lundi 2 juin 2025

Réflexions et ressentiments à la volée

Les « je vous l'avais dit » sont un genre très répandu, un peu comme les « indispensables », ça remplit les carnets de rendez-vous des psys avant d'échouer sous une pierre tombale, au terme d'un parcours épuisant ! Comme n'importe quel anonyme !
On trouvera toujours aux carrefours de nos erreurs un « savant » prêt à déposer sa bile dans notre foie pour le plaisir de le voir exploser. Un pur produit toxique qui promène son spleen de forum en réseaux sociaux pour polluer des débats qui, au fond, ne l'intéressent pas. Lui, sa dope, c'est clamer haut et fort qu'il est le plus fort !
C'est l'air triomphant qu'il hisse le drapeau de son ego sur l'éperon de sa bêtise : « je vous l'avais dit ! » En toutes circonstances, il arborera l'étendard de son savoir comme on exhibe la Légion d'honneur au revers de son veston. Sachant, qu'on n'obtient pas ce genre de breloque sans se déshonorer !
Au diable les scrupules ! Tout au fond de lui, ce « savant » de nouvelle génération sait ! Et si un jour, il a éprouvé quelque soupçon de contrition, il s'en est vite remis !
Je sais. Tu sais. Nous savions. Ils savent tout ça, tout en haut de la pyramide ! Chez les fabricants de clones et de sosies ! Ces fantômes qui arpentent la scène publique pour nourrir l'illusion des foules manipulées.
Pareil en ce qui concerne Donald Trump – je parle de Trump, mais cela pourrait être n'importe qui d'autre –, dont on dit qu'il a trahi ses promesses électorales dans « sa lutte contre le pouvoir profond » et le redressement d'une Amérique exsangue. 
Allié des globalistes jouant l'opposant avec brio ou une victime de plus ? L'ennemi est-il plus fort qu'il ne l'a imaginé ? Je pencherai pour ce dernier cas de figure.
Qui s'est trompé dans ce mélo ? Trump, en ne mesurant pas la puissance réelle de ce pouvoir dont l'Agenda 2030 déroule ses plans comme on tient un livre de comptes ? Le malheureux électeur est encore pour ses frais !
Peut-on lui en vouloir d'avoir rêvé à des « lendemains qui chantent » ? D'avoir osé espérer qu'un monde débarrassé de la vermine mondialiste, sans adrénochrome, sans pédophilie, sans biolabs, sans euthanasie, sans guerre, sans trafic d'êtres humains ni d'organes, si imparfait qu'il soit, est toujours possible ?
Voter contre l’État profond ne veut pas dire que le candidat pour lequel on « roule » est le candidat idéal. En matière d'idéal, l'urne n'a jamais tiré la panacée ! Elle n'est que la fête foraine par laquelle les élites donnent l'illusion démocratique. Ce placebo à effet psychologique immédiat !
Combien de fois, amis électeurs, avons-nous glissé un bulletin par défaut dans l'urne ? Si j'avais autant de millions que le poids des candidats, femmes comprises, pour qui j'ai voté par défaut, je serais en train de me la couler douce dans une île paradisiaque nettoyée de ces créatures inférieures qui dégoûtent tant les extra-terrestres qui gouvernent nos destinées !
Je fais face à des « savants » insupportables. Mais comme dans la vie, on ne peut pas séparer le bon du mauvais - et c'est tant mieux ! -, nous jouons les gentils couillons avec des gardiens de l'orthodoxie qui ne se soucient pas d'orthodoxie. 

Sous l'Casque d'Erby 


samedi 31 mai 2025

Les moutons ont la rage !


