie, l'antisémitisme ou le racisme. Par exemple, je refuse de porter des t-shirts imprimés, parce que je ne suis pas un homme-sandwich. Mais je n’oblige personne à suivre mon exemple !
Hommes, femmes et enfants ne suffisent plus à appréhender un monde qui sombre dans la folie au nom d’une déchéance programmée ! Il faut quelque chose de nouveau, de créatif, de bien dégénéré pour se sentir quelqu’un d’important. C'est le prix à payer pour être dans l'air des nouveaux temps barbares ! 
Les regrets viendront plus tard, quand nous aurons oublié jusqu'à la notion d'espoir ! Quand nous aurons subi toutes les infamies  et accepté la dépopulation comme une forme de vaccination contre la démographie !
Le problème migratoire, orchestré par la galaxie Soros et politiquement appuyé par l'UE, sans autre règle que celle de mettre en place une politique du naufrage ! S’y interroger sur les dérives et les conséquences générées par ce flux continu, n’implique pas de l’hostilité, comme on cherche à le faire croire en crachant sur les gens du pays qu’un certain personnage du showbiz traite avec haine de « fin de race » ! Les excuses qui ont suivi ne servant qu’à souligner l'immense mépris qu'il éprouve pour le pays qui le nourrit !
Plus on désarçonne l'individu, plus on le dépouille et l’enfonce dans la boue, plus on l'entraîne vers l'indifférence, et plus docilement il intégrera la nécessité de se saborder en tant que personne. 
Rien ne fait tant frissonner l'être nourri à l’aliment consumériste que l'idée d'une agression imaginaire, comme celles que l’on regarde sur les plateformes de streaming vidéo, où Russe et Arabe, toujours vaincu à la fin, endossent le rôle de mafieux ou de terroristes, parfois les deux !
« Qu'est-ce que je n'aimerais pas être à la place d'un Palestinien ! Ou d’un Ukrainien ! Ou d'un catholique. Brrr ! » 
Du coup, l'être optimiste reste à la place qu'on lui assigne devant la télé, la tête enfoncée dans le sable et le cul fouetté par les vents mauvais !
En réalité, l'optimiste n'a qu'une idée et des couleurs basiques en tête : le rose pour les femmes ; le bleu pour les hommes, binairement parlant !
Et moi, dans ce concert ? J’en ai marre d’être heureux ! 

Sous l’Casque d’Erby 



lundi 2 juin 2025

Réflexions et ressentiments à la volée

Les « je vous l'avais dit » sont un genre très répandu, un peu comme les « indispensables », ça remplit les carnets de rendez-vous des psys avant d'échouer sous une pierre tombale, au terme d'un parcours épuisant ! Comme n'importe quel anonyme !
On trouvera toujours aux carrefours de nos erreurs un « savant » prêt à déposer sa bile dans notre foie pour le plaisir de le voir exploser. Un pur produit toxique qui promène son spleen de forum en réseaux sociaux pour polluer des débats qui, au fond, ne l'intéressent pas. Lui, sa dope, c'est clamer haut et fort qu'il est le plus fort !
C'est l'air triomphant qu'il hisse le drapeau de son ego sur l'éperon de sa bêtise : « je vous l'avais dit ! » En toutes circonstances, il arborera l'étendard de son savoir comme on exhibe la Légion d'honneur au revers de son veston. Sachant, qu'on n'obtient pas ce genre de breloque sans se déshonorer !
Au diable les scrupules ! Tout au fond de lui, ce « savant » de nouvelle génération sait ! Et si un jour, il a éprouvé quelque soupçon de contrition, il s'en est vite remis !
Je sais. Tu sais. Nous savions. Ils savent tout ça, tout en haut de la pyramide ! Chez les fabricants de clones et de sosies ! Ces fantômes qui arpentent la scène publique pour nourrir l'illusion des foules manipulées.
Pareil en ce qui concerne Donald Trump – je parle de Trump, mais cela pourrait être n'importe qui d'autre –, dont on dit qu'il a trahi ses promesses électorales dans « sa lutte contre le pouvoir profond » et le redressement d'une Amérique exsangue. 
Allié des globalistes jouant l'opposant avec brio ou une victime de plus ? L'ennemi est-il plus fort qu'il ne l'a imaginé ? Je pencherai pour ce dernier cas de figure.
Qui s'est trompé dans ce mélo ? Trump, en ne mesurant pas la puissance réelle de ce pouvoir dont l'Agenda 2030 déroule ses plans comme on tient un livre de comptes ? Le malheureux électeur est encore pour ses frais !
Peut-on lui en vouloir d'avoir rêvé à des « lendemains qui chantent » ? D'avoir osé espérer qu'un monde débarrassé de la vermine mondialiste, sans adrénochrome, sans pédophilie, sans biolabs, sans euthanasie, sans guerre, sans trafic d'êtres humains ni d'organes, si imparfait qu'il soit, est toujours possible ?
Voter contre l’État profond ne veut pas dire que le candidat pour lequel on « roule » est le candidat idéal. En matière d'idéal, l'urne n'a jamais tiré la panacée ! Elle n'est que la fête foraine par laquelle les élites donnent l'illusion démocratique. Ce placebo à effet psychologique immédiat !
Combien de fois, amis électeurs, avons-nous glissé un bulletin par défaut dans l'urne ? Si j'avais autant de millions que le poids des candidats, femmes comprises, pour qui j'ai voté par défaut, je serais en train de me la couler douce dans une île paradisiaque nettoyée de ces créatures inférieures qui dégoûtent tant les extra-terrestres qui gouvernent nos destinées !
Je fais face à des « savants » insupportables. Mais comme dans la vie, on ne peut pas séparer le bon du mauvais - et c'est tant mieux ! -, nous jouons les gentils couillons avec des gardiens de l'orthodoxie qui ne se soucient pas d'orthodoxie. 

Sous l'Casque d'Erby 


samedi 31 mai 2025

Les moutons ont la rage !


