mardi 29 avril 2025

Silence, on coupe !

Les étoiles sont lointaines au regard qui cherche à les saisir. Tout comme leur mystère.
Nous sommes ces cubes de glace longuement exposés à des chaleurs extrêmes. Celle-ci générant ce mirage qui interfère entre regard et horizon, donnant des hallucinations merveilleuses que la réalité dément cruellement.
Nous sommes, par la volonté de la propagande de quelques malfaiteurs occultes, focalisés sur tel ou tel sujet planétaire, que l'on nous somme d'aimer ou de détester. De proscrire untel ou untel de nos carnets d'adresses, même si vous en ignorez la raison. On nous dit de le faire et cela suffit. Aucune importance si les personnes ciblées ne font que défendre leur pays, leurs frontières et les valeurs qui s'y rattachent. Tout ce que nous souhaitons que nos dirigeants politiques mettent en œuvre dans notre pays et ce qu'ils ne font pas.
Nous vivons cela à chaque palier de notre interminable dégringolade. Est-ce par distraction, par paresse, ou pire encore, que l'on coule le bateau qui nous porte des rives de l'ignorance à celles du savoir ?
Ainsi de ces coupures d'électricité « monstres » survenues en Espagne et au Portugal, prélude de ce qui nous attend prochainement.
Un accident ? Mon œil ! Comme pour l'opération Covid et son arsenal de contraintes, tout cela est planifié pour nous faire accepter ce que nous n'accepterions pas sans l'adjuvant de la terreur.
Pas d'électricité, pas de consommation ! Allez, à l'heure du tout digital, présenter votre carte de crédit pour régler vos achats de nourriture ? Désolé, mais sans électricité...
Tout est en place pour vous faire accepter l'idée que tout cela est la faute de Poutine et qu'il nous faut consentir un effort de guerre supplémentaire pour armer l'Europe contre un agresseur imaginaire !
Tout détruire pour tout reconstruire — et revoici les Trente glorieuses —, c'est la leçon économique que nous donnent ces artistes du crime !
Cela fut le cas à chacune des grandes conflagrations mondiales et cela continue ! Les faiseurs d'agendas mondialistes, ces transfuges d'un autre temps, rescapés du nazisme, rêvent d'une revanche et sont sur le point de l'obtenir dans une Europe chloroformée par une propagande vénéneuse !
Tout est orchestré pour nous faire oublier nos responsabilités devant les égarements du présent. L'ennemi n'est pas celui qu'on nous désigne, mais celui qui nous montre qui nous devons aimer ou haïr. Celui qui présente le coupable idéal pour qu'on oublie ses propres crimes.
S'envoyer par le fond pour préserver son confort est tout sauf clairvoyant. C'est faire abstraction de notre vie et de celle des générations futures. Pire encore : faire diversion avec des idées bancales, pointant des index accusateurs en direction d'un danger imaginaire, c'est s'assurer le naufrage !
N'existerions-nous qu'au ralenti, comme l'affirmait sans empathie Céline dans « Bagatelles pour un massacre » ? N'utilisant que 3 à 5 milliards de globules au lieu des sept dont nous sommes pourvus ! Vivant en « larves inquiètes », dans une « cuve d'asphyxie » au cimetière de nos vies ?
J'ose espérer que non !

PS. On s'apprête à fêter le 1er mai. Et si, au lieu de célébrer les défaites du passé, nous faisions en sorte de gagner la guerre qui vient ? 

Sous l'Casque d'Erby 


jeudi 24 avril 2025

Juste pour mettre mon grain de sel !...

Le pape est mort, vive le pape ! On continue ou on arrête ?



« La justice est le pain du peuple, il en est toujours affamé. »
François-René de Chateaubriand 