Les Moutons enragés ont fermé boutique. Une voix parmi les plus importantes d'un site alternatif quitte la scène. Une belle aventure, ayant fait du « complotisme » une œuvre de vérité que l'avenir ne démentira pas, se dissipe dans les profondeurs de la toile. 
J'élargis ici le commentaire que j'y ai déposé en ce week-end de l'Ascension où l'évaporation citoyenne a rempli les campagnes en vidant les villes ! Les uns montent au ciel, d'autres descendent voir la mer !
Le travail et l'usure, comme toute œuvre désintéressée, donc humaine, ont eu raison de la volonté d'une équipe motivée et soucieuse de fournir une véritable information piochée dans le cambouis.
L'équipe aura tout fait pour prolonger une aventure qui, à l'origine, n'était pas tout à fait la sienne. Mais, quand on a plein les sabots et que le nerf de la guerre (l'argent) fait défaut, ainsi que les bras pour aider, à commencer par ceux de votre serviteur, qui aurait peut-être pu faire mieux, il devient difficile d'insister.
Après tout, nous ne sommes que des humains. Sensibles et vulnérables, fibrés par des idées dont on ne capte pas l'importance ni la valeur. Il est plus difficile de défendre des idées qu'un compte en banque. 
Il va falloir s'habituer à passer devant les volets clos de cette maison respectable à l'heure où le coq sonne la charge. À moins que… 
La vie est faite de cycles et celui-ci aura été de ceux dont on se souviendra longtemps avec émotion. 
Je n'ai jamais été un amateur des aventures collectives, ni un féru de débats où chacun exprime sa passion ou son dégoût, prenant pour vérité ce qui n'est qu'une opinion personnelle. Ce Graal, contenant plus de frustration que des certitudes absolues, est rempli de nos misères et de la bestialité d'un pouvoir politique impitoyable nous conduisant vers l'abîme.
J'admets cependant que ces échanges sont enrichissants, y compris pour les esprits rétifs comme le mien. Je suis un solitaire à la recherche de j'ignore quel but précisément. Comme beaucoup parmi nous.
Cependant, il y a une chose que je sais : je ne rends personne responsable de ce trait personnel, ni n'accuse autrui pour des faits qui dépassent nos minuscules personnes.
J'ajouterai que j'aime mon semblable et que je souffre de sa misère et des injustices qui pleuvent sur nos têtes, autant que le plus engagé d'entre nous. Cette distance que je préserve n'est pas de la froideur. Elle est là pour me prémunir des « souffrances » qu'on pourrait m'infliger. Un moyen d'éviter ce que je supporte très mal : la déception. 
Voilà la raison qui peut me faire apparaître distant, égocentrique ou indifférent pour qui ignore ce trait de ma personnalité.
S'il y a du bien et du bon dans les aventures collectives – j'en ai vécu quelques-unes –, il y a aussi du mauvais, de l'approximation, de l'égoïsme et du boursouflé de l'ego. Dans ce cas, on ne sépare pas le bon grain de l'ivraie, on prend le pack !
Ceci n'étant la faute de personne, c'est dans la nature des sociétés, travaillées par des systèmes d'éducation séculaires liés à des paradigmes politiques dont il est difficile de s'y soustraire. Encore plus difficile d'y échapper !
On a évoqué aussi (murmuré, dirais-je) l'idée d'une reprise des Moutons enragés par des « candidats » du cru. D'un relais... Je reste dubitatif sur ce point. Ce qui a été fait par autrui, ne peut être reproduit par des tiers dont l'implication n'est pas prouvée !
Je pense à l'esprit et à la lettre. Je me souviens que aventure semblable s'était produite jadis chez Dazibaoueb, dont Jean-Claude fut membre hyperactif de la première version, et dont la reprise à sa cessation ne fut qu'illusion ! Le vrai Dazibaoueb avait bel et bien... rejoint les limbes du digital!
Restera de cette magnifique et riche expérience, la passerelle entre le virtuel et le réel qu'emprunteront celles et ceux qui chercheront à y prolonger les débats, échangeant numéro de téléphone et adresses pour aller de la sympathie à amitié dans la vraie vie !
Le bon vent à tous !

Sous l'Casque d'Erby


jeudi 29 mai 2025

Non au traité constitutionnel européen de 2005



Par Jean-Claude

Eh voilà ! Nous y sommes, à cette commémoration si importante ! Le 29 mai 2005, le Peuple Français debout a décidé de refuser d'entrer dans l'Union européenne.
Dès le lendemain sans doute, cette engeance qui enserre de ses doigts glacés NOTRE MONDE a décidé de sortir de cet anonymat bien commode, d'où elle tirait les fils "politiques" afin de mener NOTRE MONDE vers SON MONDE, qui en est un détestable (le mot est TRÈS FAIBLE) reflet.
Il fallut donc casser LA DÉCISION du Peuple, donc se mettre soudain en pleine lumière (mauvais pour le teint, ça) afin de bousculer la Constitution. Rien moins que de faire décider par UNE FRACTION du Peuple un destin contraire à ce qu'en toute majesté le Peuple avait en son âme est conscience résolu. Il s'agit tout de même de l'Article TROIS, l'un des plus importants.
Oui, soudain, l'hydre tentaculaire, d'un vert blafard, malsain, se retrouvait face aux feux de la rampe pour imposer ses propres "PROJETS".
De magouille en magouille, cette hydre a tant fait que le premier décembre 2009, contre un DROIT définitivement bâillonné, le Nouveau Traité de Lisbonne a été mis en application en France. Cela implique que, ce jour-là, bien que fort peu de citoyens l'aient vu ainsi, la France est passée aux oubliettes, remplacée par une satrapie commandée par une camarilla basée à Bruxelles, camarilla soigneusement non élue hormis par les Banquiers. Oh, par routine, il y eut encore des élections factices, où les vainqueurs l'étaient déjà à l'avance dans des sondages ressemblant plus à des prescriptions. C'est dire la légitimité du système.
Mais le Peuple est toujours là, désemparé, malmené, en proie à un système juridique complètement inversé pour l'interloquer encore plus ; mais c'est aussi un Peuple qui, cahin-caha, tente de comprendre et de réagir. Après tout, le 13 juillet 1789, qui eût prédit ce qui se passerait le lendemain ? « Debout, les damnés de la Terre..... »