Les Moutons enragés ont fermé boutique. Une voix parmi les plus importantes d'un site alternatif quitte la scène. Une belle aventure, ayant fait du « complotisme » une œuvre de vérité que l'avenir ne démentira pas, se dissipe dans les profondeurs de la toile. 
J'élargis ici le commentaire que j'y ai déposé en ce week-end de l'Ascension où l'évaporation citoyenne a rempli les campagnes en vidant les villes ! Les uns montent au ciel, d'autres descendent voir la mer !
Le travail et l'usure, comme toute œuvre désintéressée, donc humaine, ont eu raison de la volonté d'une équipe motivée et soucieuse de fournir une véritable information piochée dans le cambouis.
L'équipe aura tout fait pour prolonger une aventure qui, à l'origine, n'était pas tout à fait la sienne. Mais, quand on a plein les sabots et que le nerf de la guerre (l'argent) fait défaut, ainsi que les bras pour aider, à commencer par ceux de votre serviteur, qui aurait peut-être pu faire mieux, il devient difficile d'insister.
Après tout, nous ne sommes que des humains. Sensibles et vulnérables, fibrés par des idées dont on ne capte pas l'importance ni la valeur. Il est plus difficile de défendre des idées qu'un compte en banque. 
Il va falloir s'habituer à passer devant les volets clos de cette maison respectable à l'heure où le coq sonne la charge. À moins que… 
La vie est faite de cycles et celui-ci aura été de ceux dont on se souviendra longtemps avec émotion. 
Je n'ai jamais été un amateur des aventures collectives, ni un féru de débats où chacun exprime sa passion ou son dégoût, prenant pour vérité ce qui n'est qu'une opinion personnelle. Ce Graal, contenant plus de frustration que des certitudes absolues, est rempli de nos misères et de la bestialité d'un pouvoir politique impitoyable nous conduisant vers l'abîme.
J'admets cependant que ces échanges sont enrichissants, y compris pour les esprits rétifs comme le mien. Je suis un solitaire à la recherche de j'ignore quel but précisément. Comme beaucoup parmi nous.
Cependant, il y a une chose que je sais : je ne rends personne responsable de ce trait personnel, ni n'accuse autrui pour des faits qui dépassent nos minuscules personnes.
J'ajouterai que j'aime mon semblable et que je souffre de sa misère et des injustices qui pleuvent sur nos têtes, autant que le plus engagé d'entre nous. Cette distance que je préserve n'est pas de la froideur. Elle est là pour me prémunir des « souffrances » qu'on pourrait m'infliger. Un moyen d'éviter ce que je supporte très mal : la déception. 
Voilà la raison qui peut me faire apparaître distant, égocentrique ou indifférent pour qui ignore ce trait de ma personnalité.
S'il y a du bien et du bon dans les aventures collectives – j'en ai vécu quelques-unes –, il y a aussi du mauvais, de l'approximation, de l'égoïsme et du boursouflé de l'ego. Dans ce cas, on ne sépare pas le bon grain de l'ivraie, on prend le pack !
Ceci n'étant la faute de personne, c'est dans la nature des sociétés, travaillées par des systèmes d'éducation séculaires liés à des paradigmes politiques dont il est difficile de s'y soustraire. Encore plus difficile d'y échapper !
On a évoqué aussi (murmuré, dirais-je) l'idée d'une reprise des Moutons enragés par des « candidats » du cru. D'un relais... Je reste dubitatif sur ce point. Ce qui a été fait par autrui, ne peut être reproduit par des tiers dont l'implication n'est pas prouvée !
Je pense à l'esprit et à la lettre. Je me souviens que aventure semblable s'était produite jadis chez Dazibaoueb, dont Jean-Claude fut membre hyperactif de la première version, et dont la reprise à sa cessation ne fut qu'illusion ! Le vrai Dazibaoueb avait bel et bien... rejoint les limbes du digital!
Restera de cette magnifique et riche expérience, la passerelle entre le virtuel et le réel qu'emprunteront celles et ceux qui chercheront à y prolonger les débats, échangeant numéro de téléphone et adresses pour aller de la sympathie à amitié dans la vraie vie !
Le bon vent à tous !

Sous l'Casque d'Erby


jeudi 29 mai 2025

Non au traité constitutionnel européen de 2005



Par Jean-Claude

Eh voilà ! Nous y sommes, à cette commémoration si importante ! Le 29 mai 2005, le Peuple Français debout a décidé de refuser d'entrer dans l'Union européenne.
Dès le lendemain sans doute, cette engeance qui enserre de ses doigts glacés NOTRE MONDE a décidé de sortir de cet anonymat bien commode, d'où elle tirait les fils "politiques" afin de mener NOTRE MONDE vers SON MONDE, qui en est un détestable (le mot est TRÈS FAIBLE) reflet.
Il fallut donc casser LA DÉCISION du Peuple, donc se mettre soudain en pleine lumière (mauvais pour le teint, ça) afin de bousculer la Constitution. Rien moins que de faire décider par UNE FRACTION du Peuple un destin contraire à ce qu'en toute majesté le Peuple avait en son âme est conscience résolu. Il s'agit tout de même de l'Article TROIS, l'un des plus importants.
Oui, soudain, l'hydre tentaculaire, d'un vert blafard, malsain, se retrouvait face aux feux de la rampe pour imposer ses propres "PROJETS".
De magouille en magouille, cette hydre a tant fait que le premier décembre 2009, contre un DROIT définitivement bâillonné, le Nouveau Traité de Lisbonne a été mis en application en France. Cela implique que, ce jour-là, bien que fort peu de citoyens l'aient vu ainsi, la France est passée aux oubliettes, remplacée par une satrapie commandée par une camarilla basée à Bruxelles, camarilla soigneusement non élue hormis par les Banquiers. Oh, par routine, il y eut encore des élections factices, où les vainqueurs l'étaient déjà à l'avance dans des sondages ressemblant plus à des prescriptions. C'est dire la légitimité du système.
Mais le Peuple est toujours là, désemparé, malmené, en proie à un système juridique complètement inversé pour l'interloquer encore plus ; mais c'est aussi un Peuple qui, cahin-caha, tente de comprendre et de réagir. Après tout, le 13 juillet 1789, qui eût prédit ce qui se passerait le lendemain ? « Debout, les damnés de la Terre..... »