Semblablement aux trains, un salaud cache un salaud dans un monde à la perfection aléatoire. Ainsi donc de la démission de Klaus Schwab du WEF, remplacé par Peter Brabeck, ancien président du CA de Nestlé, celui qui estime que l’eau n’est pas un droit inaliénable pour tous, mais une affaire privée dont il faut tirer un maximum de jus. Un philanthrope chasse l’autre !
Le monde des globalistes s’effondre. Les pièces tombent les unes après les autres sans que cela provoque, en apparence, grand remous à la criée. Le monde multipolaire place ses pions, reconfigurant l’espace de tous et de chacun. Un monde dans lequel les puissances américaine, chinoise et russe vont se répartir le gâteau en fonction des forces et de l’appétit de chacune.
Pour ne pas avoir eu ce qu’il faut, là où il le faut — ou parce que cela faisait partie d’un projet —, l’UE devient sous nos yeux, nation après nation, le terreau d’une vassalité qu’elle n’avait pas imaginée dans ses prévisions les plus mégalos.
Après les démissions et les successions, place aux morts. Le pape Jorge Bergoglio, qu’Obama et Biden ont imposé et conforté, s’est dissipé dans la voûte céleste, après avoir tâté aux révolutions de couleur et autres menus plaisirs dans le monde des ténèbres, au nom du très-haut, une fois encore outragé ! Et comme ça ose tout, ils ont appelé cela le « Printemps catholique » !
Infiltré et corrompu par des forces occultes, l’État du Vatican n’a plus rien à voir avec la religion qui l’a fondé, sinon l’illusion d’une partition musicale ayant perdu ses accords dans les catacombes de l’histoire. Ceux qui, comme Benoît XVI, ont (timidement) essayé d’y remédier, voire de stopper la machine, ont vite vu la limite de leur pouvoir.
Le Vatican aujourd’hui – et ce depuis longtemps – c’est comme les magasins « La Samaritaine », on y trouve de tout : des franc-maçons, des talmudistes, des banquiers véreux, des politicards corrompus, ainsi que quelques croyants étourdis qui croient encore au génie du christianisme !
L’Église romaine aura été le refuge et le centre de commandement des mondialistes et autres pervers, dont les pages noires forment une véritable encyclopédie. Elle a tout permis, à commencer par l’altération de la foi par des forces qui veulent sa ruine et celle de millions de croyants sincères !
Le pape est mort, vive le pape ! On continue ou on arrête ?

Sous l’Casque d’Erby 

                                                                                                                                                               

jeudi 17 avril 2025

Nous prendraient-ils pour des gogos ?

Sentez-vous quelque part une intention hostile, un signe, un présage ? Une menace indiquant précisément que la Russie fourbit son arsenal pour détruire une quelconque nation européenne ? Voyez-vous d’autres menaces que celles aboyées par la meute nazillonne qui dirige l’UE et les nations qui la composent ? 
Quand un ciel est menaçant, on le voit. Quand le vent pousse fort, on le sent, on sait de quel côté il souffle. Quand la mer gonfle démesurément, il est temps de prendre ses jambes à son cou, c’est un tsunami !
Rien de tel avec la « menace russe » qu'on nous annonce imminente ! Aucun buveur de vodka dispatchant des coups de couteaux ou violant des jeunes filles dans nos rues. Aucun missile RS-28 Sarmat, surnommé Satan 2, traversant le ciel de nos campagnes pour détruire les récoltes de nos agriculteurs, les poussant à un suicide massif !
Rien de cela. En revanche, des personnes quittant leur ville de toujours pour aller s’installer dans des villes voisines pour cause d’insécurité, ça, vous n’en entendrez pas parler aux infos. Ne dites rien. Motus. Bannissez l’ensauvagement du pays de votre vocabulaire. Ainsi que le « Grand remplacement » ! Chut !
La réalité est qu’on ne voit que des baltringues, sortis d’une tirelire, faisant la noria de plateaux télé en salles de conférence, les narines enfarinées, l’œil injecté, postillonnant de la trouille à l’hectolitre, sur les mauvaises intentions de la Russie cherchant à nous mettre la pâtée, d'ici à pas longtemps !
Ce ne sont pas des hommes qui dirigent notre pays, mais des robots. Des machines conditionnées à dire et à faire le mal. Un panel d’êtres dégénérés, sans honneur ni empathie, n’ayant qu’une très infime idée de la vie ! Une faune dépersonnalisée et perverse, au point de causer le mal pour nourrir un ego à la hauteur de leur malignité !
Sommes-nous crétins, au point de ne pas faire la différence entre une menace réelle et un coup monté pour nous soumettre à la volonté d’un globalisme criminel ?
Le monde change à grande vitesse. L’angoisse est de mise. Ne sachant pas ce qu’il advient, d’étranges supputations sur l’avenir, plongent l’humain dans une peur animale.
Habitué à déglutir une nourriture prémâchée, son esprit n’assimile pas ces changements de paradigme. Lui, qui ne rêve que du solide, du fait main, de l’artisanal, est industriellement servi !
Pour satisfaire une demande factice, quoi de plus solide à tous les menus que du Russe ? Ça, c’est du palpable ! Du véridique ! De qui ne souffre pas de contestation ! De la pitance qui colle aux tissus ! 
Tant que c’est du Russe, cela reste acceptable. Mais si vous avez le malheur d’évoquer d’autres pistes, de suggérer d’autres ennemis, moins visibles, mais bien plus dangereux, comme le pouvoir profond ou la main du Khazare, vous savez où, vous plongez dans les sables mouvants de l’incrédulité citoyenne !
Sans la moindre hésitation, on éructera : « Puisqu’on vous dit que c’est le Russe ! » 
Quant aux 40/50 milliards d’efforts supplémentaires qu’on demande dans le cadre de « l’état d’urgence budgétaire » pour 2026, ne dites à personne que c’est le braquage d’un gang hexagonal, car on vous répondra que la signature ne Trump personne, c’est l’œuvre de la mafia russe !