Sous l'Casque d'Erby



mardi 27 mai 2025

Obama deep


Obama a les fesses sur le grill. Ne pensez pas à mal, ceci est une image. Ils sont nombreux dans l'univers sombre du pouvoir à connaître ce genre d'inconfort et à bien s'y habituer. Une petite ligne par-ci, par là et ça vous change la perspective.
Selon des sources « autorisées » — il faut toujours se méfier des sources, surtout quand elles sont « autorisées » — il serait, ou aurait été — lors de ses deux mandatures une des pièces principales de la CIA et le bras armé du pouvoir invisible dans le jeu de manipulation par lequel les États-Unis ont plongé dans l'une des séries les plus noires de sa jeune histoire. Pourtant, elles remplissent déjà nombre d'encyclopédies !
Barack Obama, pour qui la guerre aura été un jeu vidéo pour post-adolescent cruel, serait le dernier marionnettiste de la Maison Blanche. Celui qui dictait, après avoir été briefé, au personnel de ce pauvre Joe Biden, son ancien vice-président, où et quand on devait l'aider à nouer la cravate ou à lacer les chaussures. À lire un texte devant la presse, dont il oubliait le contenu quand il ne perdait pas les fiches rédigées par les conseillers. Que savons-nous des mystères diamantifères qui jalonnent l'univers et ses complexes ?
Un procès arrive, c'est imminent, affirment des « sources bien informées » ! Quand les sources sont « bien informées » on peut d'ores et déjà penser que le futur prévenu est entouré d'une nuée d'experts spécialisés en farces et attrapes. Une mise en scène par laquelle tout paraît vrai, mais tout est faux, du bras coupé aux faux serpents ; du coussin péteur au chewing-gum électrique. Une affaire qui télescope celle du procès de P. Diddy dans lequel il est « indirectement » impliqué, son nom ayant été cité au cours du « témoignage déroutant de l'ancien assistant du rappeur ». 
Et dire que je fus ému jusqu'aux tréfonds lorsque pour la première fois de son histoire l'Amérique se choisit un président noir ! Quel naïf ! 
Dans tout cela, il reste le spectacle. Que les Pangloss n'exultent pas trop vite. Ceci ne sera qu'un nouveau feu de paille ! Une énième diversion.
L'idée naïve que nous avons d'une justice immanente, bouc émissaire compris, n'est pas encore à l'ordre du jour. Cela est perturbant pour l'équilibre psychique, je l'admets, car de contrariété en contrariété, nous nous retrouvons dans un pays sous curatelle ! Adieu, veau, vache, cochonne et couvée ! 
Hélas, l'être déconstruit, reste coriace dans son tout petit costume, rien ne l'en débarrassera. Quand une créature du pouvoir est « terrassée », une autre est déjà dans les starting-blocks pour prendre le relais. On croit atteindre le Diable, nous n'avons affaire qu'à l'un de ses démons !
Handicapé, parce que formaté par l'éducation de l’État et un milieu ambiant métastasé par la frivolité et la course à la breloque, le petit homme pensera ce qu'on lui suggère de penser, en toute liberté. Dira ce qu'on lui dicte, crachera sans hésiter au visage de son voisin d'enclos, qui cherche à couper les barbelés, afin de respirer l'air vivifiant de la liberté et, pourquoi pas, du bonheur !

Sous l'Casque d'Erby 


vendredi 23 mai 2025

Pessimiste, moi ? A peine !