Sous l'Casque d'Erby



mardi 27 mai 2025

Obama deep


Obama a les fesses sur le grill. Ne pensez pas à mal, ceci est une image. Ils sont nombreux dans l'univers sombre du pouvoir à connaître ce genre d'inconfort et à bien s'y habituer. Une petite ligne par-ci, par là et ça vous change la perspective.
Selon des sources « autorisées » — il faut toujours se méfier des sources, surtout quand elles sont « autorisées » — il serait, ou aurait été — lors de ses deux mandatures une des pièces principales de la CIA et le bras armé du pouvoir invisible dans le jeu de manipulation par lequel les États-Unis ont plongé dans l'une des séries les plus noires de sa jeune histoire. Pourtant, elles remplissent déjà nombre d'encyclopédies !
Barack Obama, pour qui la guerre aura été un jeu vidéo pour post-adolescent cruel, serait le dernier marionnettiste de la Maison Blanche. Celui qui dictait, après avoir été briefé, au personnel de ce pauvre Joe Biden, son ancien vice-président, où et quand on devait l'aider à nouer la cravate ou à lacer les chaussures. À lire un texte devant la presse, dont il oubliait le contenu quand il ne perdait pas les fiches rédigées par les conseillers. Que savons-nous des mystères diamantifères qui jalonnent l'univers et ses complexes ?
Un procès arrive, c'est imminent, affirment des « sources bien informées » ! Quand les sources sont « bien informées » on peut d'ores et déjà penser que le futur prévenu est entouré d'une nuée d'experts spécialisés en farces et attrapes. Une mise en scène par laquelle tout paraît vrai, mais tout est faux, du bras coupé aux faux serpents ; du coussin péteur au chewing-gum électrique. Une affaire qui télescope celle du procès de P. Diddy dans lequel il est « indirectement » impliqué, son nom ayant été cité au cours du « témoignage déroutant de l'ancien assistant du rappeur ». 
Et dire que je fus ému jusqu'aux tréfonds lorsque pour la première fois de son histoire l'Amérique se choisit un président noir ! Quel naïf ! 
Dans tout cela, il reste le spectacle. Que les Pangloss n'exultent pas trop vite. Ceci ne sera qu'un nouveau feu de paille ! Une énième diversion.
L'idée naïve que nous avons d'une justice immanente, bouc émissaire compris, n'est pas encore à l'ordre du jour. Cela est perturbant pour l'équilibre psychique, je l'admets, car de contrariété en contrariété, nous nous retrouvons dans un pays sous curatelle ! Adieu, veau, vache, cochonne et couvée ! 
Hélas, l'être déconstruit, reste coriace dans son tout petit costume, rien ne l'en débarrassera. Quand une créature du pouvoir est « terrassée », une autre est déjà dans les starting-blocks pour prendre le relais. On croit atteindre le Diable, nous n'avons affaire qu'à l'un de ses démons !
Handicapé, parce que formaté par l'éducation de l’État et un milieu ambiant métastasé par la frivolité et la course à la breloque, le petit homme pensera ce qu'on lui suggère de penser, en toute liberté. Dira ce qu'on lui dicte, crachera sans hésiter au visage de son voisin d'enclos, qui cherche à couper les barbelés, afin de respirer l'air vivifiant de la liberté et, pourquoi pas, du bonheur !

Sous l'Casque d'Erby 


vendredi 23 mai 2025

Pessimiste, moi ? A peine !

L’anesthésiant est puissant et son soulagement si doux, que l’amnésie s’installe dans les consciences comme si de rien n’était : un corps politique au pire de sa forme, une vie qui perd le fil de sa dignité dans l’odeur des vallées profondes et des lacs sombres du Walhalla, agissant sur les organismes comme une fatalité inéluctable.
Ce n’est pas le début. Ce n’est pas la fin, mais un aller simple vers cette dimension duveteuse où, dit-on, débarrassé des contraintes matérielles, l’esprit est enfin à son aise.
Rien à gauche. Rien à droite. Droit dans le mur ! 
La manipulation politique est à son pic le plus élevé dans notre 5ᵉ mourante : faire passer une exécution pour un accident malheureux ; une défenestration pour un suicide par dépit amoureux ; un tremblement de terre pour une catastrophe naturelle ; un empoisonnement alimentaire pour de la gloutonnerie incontrôlée ! Ni nouveau ni surprenant : l'histoire humaine est remplie de ces atrocités. Les Borgia n'ont rien inventé, car avant eux, c'était déjà comme ça...
Depuis longtemps, le cinéma n’invente plus rien, il puise son pis-aller dans le réel ! Toute ressemblance, blablabla, n’est pas fortuite !
La foule doit y croire. Elle y croit ! Pas toujours par conviction intime, mais par confort. Quand le crime est à son apogée, le blaireau fait ce qu’il fait de mieux : l’autruche !
Jouer avec le chaos en tripotant le flûtiau comme dans les contes anciens. Sortir de la bacchanale électorale un parasite pas trop médiatisé, qu’on présentera comme du nouveau, de l’antisystème, du révolutionnaire pour instiller un nouvel enthousiasme et rafler une nouvelle fois la mise, c’est ainsi que les choses fonctionnent et ce n'est pas près de s'arrêter. Alors, changer le monde ? 
N’avons-nous pas eu notre soûl de mensonges, toujours les mêmes sous déguisements divers ? D’évidence, entre la première gorgée et l’addiction, la graine a poussé comme plante fourragère, ce qui a pour effet de fixer l’azote dans le sol au profit de l’exploitant !
Applaudissant à tout rompre, la masse se trémousse, affiche des tronches réjouies, lance des hourras jusqu’à l’aphonie ! Criera des On a gagné jusqu'à se déchirer le gosier !
Fera des dons, comme si elle n’était pas assez dépouillée, parce que la toute nouvelle campagne a besoin de fonds, d’un soutien indéfectible, si on veut que « ça change vraiment » !
Par ailleurs, plus nous sommes distraits, moins nous avons de fonds, et plus aucune autonomie pour finir le mois. Par ici les agios !
C’est cela le « confort » d’une paralysie volontaire. Le peu d’argent que la banque autorise en découvert, on l’investit dans l’achat de papier hygiénique, à cause d'une menace de pénurie !
Pauvres, mais les fesses propres !

PS Le blog Lezarceleur a été supprimé par Google sans aucune explication. La démocratie a ses caprices. Pas moyen de discuter, d'expliquer que la plateforme se nourrit majoritairement de traductions et de partage. Cela emmerde le Prince et ça suffit ! Circulez, il n'y a rien à voir !

Sous l'Casque d'Erby 


mardi 20 mai 2025

Halte ou encore ?

Source

En Roumanie, le candidat de l’ordre mondial (proeuropéen) finit par l’emporter devant le candidat « souverainiste ». Le spectre d’une extrême droite utilitaire abondamment exploité s’avérerait plus efficace que le danger totalitaire déjà à l’œuvre partout en Europe ? Ou bien s’agit-il, encore une fois, de trucage électoral, une chose expliquant l’autre ?
Le corps politique est dévoré par la nécrose et aucune thérapie n’est, en l’état actuel des choses, assez efficace pour arrêter l’hémorragie. Même l’imputation partielle d'un membre ne semble pas pouvoir y venir à bout.
Dieudonné, Soral, Jovanovic, Branco, Fourtillan plus tôt, pour ses déclarations dans le film Hold-up sur la manipulation covidienne… Tous estampillés « faibles d’esprit » ou extrémistes de droite ! 
Certains, sans faire de bruit, prennent le chemin de l’exil. Baissent-ils les bras ? Qui sera le prochain à se faire « rafler » à l’heure où la ville dort ?
Ne prenez pas ceci pour du délire complotiste, l’affaire est plus grave qu’on ne l’imagine ! Cela me rappelle ce poème qui date, mais toujours actuel, où tout est posé, comme on creuse les fondations d’un monument funéraire. Cette chose qui nous concerne tous, mais à laquelle, pour de multiples raisons, personne n’ose imaginer le retour.
Ce petit poème a été jeté dans les courants pour que l’on se souvienne, comme un cri contre l’horreur. Petit texte, si chargé de conséquences, si électrique, que l’on lit la chair à vif chaque fois qu’un danger se profile pour l’oublier aussitôt, tant cela paraît impossible !
Un poème si violent. Si cruel, qu’on le lit comme on regarde un film d’épouvante en grignotant du corn-flake, les fesses bien calées dans son fauteuil, un frisson rassurant nous parcourant l’échine ! 
Poème qui retrouve aujourd’hui les couleurs sombres qui l’ont motivé, le voici, aussi actuel qu’auparavant :