Sous l’Casque d’Erby 


dimanche 13 avril 2025

Le silence vaut-il l’or qui le symbolise ?

La politique est corrompue par la religion et inversement. Tout est fait pour qu’il en soit ainsi. Nous sommes devenus des hamsters dans un magasin de roues, à la recherche du rayon idéal ! Si certains modèles ont de l’avance sur d’autres, dans l’ensemble la tendance à l’uniformité se confirme.
Plus j’avance en âge, plus j’en suis convaincu. Athée ? Quelle idée ! J’ai horreur des étiquettes ! De la confusion innocente à l’amalgame ! Qu’on ne s’y trompe pas : je ne suis pas insensible à une forme de morale et d’éthique. Être insensible signifierait une totale indifférence, or cela n’est pas dans ma nature d’animal conscient.
On peut avoir des règles, une morale, des principes, sans pour autant abandonner la place à des gens qui en font commerce pour briller, dominer et souiller. La religion n’a rien à faire dans la politique, tout comme celle-ci ne doit s’y vautrer pour tirer avantage. Elle est ou doit être la part intime dont on partage doutes et certitudes dans le silence des prières qu’on adresse à une force supérieure.
Le contraire dessert plus que cela ne nous enrichit. Avons-nous besoin de croyance religieuse pour nous forger une morale commune ? Pour vivre dans une certaine harmonie ?
Le premier pas de l’escroc consiste à se servir des « valeurs » sensibles, multipliant les fausses pistes dans les eaux noires de la division. D’attiser par des moyens inavouables la haine envers une doctrine rivale dont les thèses mettent en danger le profit que l’une tire sur l’autre dans le commerce des manipulations.
À force d’observer le manège, je suis devenu une bête non religieuse. L’incroyant des mille et une religions, qu’elles se disent socialiste, humanitaire, woke, trans, monarchique, bordélique… Je demeure rétif à ce catéchisme de l’alpague ! Ce sont elles qui nous tiennent enchaînés dans l’espace et dans le temps.
Prisonniers des obsolescences et des caprices aléatoires d’une pensée à la sauvette, comme celle qui saisit le naufragé, s’agrippant au premier bout de bois venu sans se soucier de l’essence ou de sa préciosité qu’en d’autres circonstances, il louait !
Je ne sais et ne suis sûr que d’une chose, j’en suis profondément convaincu : pour le peu de temps que nous restons sur cette terrible et merveilleuse planète, laissons en héritage la meilleure part de nous-mêmes. 
Donner le meilleur de soi, pas pour qu’on s’en souvienne comme de quelqu’un d’illustre (quelle blague !), mais parce que cela aide le futur à se construire dans la clarté. Pour l'heure, cela n'en prend pas le chemin.