L’anesthésiant est puissant et son soulagement si doux, que l’amnésie s’installe dans les consciences comme si de rien n’était : un corps politique au pire de sa forme, une vie qui perd le fil de sa dignité dans l’odeur des vallées profondes et des lacs sombres du Walhalla, agissant sur les organismes comme une fatalité inéluctable.
Ce n’est pas le début. Ce n’est pas la fin, mais un aller simple vers cette dimension duveteuse où, dit-on, débarrassé des contraintes matérielles, l’esprit est enfin à son aise.
Rien à gauche. Rien à droite. Droit dans le mur ! 
La manipulation politique est à son pic le plus élevé dans notre 5ᵉ mourante : faire passer une exécution pour un accident malheureux ; une défenestration pour un suicide par dépit amoureux ; un tremblement de terre pour une catastrophe naturelle ; un empoisonnement alimentaire pour de la gloutonnerie incontrôlée ! Ni nouveau ni surprenant : l'histoire humaine est remplie de ces atrocités. Les Borgia n'ont rien inventé, car avant eux, c'était déjà comme ça...
Depuis longtemps, le cinéma n’invente plus rien, il puise son pis-aller dans le réel ! Toute ressemblance, blablabla, n’est pas fortuite !
La foule doit y croire. Elle y croit ! Pas toujours par conviction intime, mais par confort. Quand le crime est à son apogée, le blaireau fait ce qu’il fait de mieux : l’autruche !
Jouer avec le chaos en tripotant le flûtiau comme dans les contes anciens. Sortir de la bacchanale électorale un parasite pas trop médiatisé, qu’on présentera comme du nouveau, de l’antisystème, du révolutionnaire pour instiller un nouvel enthousiasme et rafler une nouvelle fois la mise, c’est ainsi que les choses fonctionnent et ce n'est pas près de s'arrêter. Alors, changer le monde ? 
N’avons-nous pas eu notre soûl de mensonges, toujours les mêmes sous déguisements divers ? D’évidence, entre la première gorgée et l’addiction, la graine a poussé comme plante fourragère, ce qui a pour effet de fixer l’azote dans le sol au profit de l’exploitant !
Applaudissant à tout rompre, la masse se trémousse, affiche des tronches réjouies, lance des hourras jusqu’à l’aphonie ! Criera des On a gagné jusqu'à se déchirer le gosier !
Fera des dons, comme si elle n’était pas assez dépouillée, parce que la toute nouvelle campagne a besoin de fonds, d’un soutien indéfectible, si on veut que « ça change vraiment » !
Par ailleurs, plus nous sommes distraits, moins nous avons de fonds, et plus aucune autonomie pour finir le mois. Par ici les agios !
C’est cela le « confort » d’une paralysie volontaire. Le peu d’argent que la banque autorise en découvert, on l’investit dans l’achat de papier hygiénique, à cause d'une menace de pénurie !
Pauvres, mais les fesses propres !

PS Le blog Lezarceleur a été supprimé par Google sans aucune explication. La démocratie a ses caprices. Pas moyen de discuter, d'expliquer que la plateforme se nourrit majoritairement de traductions et de partage. Cela emmerde le Prince et ça suffit ! Circulez, il n'y a rien à voir !

Sous l'Casque d'Erby 


mardi 20 mai 2025

Halte ou encore ?

Source

En Roumanie, le candidat de l’ordre mondial (proeuropéen) finit par l’emporter devant le candidat « souverainiste ». Le spectre d’une extrême droite utilitaire abondamment exploité s’avérerait plus efficace que le danger totalitaire déjà à l’œuvre partout en Europe ? Ou bien s’agit-il, encore une fois, de trucage électoral, une chose expliquant l’autre ?
Le corps politique est dévoré par la nécrose et aucune thérapie n’est, en l’état actuel des choses, assez efficace pour arrêter l’hémorragie. Même l’imputation partielle d'un membre ne semble pas pouvoir y venir à bout.
Dieudonné, Soral, Jovanovic, Branco, Fourtillan plus tôt, pour ses déclarations dans le film Hold-up sur la manipulation covidienne… Tous estampillés « faibles d’esprit » ou extrémistes de droite ! 
Certains, sans faire de bruit, prennent le chemin de l’exil. Baissent-ils les bras ? Qui sera le prochain à se faire « rafler » à l’heure où la ville dort ?
Ne prenez pas ceci pour du délire complotiste, l’affaire est plus grave qu’on ne l’imagine ! Cela me rappelle ce poème qui date, mais toujours actuel, où tout est posé, comme on creuse les fondations d’un monument funéraire. Cette chose qui nous concerne tous, mais à laquelle, pour de multiples raisons, personne n’ose imaginer le retour.
Ce petit poème a été jeté dans les courants pour que l’on se souvienne, comme un cri contre l’horreur. Petit texte, si chargé de conséquences, si électrique, que l’on lit la chair à vif chaque fois qu’un danger se profile pour l’oublier aussitôt, tant cela paraît impossible !
Un poème si violent. Si cruel, qu’on le lit comme on regarde un film d’épouvante en grignotant du corn-flake, les fesses bien calées dans son fauteuil, un frisson rassurant nous parcourant l’échine ! 
Poème qui retrouve aujourd’hui les couleurs sombres qui l’ont motivé, le voici, aussi actuel qu’auparavant :