Lorsque les nazis sont venus chercher les communistes, 
je n’ai rien dit, 
je n’étais pas communiste. 
Lorsqu’ils ont enfermé les sociaux-démocrates, 
je n’ai rien dit, 
je n’étais pas social-démocrate. 
Lorsqu’ils sont venus chercher les syndicalistes, 
je n’ai rien dit, 
je n’étais pas syndicaliste. 
Lorsqu’ils sont venus me chercher, 
il ne restait plus personne 
pour protester. 
  
Martin Niemöller, poème écrit en 1942.
 
Sous l’Casque d’Erby 


dimanche 18 mai 2025

Maman, c’est quoi un facho ?


L’esprit de résistance d’un pays en souffrance monte. Avec lui sont arrivés les contre-feux imaginés dans les officines et répercutés dans toutes les salles de rédaction d’une presse à l’agonie, perfusée avec l’argent public, avant d’échouer dans des oreilles polluées par des croyances absconses. Les petites mains du pouvoir font le reste, dans la rue comme dans les débats publics, en échange de misérables avantages.
De même qu’une escouade d’extrême gauche dans la rue ne fait pas une révolution sociale, un groupuscule d’allumés, photographié en plan serré pour grossir l’effet, arborant des drapeaux à l’emblème d’Occident, ne préfigure pas l’avènement du nazisme. Pourquoi ? Parce que le nazisme est déjà au pouvoir en Europe. Subsidiairement, ces groupuscules, téléguidés par les services de l’État, servent les intérêts des véritables agitateurs, ceux qui tiennent le palpitant du système sous divers déguisements, qui pondent des lois, imposent des directives, inventent des catastrophes sanitaires pour soumettre le monde à ce nazisme qu'on chérit en silence.
C'est à peine si ces nostalgiques 2.0 se retiennent d’exulter, tant la chose leur paraît enfin réalisable !
La question qu'une «  gauche  » traumatique aux militants manipulés – vivant la « souffrance de l’histoire » par procuration – doit se poser est celle-ci : le nazisme a-t-il seulement quitté le pouvoir depuis la défaite de 1945 ? 
La réponse étant avérée, à quoi servent ces cris d’orfraie, ces moulinets anti-fachos et ces votes « salvateurs » à chaque mouvement électoral sinon à cacher la poussière sous le tapis ? 
Dans son soutien à l’Ukraine de Zelensky et son obstination à poursuivre une guerre contre la Russie, d'ores et déjà perdue, l'UE ne fait que corroborer le fait que son objectif final est bel et bien la dévitalisation du continent par la guerre, quoiqu'il en coûte aux peuples. Le prétexte démocratique n’est que le marronnier !
L’histoire ne nous enseigne-t-elle pas que tous les totalitarismes, de l’Italie mussolinienne à Hitler, de Staline à Mao, j’en oublie, ont pour dénominateur commun l’appellation « socialiste » » ? 
Qu’il est étrange que ce qui nous est vendu comme le bonheur universel cache une si épouvantable escroquerie ! 
Le plan, d'une simplicité enfantine, est de niveler les peuples par le bas. Convaincre celui qui est socialement au plus mal qu'il est l'homme le plus fortuné et élevé au monde ! Empêchant par le fait l'apparition de citoyens intelligents, se posant les bonnes questions et trouvant le chemin du bon sens perdu, car plus l'individu se cultive, plus il est difficile à duper. D'où une société qui remplace les librairies par des boutiques de fringues, des opérateurs téléphoniques et une culture de supérette. 
Dans sa politique migratoire, qui ne cache plus la fin des pays souverains, l’UE annonce sans le dire le « grand remplacement ». Le pousse-toi que je m’y mette pour créer et développer le chaos avec une « espèce » nouvelle d’individus, plus corvéable, parce que totalement abrutie ! 

Sous l’Casque d’Erby


mercredi 14 mai 2025

Tellement paumés que s'en devient dément !

Penser, dire, écrire, partager relève presque d'une conversation d'asile, où chacun ânonne, gesticule, vomit sa part d'irréalité en guise de vérité. Tout est fait pour que le quotidien soit un centre d'échange pour aliénés !
Du mutisme au hurlement, le point de bascule glissant de la raison à la folie n'a plus de frontière, sauf peut-être celle de la barbarie par la désolation. En un tournemain, on travestit le réel ou ce que nous prenons pour tel. Ce qui, l'instant d'avant, était une habitude ancestrale ayant fait ses preuves devient la chose proscrite et vous le coupable d'un délit dont on ignore la raison.
Ces portes qu'on enfonce à coups de bélier. Ces jeunes et ces vieux qu'on extirpe de leurs véhicules, qu'on envoie de force à l'abattoir du côté de l'Ukraine, avec l'aval d'un non-élu et d'une UE sous acide, révèlent un totalitarisme qui ne cache plus ses intentions, sauf aux yeux de ceux que la lâcheté et la bêtise rendent aveugle ! 
Des images de dirigeants de nations souveraines attablés pour tirer des lignes, tentant de cacher le sachet de la honte devant la caméra, révèlent un esprit hautement voyou ! Des images qui circulent en jet continu sur les réseaux sociaux brisant d'un coup le narratif d'un pouvoir en perdition.
Paniqué par l'ampleur du scandale, l’Élysée tente de se défendre en arguant qu'il s'agit d'un montage et d'un complot de l'extrême droite ! Comme si nous n'avions pas affaire à des multirécidivistes pris la main dans le sachet !
En tout état de cause, ce ne sont pas eux qui feront la guerre, car ce qui les intéresse, c'est l'orgie mégalomane que le pouvoir procure. Cette ivresse permanente, cette puissance qu'ils pensent tenir des dieux, qui conduisent les peuples à la mort et à la ruine.
Combien de morts a fait cette « opération spéciale » que l'Otan, le gouvernement Biden et notre « chère » UE ont fomenté de longue date ?
Ne me dites pas que poser une telle question est aussi un complot de l'extrême droite ! Je pense aux morts des deux côtés. Autant qu'à tous les pulvérisés dans la bande de Gaza. Il n'existe pas de « bons » et de « mauvais » morts. Il n'y a que des mauvais dirigeants ! Il ne reste sur les monceaux de cadavres que la honte d'avoir fait du monde un enfer !
Pendant que les peuples dorment se faisant allègrement dépouiller, notre France cache sa misérable ruine sous les tapis. Les services de police rendent visite (ce sont les ordres !) aux résistants un peu trop entreprenants, histoire de rappeler qui tient la poêle par le manche. 
Nous ne sommes pas encore aux rafles, mais à l'allure où vont les choses, le penser n'a rien d'excessif ! Sous prétexte de les protéger d'eux-mêmes, on fait des descentes chez qui pratique le poil à gratter. Dernier cas en date : Pierre Jovanovic à qui les forces de l’ordre, GIPN, BAC, commissaires, pompiers, agents de la préfecture… sont allées rendre une visite de courtoisie au cœur de la nuit, pour lui sauver les fesses, ont-ils dit !
La réalité serait d'empêcher la publication de son prochain livre qui, justement, gratte là où ça pique !

