mercredi 18 juin 2025

« Je te préférais quand tu ne réfléchissais pas » !

C’est par cette phrase du titre qu’un ami de longue date s’est esquivé de la soirée de retrouvailles.
La vérité est que nous traversons des temps infâmes où le simple fait de condamner une agression est considéré comme un acte répréhensible.
Être agressé, violé ou tué nous obligerait à accepter notre sort en silence, comme une punition méritée. Comme si nous devions expier des fautes sans savoir lesquelles devant le tribunal de la pensée : « Pardon, je vous demande pardon. Je ne sais pas pour quels crimes, ni pour quels péchés, ni pour quelles futilités expurgées des poubelles de l’esprit, mais, je vous en supplie, pardonnez-moi ! »
L’inversion perverse de la réalité est-elle le résultat d'une tendance passagère, comme une représentation artistique de mauvais goût, que le calendrier biffe de ses pages au hasard des épisodes ? Ou, plus concrètement, la volonté criminelle des élites, jamais en panne d’inspiration dès qu’il s’agit de bastonner le gueux  ?
Le russe contre tous ! Tous contre la Russie ! Par jalousie ! Par prédation ! Par amour du crime ! Et, apothéose, tous contre tous !
D’évidence, cela correspond au projet que la haute nous réserve dans un final d’apocalypse programmé pour 2030 — nous y arrivons ! — Et son maudit calendar !
De nos jours, affirmer des choses aussi banales que le jour est jour et la pluie est pluie, quand cela est, devient un acte d’insoumission aux yeux d'une population aliénée et de plus en plus masochiste.
Ce monde est un asile dans lequel la « guérison » passe par l'expiation de tous les péchés, agrémentée par des séances publiques d’autoflagellations, bientôt diffusées en direct sur Mondovision, la chaîne des enchaînés ! Un show dans lequel chacun bat sa coulpe se fouettant les douze paires de côtes jusqu’au sang !
En dehors du sillon tracé par le dominant, le dominé, est heureux sous le joug de ce qu'il s'est persuadé être son bonheur !
Le point d’accroche s’est solidement scotché dans les esprits, au point qu’en dehors des directives expectorées par des diseurs de brèves insanes aux informations en continu, aucune autre possibilité ne trouvera grâce aux yeux de l’addict. Sans sa dose quotidienne, il est tendu comme un arc !
C’est ainsi que le type ordinaire, qui n’aime pas le chinois, le russe, le juif, l’arabe et très moyennement l’Américain, surtout depuis que Trump est revenu aux affaires, vous traite de raciste parce que vous posez les questions qui dérangent. Et de facho quand vous dénoncez le laxisme de la justice à l’égard des coupables de viols, de coups de couteau ou des violences urbaines causées par des migrants sortis du chapeau de la bien nommée galaxie Soros.
La réaction violente de la population irlandaise devant des décisions de justice sur des tentatives de viols sur des jeunes filles est jugée démesurée par ces mêmes décérébrés, sans chercher à comprendre qu’elles ne font que répondre au laxisme d’une justice aux ordres du pouvoir profond.
Combien d’actes similaires enregistrés dans tous les pays d’Europe passés sous silence ? Si la police fait son travail, qu’en est-il de la justice ? 
Comme de bien entendu, ces irlandais n’ont rien compris au film ! Du moins, c’est ainsi que les médias nous présentent le narratif !
C’est par le même procédé que l’on accepte l’idée d’une Troisième guerre mondiale, parce qu’il faut nous mettre du plomb dans la tête ! C’est du pousse-toi de là que je m’y mette où je n’entends plus bien de mes deux oreilles !
Ce n'est pas la goutte qui remplit la vase, mais c'est elle, si insignifiante qu'elle soit, qui le fait déborder.

Sous l’Casque d’Erby 


samedi 14 juin 2025

Hier, aujourd'hui, demain, une seule alternative : la guerre !

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Ouvertement déclarée ou non, la guerre nous est proposée comme on offre des produits à la consommation pendant les soldes. Un bras, une jambe, un crâne ou tout un corps à prix discount. Elle est l'entrée, le plat principal et le dessert d'un menu à la carte. 
L'Iran aujourd'hui, l'Ukraine plus tôt et Gaza pour garnir ce gros sandwich bien bourratif pour faire taire les consciences, avec deux fronts rangés en ordre de bataille : le Bien et le Mal. On gave l'opinion publique à qui on demande de donner une note de un à cinq à cette sinistre nourriture. 
De la chair à canon au silence des cimetières, c'est la mort qu'on revêt d'une étrange lumière. Si tant est que « lumière » soit le terme approprié en l'occurrence. Comme s’il n'existait dans un univers déshumanisé qu'une seule voie, celle de notre peur et de notre lâcheté dans une réalité virtualisée. La voie la plus directe et la plus aisée pour atteindre un confort qui nous pousse à penser que pour enrayer la gangrène, l'amputation d'un membre suffit à sauver l'organisme.
Nous sommes dans un jeu vidéo, comme en Irak avant et en Ukraine après, nous disputant le monopole d’une raison séquestrée par les organisateurs de cette sanguinaire odyssée. 
Au jeu de qui a raison et qui refuse d’avoir tort, nous finirons tous six pieds sous terre sans avoir creusé la question.
Quoi de plus évident pour escamoter un arbre que la forêt elle-même ? L’histoire est cette pute qui écume les champs de bataille pour, dans la putréfaction des cadavres, tirer un narratif qui la rendra appétissante au regard des futures victimes !
Quand le réel et le virtuel s’amalgament, il ne reste plus que des promesses qu’on ne peut pas tenir. Des propos sans témoins et des témoins qui disent les avoir entendus dans la bouche des muets.
Quand il ne restera plus que le souvenir flou de ce qui aurait pu être un monde différent, ceux qui auront échappé au carnage iront commémorer le martyre comme on célèbre une page glorieuse dans le grand livre noir de nos consciences.