Lorsque les nazis sont venus chercher les communistes, 
je n’ai rien dit, 
je n’étais pas communiste. 
Lorsqu’ils ont enfermé les sociaux-démocrates, 
je n’ai rien dit, 
je n’étais pas social-démocrate. 
Lorsqu’ils sont venus chercher les syndicalistes, 
je n’ai rien dit, 
je n’étais pas syndicaliste. 
Lorsqu’ils sont venus me chercher, 
il ne restait plus personne 
pour protester. 
  
Martin Niemöller, poème écrit en 1942.
 
Sous l’Casque d’Erby 


dimanche 18 mai 2025

Maman, c’est quoi un facho ?


L’esprit de résistance d’un pays en souffrance monte. Avec lui sont arrivés les contre-feux imaginés dans les officines et répercutés dans toutes les salles de rédaction d’une presse à l’agonie, perfusée avec l’argent public, avant d’échouer dans des oreilles polluées par des croyances absconses. Les petites mains du pouvoir font le reste, dans la rue comme dans les débats publics, en échange de misérables avantages.
De même qu’une escouade d’extrême gauche dans la rue ne fait pas une révolution sociale, un groupuscule d’allumés, photographié en plan serré pour grossir l’effet, arborant des drapeaux à l’emblème d’Occident, ne préfigure pas l’avènement du nazisme. Pourquoi ? Parce que le nazisme est déjà au pouvoir en Europe. Subsidiairement, ces groupuscules, téléguidés par les services de l’État, servent les intérêts des véritables agitateurs, ceux qui tiennent le palpitant du système sous divers déguisements, qui pondent des lois, imposent des directives, inventent des catastrophes sanitaires pour soumettre le monde à ce nazisme qu'on chérit en silence.
C'est à peine si ces nostalgiques 2.0 se retiennent d’exulter, tant la chose leur paraît enfin réalisable !
La question qu'une «  gauche  » traumatique aux militants manipulés – vivant la « souffrance de l’histoire » par procuration – doit se poser est celle-ci : le nazisme a-t-il seulement quitté le pouvoir depuis la défaite de 1945 ? 
La réponse étant avérée, à quoi servent ces cris d’orfraie, ces moulinets anti-fachos et ces votes « salvateurs » à chaque mouvement électoral sinon à cacher la poussière sous le tapis ? 
Dans son soutien à l’Ukraine de Zelensky et son obstination à poursuivre une guerre contre la Russie, d'ores et déjà perdue, l'UE ne fait que corroborer le fait que son objectif final est bel et bien la dévitalisation du continent par la guerre, quoiqu'il en coûte aux peuples. Le prétexte démocratique n’est que le marronnier !
L’histoire ne nous enseigne-t-elle pas que tous les totalitarismes, de l’Italie mussolinienne à Hitler, de Staline à Mao, j’en oublie, ont pour dénominateur commun l’appellation « socialiste » » ? 
Qu’il est étrange que ce qui nous est vendu comme le bonheur universel cache une si épouvantable escroquerie ! 
Le plan, d'une simplicité enfantine, est de niveler les peuples par le bas. Convaincre celui qui est socialement au plus mal qu'il est l'homme le plus fortuné et élevé au monde ! Empêchant par le fait l'apparition de citoyens intelligents, se posant les bonnes questions et trouvant le chemin du bon sens perdu, car plus l'individu se cultive, plus il est difficile à duper. D'où une société qui remplace les librairies par des boutiques de fringues, des opérateurs téléphoniques et une culture de supérette. 
Dans sa politique migratoire, qui ne cache plus la fin des pays souverains, l’UE annonce sans le dire le « grand remplacement ». Le pousse-toi que je m’y mette pour créer et développer le chaos avec une « espèce » nouvelle d’individus, plus corvéable, parce que totalement abrutie ! 

Sous l’Casque d’Erby