Sous l'Casque d'Erby 


mardi 6 mai 2025

Notes contre l'oubli

Le chaos psychologique dans lequel « nos » dirigeants occidentaux ont plongé les peuples est tout sauf fortuit. Un scénario écrit et mis en scène par des experts en chantage et manipulation dans les sous-sols du pouvoir profond.  Ne riez pas, c'est sérieux. Il s'en trouve encore des esprits corrompus par la propagande qui demandent des preuves ! Non seulement ils ne foutent pas une ramée pour s'ouvrir les mirettes, en plus il faut leur donner la becquée. Et même comme ça, pas sûr que ça ouvre correctement les écoutilles !
Le but de cet acte de guerre contre les peuples déclenché en 2020 : amener les individus à accepter une dictature mondiale par consentement mutuel. L'OMS et son auxiliaire, l'UE, distillant consignes et directives, prélevant et distribuant l'argent public par milliards à des gangsters et à des escrocs sous les yeux d'une opinion sonnée par l'épouvante.
Les cadavres imaginaires s'amoncelant dans les salles de rédaction comme si nous assistions au retour de la peste bubonique puissance mille ! 
BigPharma et ses brigades de la terreur, grassement rétribuées, colonisaient les plateaux télé pour alimenter en charbon les locomotives de l'horreur. En moins de temps qu'il ne faut pour remplir les coffres, des vaccins sortaient des chapeaux en un délai record, pour une série de ponctions qui, à défaut de nous sauver d'un virus fabriqué de toute pièce, remplirait les poches des concepteurs développant une flopée d'effets secondaires, tous attribués à la pugnacité du pangolin !
Un train de mesures, sorti des brumes maléfiques d'esprits dérangés, poussait les peuples vers l'abîme et les élites vers ce monde idéal, dont elles ont tant rêvé, enfin débarrassé de ses encombrants !
N'ont-elles pas ouvertement annoncé la nécessité d'éradiquer le surplus d'humains, la planète devenant trop petite pour tous ?
Klaus Schwab, pour le forum mondial de Davos ; Bill Gates, Fauci, etc. pour BigPharma ; Tedros Adhanom Ghebreyesus pour l'OMS ; la galaxie Soros pour le « pacte migratoire » ; Ursula von der Leyen pour l'UE, composent l’état-major de cette conspiration à échelle mondiale. À la suite, l'ensemble des classes politiques, qui, par pression, par chantage ou par pure corruption, toutes tendances confondues, ont tout fait pour hisser un citoyen sous influence du statut de clampin ordinaire à celui de super-clampin !
Port obligatoire du masque, confinement, distanciation sociale, rien ne lui a été épargné. Comme aux heures sombres du nazisme, les villes sont devenues des déserts et les sirènes hurlantes des ambulances vides traversant la nuit déserte, maintenant la population dans une terreur et un stress permanents. Pourtant, les hôpitaux n'affichaient pas une affluence inhabituelle et les pompes funèbres ne croulaient pas sous la mise en bière !
La question demeurant : où sont passés tous ces morts ? 
Et gare à ceux qui mettaient en doute la « parole sacrée » ! Honnis ! Poussés dans les cordes par des journalistes et des consultants hystériques, salis, ostracisés, licenciés de leur travail et donnés en pâture aux lâches et aux collabos, tenant bon sous le mauvais vent du totalitarisme, passant de citoyens sceptiques à citoyens résistants, voire des fachos, sans autre récompense que l'honneur des braves et le mépris des soumis.
Qu'en est-il cinq ans plus tard, au moment où se multiplient les procès contre des responsables de cet homicide collectif et les effets secondaires avérés d'un vaccin génique néfaste ?
Il nous reste l'espoir d'un Nuremberg 2 et la condamnation des coupables afin de retrouver un peu de la dignité perdue !

Sous l'Casque d'Erby 


jeudi 1 mai 2025

En mai, fais ce qu'il te plaît !

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Je déteste les célébrations !  Le tintouin m'agace. Tout pareil que pour le rituel des adieux. Ce qu'il y a d'acceptable, quand cela se passe dans une gare, c'est le train qui fait le boulot. L'heure, c'est l'heure !
Tout jeunot déjà, quand j'écoutais les grandes personnes, viocs, assoupis, prosternés, se livrant au salamalec, à l'église ou dans les lieux publics, cela m'ennuyait déjà très fortement.
Plus tard, ayant intégré certaines règles, acquises à coups de férule ou de déception, voyant les gars de ma génération reproduire le même copier-coller, ça faisait déborder la boîte à rouscailler que c'était misère.
Pour un n'importe quoi, forcément injuste, célébration ! De la mort du bébé phoque à la mue de l'aiglon ; du piaf le plus insignifiant, phagocyté par son prédateur naturel, au hanneton maltraité par les coupeurs de buzuc, célébration !
Fidèles au rendez-vous de la pleurniche, mes amis font dans le déploiement massif de bannières. On se croirait dans une version pauvre d'un film de Kurosawa ! 
« Pour lutter contre l'oubli » et pour quelques revendications ponctuelles. En souvenir des clampins de tous les continents, défalqués pour nourrir grassement les gangsters qui gouvernent le monde depuis la nuit des temps. Avant, pendant et longtemps après les grèves sanglantes du mois de mai 1886 à Haymarket Square, Chicago, on n'oublie pas le sang versé, avec ou sans tapage.
Comment oublier que la racine sous les arpions, ce n'est pas du muguet  ? Bien que, à bien y réfléchir, l'offrande du muguet le 1ᵉʳ mai remonte à Charles IX
La kermesse m'a toujours été pénible lorsque j'y participais dans une autre vie. Conception de banderoles, slogans usinés à la diable, deux ou trois hymnes hurlés dans une sono tuberculeuse sur le « mal que l'on nous fait », le ramassage du matos en fin de cortège et à la revoyure ! Chacun vantant le produit dérivé de sa chapelle, probablement fabriqué par des mains chinoises ou indiennes. 
Finalement, sans concertation formelle, attendant les mots d'ordre des instances supérieures, date est prise pour le prochain lâcher de salive, sans plus de précision ! Assurément, un massacre perpétré par le haut gratin au nom d'une idéologie mondialiste plus génocidaire que jamais !
Tant d'atrocités à commémorer qu'on en perd le fil à force de banalisation.
1ᵉʳ mai ou pas, les célébrations, c'est gonflant ! Cela dit, je suis bien d'accord : les salauds, les escrocs, les criminels, il faut faire un pack, bien lester le tout et les envoyer par le fond !
Ce jour-là, j'y serai !