Sous l’Casque d’Erby 



jeudi 10 avril 2025

Ça dépasse les Bor(g)ne(s)

À l’instar de ses congénères de l’espèce, Élisabeth Borne a jeté un cri dans l’espace de plus en plus restreint de la communauté globaliste. Acquis à sa cause, le public, de plus en plus clairsemé, tant le mouvement qui le préside, devient un point imperceptible, l’applaudit sans mesurer la véritable portée du propos. À l’ère de l’IA, on ne fait pas plus automate !
La Borne rêve à haute voix. Son rictus en est la démonstration ! Elle imagine un monde dans lequel, dès son plus jeune âge, l’enfant doit commencer à réfléchir à son avenir. À se faire guider dans le choix de son futur métier. Fini le plaisir, hormis, peut-être, celui que la tendre enfance procure à certains réseaux, dans les milieux de la pédophilie. Plus vite, on l'ampute de l’innocence naturelle, plus vite, il en épousera le moule. Sort si bien décrit par George Orwell dans son pamphlet culte, est-il besoin de le rappeler ?
C’est sur LCP, chaîne de télévision de l’Assemblée nationale – et pas dans un torchon complotiste – dans Questions au Gouvernement, que la Borne a croassé les propos pour lesquels elle est épinglée au mur de la « vermine ». Les guillemets sont là par pure charité : « Les élèves de maternelle doivent réfléchir comment ils se projettent dans une formation et un métier. » 
Plus tôt on commence, plus vite l’on réduira le nombre de brebis galeuses ! Les centres de rééducation et d’endoctrinement du gouvernement sont là pour un tracé rectiligne. Pas de dépassement sur les routes de l’horreur, que les lignes rouges du Nouvel Ordre !
La tolérance parentale réduite à zéro ! Terminé le bac à sable et les jeux de plage ! Aux oubliettes, la suavité et l’insouciance d’une enfance heureuse, vous préparant progressivement à la vie d’adulte ! On saute l’étape facultative !
Une seule mission pour ces brebis frileuses : suivre leurs pasteurs ! Et, pourquoi pas, alimenter en chair fraîche la filière des réseaux pédophiles !
Si ce n’est pas écrit dans le Talmud (Ursula von der Leyen vient de faire une embardée sur le sujet), la Bible, Dieu sait dans quel abécédaire de l’esclavage, rédigé avec le sang des vraies victimes, le propos est on ne peut plus clair : l’avenir qu’on nous réserve en haut lieu inspire des frissons indicibles !
Le mot de la fin pour Milan Kundera : « Un jour, on sait et on comprend beaucoup de choses, mais il est trop tard, car toute la vie aura été décidée à une époque où on ne savait rien. »

Sous l’Casque d’Erby


dimanche 6 avril 2025

Le monde, cette ruine !

Source
La FED ? Un cartel bancaire privé, hors de tout contrôle, imprimant de la monnaie, en veux-tu, en voilà, manipulant les cycles économiques, pliant les peuples à la seule volonté d'une élite cannibale, en col blanc. Elle est l’alter ego des cartels de la drogue, sauf que c’est légal !
À ce stade, il serait coupable d’exclure de ce cartel la City de Londres, avec sa plaque tournante. Là où atterrissent les « fonds déposés dans les paradis fiscaux du monde entier »
Plus puissante que le gouvernement britannique, qui est son débiteur, elle impose une griffe prédatrice partout où il reste un bout de chair à avaler. Sa pression sur Bruxelles et donc sur l’UE ne faiblit jamais ! 
Tous les chefs d’État le savent, avant même qu’ils ne soient choisis pour exercer le rôle de majordome. Ils connaissent le prix ! 
Pour ceux qui ont ou auraient l’idée de s’y opposer, le destin est tout tracé : une pierre tombale et des livres dédiés à leur mémoire ! Kennedy, pour ne citer que l’exemple le plus emblématique, en est l'illustration
Mais, combien d'autres dirigeants moins illustres et tout aussi fous y ont laissé leur peau pour avoir osé défier Moloch ? 
Aujourd’hui, les Républicains américains posent ouvertement la question : qui contrôle réellement l’Amérique ? Poser la question, c’est aller au-devant d’un gros risque. Et pourtant, comme pour n’importe quelle tumeur maligne, il faut se résoudre à l’extirper !
Les voies du seigneur sont certes « impénétrables », mais pas au point de ne pas voir les groupes de pression exerçant une influence néfaste sur la Maison-Blanche. Outre la FED, on parle aussi du lobby sioniste
Récemment, Candace Owen, la journaliste américaine qui a relayé l’affaire Brigitte Macron, sur laquelle Natacha Rey et Xavier Poussard ont abondamment enquêté, se demande jusqu’à quel point ce n’est pas Benyamin Nétanyahou qui dirige la Maison-Blanche ! Diantre !
Certaines décisions donneraient à penser que cela serait le cas. Restons prudents cependant. Cette déclaration choc de la journaliste-phare de ces derniers temps s’appuie sur le silence qui entoure le génocide de Gaza, entre autres, car c’en est un !
Ce qui, malgré une stratégie de la diversion de la part de l’État d’Israël, n’est qu’un crime contre l’humanité ! Voir cela comme l’acte dernier d’une colonisation totale de la Palestine n’étonne personne et aligne Israël parmi les États les plus criminels de l’histoire !
Donald Trump a cependant des préoccupations autrement importantes que le Yémen, la Palestine et l’Iran dont Israël fait son obsession, à savoir le déclenchement d’une troisième guerre mondiale, ce qui lui permettrait d'atteindre son grand rêve, le Grand Israël !
La Chine fait partie des gros soucis de Donald. Il en fait même sa priorité stratégique. Sauver l’Amérique d’elle-même passe par une guerre commerciale contre le géant chinois qui, fort de sa puissance, n’a nullement l’intention d’abdiquer sa suprématie pour faire plaisir à l’empire américain.
Un observateur averti n’a-t-il pas avancé que si les Chinois ont été colonisés pendant cent ans par l’impérialisme occidental, il est fort probable que les cent années suivantes ne soient celles de la revanche asiatique ? Ce qui, commercialement parlant, est déjà le cas !
Nous n’avons pas fini avec la migraine !
Sous l’Casque d’Erby 


