Les « je vous l'avais dit » sont un genre très répandu, un peu comme les « indispensables », ça remplit les carnets de rendez-vous des psys avant d'échouer sous une pierre tombale, au terme d'un parcours épuisant ! Comme n'importe quel anonyme !
On trouvera toujours aux carrefours de nos erreurs un « savant » prêt à déposer sa bile dans notre foie pour le plaisir de le voir exploser. Un pur produit toxique qui promène son spleen de forum en réseaux sociaux pour polluer des débats qui, au fond, ne l'intéressent pas. Lui, sa dope, c'est clamer haut et fort qu'il est le plus fort !
C'est l'air triomphant qu'il hisse le drapeau de son ego sur l'éperon de sa bêtise : « je vous l'avais dit ! »
En toutes circonstances, il arborera l'étendard de son savoir comme on exhibe la Légion d'honneur au revers de son veston. Sachant, qu'on n'obtient pas ce genre de breloque sans se déshonorer !
Au diable les scrupules ! Tout au fond de lui, ce « savant » de nouvelle génération sait ! Et si un jour, il a éprouvé quelque soupçon de contrition, il s'en est vite remis !
Je sais. Tu sais. Nous savions. Ils savent tout ça, tout en haut de la pyramide ! Chez les fabricants de clones et de sosies ! Ces fantômes qui arpentent la scène publique pour nourrir l'illusion des foules manipulées.
Pareil en ce qui concerne Donald Trump – je parle de Trump, mais cela pourrait être n'importe qui d'autre –, dont on dit qu'il a trahi ses promesses électorales dans « sa lutte contre le pouvoir profond » et le redressement d'une Amérique exsangue.
Allié des globalistes jouant l'opposant avec brio ou une victime de plus ? L'ennemi est-il plus fort qu'il ne l'a imaginé ? Je pencherai pour ce dernier cas de figure.
Qui s'est trompé dans ce mélo ? Trump, en ne mesurant pas la puissance réelle de ce pouvoir dont l'Agenda 2030 déroule ses plans comme on tient un livre de comptes ? Le malheureux électeur est encore pour ses frais !
Peut-on lui en vouloir d'avoir rêvé à des « lendemains qui chantent » ? D'avoir osé espérer qu'un monde débarrassé de la vermine mondialiste, sans adrénochrome, sans pédophilie, sans biolabs, sans euthanasie, sans guerre, sans trafic d'êtres humains ni d'organes, si imparfait qu'il soit, est toujours possible ?
Voter contre l’État profond ne veut pas dire que le candidat pour lequel on « roule » est le candidat idéal. En matière d'idéal, l'urne n'a jamais tiré la panacée ! Elle n'est que la fête foraine par laquelle les élites donnent l'illusion démocratique. Ce placebo à effet psychologique immédiat !
Combien de fois, amis électeurs, avons-nous glissé un bulletin par défaut dans l'urne ? Si j'avais autant de millions que le poids des candidats, femmes comprises, pour qui j'ai voté par défaut, je serais en train de me la couler douce dans une île paradisiaque nettoyée de ces créatures inférieures qui dégoûtent tant les extra-terrestres qui gouvernent nos destinées !
Je fais face à des « savants » insupportables. Mais comme dans la vie, on ne peut pas séparer le bon du mauvais - et c'est tant mieux ! -, nous jouons les gentils couillons avec des gardiens de l'orthodoxie qui ne se soucient pas d'orthodoxie.
Sous l'Casque d'Erby