Sous l'Casque d'Erby 

mardi 29 avril 2025

Silence, on coupe !

Les étoiles sont lointaines au regard qui cherche à les saisir. Tout comme leur mystère.
Nous sommes ces cubes de glace longuement exposés à des chaleurs extrêmes. Celle-ci générant ce mirage qui interfère entre regard et horizon, donnant des hallucinations merveilleuses que la réalité dément cruellement.
Nous sommes, par la volonté de la propagande de quelques malfaiteurs occultes, focalisés sur tel ou tel sujet planétaire, que l'on nous somme d'aimer ou de détester. De proscrire untel ou untel de nos carnets d'adresses, même si vous en ignorez la raison. On nous dit de le faire et cela suffit. Aucune importance si les personnes ciblées ne font que défendre leur pays, leurs frontières et les valeurs qui s'y rattachent. Tout ce que nous souhaitons que nos dirigeants politiques mettent en œuvre dans notre pays et ce qu'ils ne font pas.
Nous vivons cela à chaque palier de notre interminable dégringolade. Est-ce par distraction, par paresse, ou pire encore, que l'on coule le bateau qui nous porte des rives de l'ignorance à celles du savoir ?
Ainsi de ces coupures d'électricité « monstres » survenues en Espagne et au Portugal, prélude de ce qui nous attend prochainement.
Un accident ? Mon œil ! Comme pour l'opération Covid et son arsenal de contraintes, tout cela est planifié pour nous faire accepter ce que nous n'accepterions pas sans l'adjuvant de la terreur.
Pas d'électricité, pas de consommation ! Allez, à l'heure du tout digital, présenter votre carte de crédit pour régler vos achats de nourriture ? Désolé, mais sans électricité...
Tout est en place pour vous faire accepter l'idée que tout cela est la faute de Poutine et qu'il nous faut consentir un effort de guerre supplémentaire pour armer l'Europe contre un agresseur imaginaire !
Tout détruire pour tout reconstruire — et revoici les Trente glorieuses —, c'est la leçon économique que nous donnent ces artistes du crime !
Cela fut le cas à chacune des grandes conflagrations mondiales et cela continue ! Les faiseurs d'agendas mondialistes, ces transfuges d'un autre temps, rescapés du nazisme, rêvent d'une revanche et sont sur le point de l'obtenir dans une Europe chloroformée par une propagande vénéneuse !
Tout est orchestré pour nous faire oublier nos responsabilités devant les égarements du présent. L'ennemi n'est pas celui qu'on nous désigne, mais celui qui nous montre qui nous devons aimer ou haïr. Celui qui présente le coupable idéal pour qu'on oublie ses propres crimes.
S'envoyer par le fond pour préserver son confort est tout sauf clairvoyant. C'est faire abstraction de notre vie et de celle des générations futures. Pire encore : faire diversion avec des idées bancales, pointant des index accusateurs en direction d'un danger imaginaire, c'est s'assurer le naufrage !
N'existerions-nous qu'au ralenti, comme l'affirmait sans empathie Céline dans « Bagatelles pour un massacre » ? N'utilisant que 3 à 5 milliards de globules au lieu des sept dont nous sommes pourvus ! Vivant en « larves inquiètes », dans une « cuve d'asphyxie » au cimetière de nos vies ?
J'ose espérer que non !

PS. On s'apprête à fêter le 1er mai. Et si, au lieu de célébrer les défaites du passé, nous faisions en sorte de gagner la guerre qui vient ? 

Sous l'Casque d'Erby 


jeudi 24 avril 2025

Juste pour mettre mon grain de sel !...

Le pape est mort, vive le pape ! On continue ou on arrête ?



« La justice est le pain du peuple, il en est toujours affamé. »
François-René de Chateaubriand 

Semblablement aux trains, un salaud cache un salaud dans un monde à la perfection aléatoire. Ainsi donc de la démission de Klaus Schwab du WEF, remplacé par Peter Brabeck, ancien président du CA de Nestlé, celui qui estime que l’eau n’est pas un droit inaliénable pour tous, mais une affaire privée dont il faut tirer un maximum de jus. Un philanthrope chasse l’autre !
Le monde des globalistes s’effondre. Les pièces tombent les unes après les autres sans que cela provoque, en apparence, grand remous à la criée. Le monde multipolaire place ses pions, reconfigurant l’espace de tous et de chacun. Un monde dans lequel les puissances américaine, chinoise et russe vont se répartir le gâteau en fonction des forces et de l’appétit de chacune.
Pour ne pas avoir eu ce qu’il faut, là où il le faut — ou parce que cela faisait partie d’un projet —, l’UE devient sous nos yeux, nation après nation, le terreau d’une vassalité qu’elle n’avait pas imaginée dans ses prévisions les plus mégalos.
Après les démissions et les successions, place aux morts. Le pape Jorge Bergoglio, qu’Obama et Biden ont imposé et conforté, s’est dissipé dans la voûte céleste, après avoir tâté aux révolutions de couleur et autres menus plaisirs dans le monde des ténèbres, au nom du très-haut, une fois encore outragé ! Et comme ça ose tout, ils ont appelé cela le « Printemps catholique » !
Infiltré et corrompu par des forces occultes, l’État du Vatican n’a plus rien à voir avec la religion qui l’a fondé, sinon l’illusion d’une partition musicale ayant perdu ses accords dans les catacombes de l’histoire. Ceux qui, comme Benoît XVI, ont (timidement) essayé d’y remédier, voire de stopper la machine, ont vite vu la limite de leur pouvoir.
Le Vatican aujourd’hui – et ce depuis longtemps – c’est comme les magasins « La Samaritaine », on y trouve de tout : des franc-maçons, des talmudistes, des banquiers véreux, des politicards corrompus, ainsi que quelques croyants étourdis qui croient encore au génie du christianisme !
L’Église romaine aura été le refuge et le centre de commandement des mondialistes et autres pervers, dont les pages noires forment une véritable encyclopédie. Elle a tout permis, à commencer par l’altération de la foi par des forces qui veulent sa ruine et celle de millions de croyants sincères !
Le pape est mort, vive le pape ! On continue ou on arrête ?