mardi 1 avril 2025

Au bout de la dictature, l'exécution politique de Marine Le Pen.

Erby
Pas que je sois contre la condamnation d’un dirigeant politique pour corruption, on ne compte plus le nombre d’élus tombant sous le coup, ne tenant la rampe que par l’immunité que confère la fonction. Et par la grâce d’une justice muselée ! 
Qu’on ôte l'éligibilité à qui le mérite n’a rien de scandaleux, bien au contraire. Cela prouverait la bonne santé d’une institution qui se gausse de son lustre sans le mériter. Combien de délits passés sous silence ? Car, même si cela est douloureux, il faut l’admettre : nous sommes passés du statut de République irréprochable à celui de République bananière sans même avoir recours au lubrifiant !
S’agissant de Marine Le Pen, je n’applaudis pas des oreilles, si tant est que la chose fut possible. Et pas parce qu’il s’agirait d’un péril évité à une démocratie lépreuse dont on cache la nécrose sous les dorures. Le sort de Marine Le Pen peut se résumer d’un mot brutal : a servi !
Et si la chose n’était pas aussi grave, on s’en réjouirait ! Que ceux qui en exultent prennent garde, car leur tour viendra assez tôt, s’il n’est déjà là !
Cette condamnation explique et éclaire l'abstention de madame Le Pen lors des récents votes à l’Assemblée nationale sur la motion de censure, ainsi qu’en ce qui concerne l’heureuse nomination de Richard Ferrand au Conseil constitutionnel. Deux abstentions de son groupe qui ont sauvé la peau de Macron, plongeant la base du RN dans le désarroi, inclinant la tête sous les hourras d’une gauche dévoyée, tant l’osmose avec la Macronie donne le vertige !
Derrière les reniements de Marine Le Pen se dessine l’ombre du chantage dont elle a fait l’objet sans pour autant éviter le prévisible coup de poignard !
Une forfaiture (une de plus) qui ne perturbe une institution n’ayant que le mot démocratie à la bouche, pour mieux la bafouer !
Ôtons-nous de l’idée, l’idée que l’UE-RSS, comme la désignent des complotistes endurcis, sur qui j’aligne mon propos, n’a absolument que faire de la souveraineté nationale ni des hommes de paille qu’elle fournit pour nous bercer de l’illusion démocratique, alors qu’elle n’a qu’une directive à donner pour que les Dogs de la « représentation nationale » la répercutent en aboyant comme une meute déchaînée !
Haut les cœurs !

Sous l’Casque d’Erby