Sous l’Casque d’Erby 

                                                                                                                                                               

jeudi 17 avril 2025

Nous prendraient-ils pour des gogos ?

Sentez-vous quelque part une intention hostile, un signe, un présage ? Une menace indiquant précisément que la Russie fourbit son arsenal pour détruire une quelconque nation européenne ? Voyez-vous d’autres menaces que celles aboyées par la meute nazillonne qui dirige l’UE et les nations qui la composent ? 
Quand un ciel est menaçant, on le voit. Quand le vent pousse fort, on le sent, on sait de quel côté il souffle. Quand la mer gonfle démesurément, il est temps de prendre ses jambes à son cou, c’est un tsunami !
Rien de tel avec la « menace russe » qu'on nous annonce imminente ! Aucun buveur de vodka dispatchant des coups de couteaux ou violant des jeunes filles dans nos rues. Aucun missile RS-28 Sarmat, surnommé Satan 2, traversant le ciel de nos campagnes pour détruire les récoltes de nos agriculteurs, les poussant à un suicide massif !
Rien de cela. En revanche, des personnes quittant leur ville de toujours pour aller s’installer dans des villes voisines pour cause d’insécurité, ça, vous n’en entendrez pas parler aux infos. Ne dites rien. Motus. Bannissez l’ensauvagement du pays de votre vocabulaire. Ainsi que le « Grand remplacement » ! Chut !
La réalité est qu’on ne voit que des baltringues, sortis d’une tirelire, faisant la noria de plateaux télé en salles de conférence, les narines enfarinées, l’œil injecté, postillonnant de la trouille à l’hectolitre, sur les mauvaises intentions de la Russie cherchant à nous mettre la pâtée, d'ici à pas longtemps !
Ce ne sont pas des hommes qui dirigent notre pays, mais des robots. Des machines conditionnées à dire et à faire le mal. Un panel d’êtres dégénérés, sans honneur ni empathie, n’ayant qu’une très infime idée de la vie ! Une faune dépersonnalisée et perverse, au point de causer le mal pour nourrir un ego à la hauteur de leur malignité !
Sommes-nous crétins, au point de ne pas faire la différence entre une menace réelle et un coup monté pour nous soumettre à la volonté d’un globalisme criminel ?
Le monde change à grande vitesse. L’angoisse est de mise. Ne sachant pas ce qu’il advient, d’étranges supputations sur l’avenir, plongent l’humain dans une peur animale.
Habitué à déglutir une nourriture prémâchée, son esprit n’assimile pas ces changements de paradigme. Lui, qui ne rêve que du solide, du fait main, de l’artisanal, est industriellement servi !
Pour satisfaire une demande factice, quoi de plus solide à tous les menus que du Russe ? Ça, c’est du palpable ! Du véridique ! De qui ne souffre pas de contestation ! De la pitance qui colle aux tissus ! 
Tant que c’est du Russe, cela reste acceptable. Mais si vous avez le malheur d’évoquer d’autres pistes, de suggérer d’autres ennemis, moins visibles, mais bien plus dangereux, comme le pouvoir profond ou la main du Khazare, vous savez où, vous plongez dans les sables mouvants de l’incrédulité citoyenne !
Sans la moindre hésitation, on éructera : « Puisqu’on vous dit que c’est le Russe ! » 
Quant aux 40/50 milliards d’efforts supplémentaires qu’on demande dans le cadre de « l’état d’urgence budgétaire » pour 2026, ne dites à personne que c’est le braquage d’un gang hexagonal, car on vous répondra que la signature ne Trump personne, c’est l’œuvre de la mafia russe !

Sous l’Casque d’Erby 


dimanche 13 avril 2025

Le silence vaut-il l’or qui le symbolise ?

La politique est corrompue par la religion et inversement. Tout est fait pour qu’il en soit ainsi. Nous sommes devenus des hamsters dans un magasin de roues, à la recherche du rayon idéal ! Si certains modèles ont de l’avance sur d’autres, dans l’ensemble la tendance à l’uniformité se confirme.
Plus j’avance en âge, plus j’en suis convaincu. Athée ? Quelle idée ! J’ai horreur des étiquettes ! De la confusion innocente à l’amalgame ! Qu’on ne s’y trompe pas : je ne suis pas insensible à une forme de morale et d’éthique. Être insensible signifierait une totale indifférence, or cela n’est pas dans ma nature d’animal conscient.
On peut avoir des règles, une morale, des principes, sans pour autant abandonner la place à des gens qui en font commerce pour briller, dominer et souiller. La religion n’a rien à faire dans la politique, tout comme celle-ci ne doit s’y vautrer pour tirer avantage. Elle est ou doit être la part intime dont on partage doutes et certitudes dans le silence des prières qu’on adresse à une force supérieure.
Le contraire dessert plus que cela ne nous enrichit. Avons-nous besoin de croyance religieuse pour nous forger une morale commune ? Pour vivre dans une certaine harmonie ?
Le premier pas de l’escroc consiste à se servir des « valeurs » sensibles, multipliant les fausses pistes dans les eaux noires de la division. D’attiser par des moyens inavouables la haine envers une doctrine rivale dont les thèses mettent en danger le profit que l’une tire sur l’autre dans le commerce des manipulations.
À force d’observer le manège, je suis devenu une bête non religieuse. L’incroyant des mille et une religions, qu’elles se disent socialiste, humanitaire, woke, trans, monarchique, bordélique… Je demeure rétif à ce catéchisme de l’alpague ! Ce sont elles qui nous tiennent enchaînés dans l’espace et dans le temps.
Prisonniers des obsolescences et des caprices aléatoires d’une pensée à la sauvette, comme celle qui saisit le naufragé, s’agrippant au premier bout de bois venu sans se soucier de l’essence ou de sa préciosité qu’en d’autres circonstances, il louait !
Je ne sais et ne suis sûr que d’une chose, j’en suis profondément convaincu : pour le peu de temps que nous restons sur cette terrible et merveilleuse planète, laissons en héritage la meilleure part de nous-mêmes. 
Donner le meilleur de soi, pas pour qu’on s’en souvienne comme de quelqu’un d’illustre (quelle blague !), mais parce que cela aide le futur à se construire dans la clarté. Pour l'heure, cela n'en prend pas le chemin.

Sous l’Casque d’Erby 



jeudi 10 avril 2025

Ça dépasse les Bor(g)ne(s)

À l’instar de ses congénères de l’espèce, Élisabeth Borne a jeté un cri dans l’espace de plus en plus restreint de la communauté globaliste. Acquis à sa cause, le public, de plus en plus clairsemé, tant le mouvement qui le préside, devient un point imperceptible, l’applaudit sans mesurer la véritable portée du propos. À l’ère de l’IA, on ne fait pas plus automate !
La Borne rêve à haute voix. Son rictus en est la démonstration ! Elle imagine un monde dans lequel, dès son plus jeune âge, l’enfant doit commencer à réfléchir à son avenir. À se faire guider dans le choix de son futur métier. Fini le plaisir, hormis, peut-être, celui que la tendre enfance procure à certains réseaux, dans les milieux de la pédophilie. Plus vite, on l'ampute de l’innocence naturelle, plus vite, il en épousera le moule. Sort si bien décrit par George Orwell dans son pamphlet culte, est-il besoin de le rappeler ?
C’est sur LCP, chaîne de télévision de l’Assemblée nationale – et pas dans un torchon complotiste – dans Questions au Gouvernement, que la Borne a croassé les propos pour lesquels elle est épinglée au mur de la « vermine ». Les guillemets sont là par pure charité : « Les élèves de maternelle doivent réfléchir comment ils se projettent dans une formation et un métier. » 
Plus tôt on commence, plus vite l’on réduira le nombre de brebis galeuses ! Les centres de rééducation et d’endoctrinement du gouvernement sont là pour un tracé rectiligne. Pas de dépassement sur les routes de l’horreur, que les lignes rouges du Nouvel Ordre !
La tolérance parentale réduite à zéro ! Terminé le bac à sable et les jeux de plage ! Aux oubliettes, la suavité et l’insouciance d’une enfance heureuse, vous préparant progressivement à la vie d’adulte ! On saute l’étape facultative !
Une seule mission pour ces brebis frileuses : suivre leurs pasteurs ! Et, pourquoi pas, alimenter en chair fraîche la filière des réseaux pédophiles !
Si ce n’est pas écrit dans le Talmud (Ursula von der Leyen vient de faire une embardée sur le sujet), la Bible, Dieu sait dans quel abécédaire de l’esclavage, rédigé avec le sang des vraies victimes, le propos est on ne peut plus clair : l’avenir qu’on nous réserve en haut lieu inspire des frissons indicibles !
Le mot de la fin pour Milan Kundera : « Un jour, on sait et on comprend beaucoup de choses, mais il est trop tard, car toute la vie aura été décidée à une époque où on ne savait rien. »

Sous l’Casque d’Erby


dimanche 6 avril 2025

Le monde, cette ruine !

Source
La FED ? Un cartel bancaire privé, hors de tout contrôle, imprimant de la monnaie, en veux-tu, en voilà, manipulant les cycles économiques, pliant les peuples à la seule volonté d'une élite cannibale, en col blanc. Elle est l’alter ego des cartels de la drogue, sauf que c’est légal !
À ce stade, il serait coupable d’exclure de ce cartel la City de Londres, avec sa plaque tournante. Là où atterrissent les « fonds déposés dans les paradis fiscaux du monde entier »
Plus puissante que le gouvernement britannique, qui est son débiteur, elle impose une griffe prédatrice partout où il reste un bout de chair à avaler. Sa pression sur Bruxelles et donc sur l’UE ne faiblit jamais ! 
Tous les chefs d’État le savent, avant même qu’ils ne soient choisis pour exercer le rôle de majordome. Ils connaissent le prix ! 
Pour ceux qui ont ou auraient l’idée de s’y opposer, le destin est tout tracé : une pierre tombale et des livres dédiés à leur mémoire ! Kennedy, pour ne citer que l’exemple le plus emblématique, en est l'illustration
Mais, combien d'autres dirigeants moins illustres et tout aussi fous y ont laissé leur peau pour avoir osé défier Moloch ? 
Aujourd’hui, les Républicains américains posent ouvertement la question : qui contrôle réellement l’Amérique ? Poser la question, c’est aller au-devant d’un gros risque. Et pourtant, comme pour n’importe quelle tumeur maligne, il faut se résoudre à l’extirper !
Les voies du seigneur sont certes « impénétrables », mais pas au point de ne pas voir les groupes de pression exerçant une influence néfaste sur la Maison-Blanche. Outre la FED, on parle aussi du lobby sioniste
Récemment, Candace Owen, la journaliste américaine qui a relayé l’affaire Brigitte Macron, sur laquelle Natacha Rey et Xavier Poussard ont abondamment enquêté, se demande jusqu’à quel point ce n’est pas Benyamin Nétanyahou qui dirige la Maison-Blanche ! Diantre !
Certaines décisions donneraient à penser que cela serait le cas. Restons prudents cependant. Cette déclaration choc de la journaliste-phare de ces derniers temps s’appuie sur le silence qui entoure le génocide de Gaza, entre autres, car c’en est un !
Ce qui, malgré une stratégie de la diversion de la part de l’État d’Israël, n’est qu’un crime contre l’humanité ! Voir cela comme l’acte dernier d’une colonisation totale de la Palestine n’étonne personne et aligne Israël parmi les États les plus criminels de l’histoire !
Donald Trump a cependant des préoccupations autrement importantes que le Yémen, la Palestine et l’Iran dont Israël fait son obsession, à savoir le déclenchement d’une troisième guerre mondiale, ce qui lui permettrait d'atteindre son grand rêve, le Grand Israël !
La Chine fait partie des gros soucis de Donald. Il en fait même sa priorité stratégique. Sauver l’Amérique d’elle-même passe par une guerre commerciale contre le géant chinois qui, fort de sa puissance, n’a nullement l’intention d’abdiquer sa suprématie pour faire plaisir à l’empire américain.
Un observateur averti n’a-t-il pas avancé que si les Chinois ont été colonisés pendant cent ans par l’impérialisme occidental, il est fort probable que les cent années suivantes ne soient celles de la revanche asiatique ? Ce qui, commercialement parlant, est déjà le cas !
Nous n’avons pas fini avec la migraine !
Sous l’Casque d’Erby