Sous l’Casque d’Erby 



jeudi 12 juin 2025

L’euthanasie pour mieux vivre ?

Du droit de « mourir dans la dignité » au droit de vivre, selon des critères décrétés, il n'y a qu'un pas que nos concepteurs en savoir-vivre franchissent le plus naturellement du monde.
En réalité, on nous prépare à accepter l'idée que mourir est une bonne idée dans une planète saturée de gens qui n'ont rien à y faire, selon des critères globalistes !
Réduire la population nous pousse vers ce monde dystopique imaginé par des romanciers omniscients, mais qu'en est-il en vérité de ces « prophéties » ? La littérature d'anticipation n'a jamais fait autre chose que d'exprimer, sous le couvert de distorsion imaginaire, la vérité sur les intentions cachées de la caste dirigeante.
À force de conditionnement, bientôt (et pourquoi pas dès maintenant) les futurs macchabées seront convaincus que ce sont eux qui ont décidé de dire halte, acceptant « librement » le trépas ! On nous a bien convaincu que le Pangolin avait des mauvaises intentions à notre égard. Pauvre bête ! 
Tous les moyens d'information sont au vert pour nous convaincre des bienfaits du « suicide assisté » ! Comme pour la retraite, bientôt, nous aurons un droit de vie à la carte. Une sorte de passeport à points.
Autrement dit, vous travaillerez jusqu'à tel âge, avant de prendre votre retraite – le plus tard possible – et vous mourrez assez rapidement afin d'éviter un déficit budgétaire au gouvernement, à votre famille, à vos amis, à vos semblables, à la nation ! Soyez patriotes, effacez-vous dignement !
On passe une vie à imaginer un monde convenable, débarrassé de ses multiples merdes et quand vous pensez avoir atteint l'âge raisonnable pour profiter d'une retraite que vous avez mille fois méritée, le malin vous prépare à vous faire volontairement sauter le caisson !
Ne soyez pas égoïste, pensez à vos enfants. À vos petits-enfants. À ces gens que vous aimez et que par votre acharnement à vivre, vous plongez égoïstement dans l'embarras ! Acceptez dès maintenant votre passeport pour la mort ! 
L'Assemblée nationale débat sur l'âge raisonnable d'une fin de vie digne, que vous soyez dans un état végétatif ou pas.
Soyez citoyen, acceptez votre destin, le gouvernement y tient. C’est pour votre bien !
Fait extraordinaire, mais à peine, ce discours est tenu par des dirigeants bien âgés qui n'ont aucune intention de se suicider !

Sous l’Casque d’Erby 


mardi 10 juin 2025

Oh, mon bateau ! Tu es le plus beau des bateaux !

Source
L'équipage du Madleen, composé de militants de diverses nationalités, a mené une opération médiatique pour briser le blocus de Gaza. Cette action, visant à attirer l'attention d’une foule de gogos, préalablement chauffée, s'est transformée en vacances médiatiques aux frais de la princesse.
L'événement a été médiatisé comme si nous assistions à la renaissance des guérilleros de la Sierra Madre, Rima Hassan dans le rôle de guévariste et Greta Thunberg en gardienne de l’orthodoxie castriste, ou quand l’histoire pisse le vinaigre !
L'humanitaire n'étant ici qu'un prétexte à une mascarade macabre, dont les protagonistes tireront des souvenirs en conserve et des avantages subséquents. Lorsque l'homme atteint ce niveau de cynisme et de stupidité, on touche du doigt la fin d'une civilisation en totale décomposition.
On fait la guerre comme on prend des selfies à la BHL. Non seulement nous touchons le fond, mais pire, nous continuons de creuser à la recherche du diamant du Nil !
Cette version médiocre d'une nouvelle Chasse au Trésor serait risible s'il ne s'agissait pas d'un business, identique à celui du mouvement migratoire, sur la souffrance et la mort des peuples. Ce qu'il y a de cruel, c'est l'idée que l'élite et sa représentation politique se font des habitants de la planète. 
Arraisonné par l'armée israélienne (quelle surprise !), après un séjour dans les prisons sionistes, on a libéré le pack de malins et de cinglés sous les hourras d'une militance en état de coma dépassé !
Stimulée par le frisson héroïque d'une telle aventure, l'escouade dira avoir vécu l'enfer dans des cachots dignes de celui d'Edmond Dantès dans le Conte de Monte-Cristo. Pas moins.
L'opération suivante est prévisible comme le jour succède à la nuit. Réglée comme du papier à musique : Des micros déployés dans les salles de rédaction. Des interventions virulentes à l'antenne, soulignant ou pas le bon ou le mauvais comportement des autorités israéliennes, décrivant avec force et émotion cette odyssée du pauvre !
Annonçant d'ores et déjà, pourquoi pas, la diffusion de témoignages choc à venir dans des plateformes vidéos de diffusion en flux.
Un temps de parole que les médias n’accorde jamais aux vrais résistants !
Pendant ce temps, les Gazaouis continuent d'être décimés au lance-flammes !

Sous l’Casque d’Erby 



lundi 9 juin 2025

Mon éolienne ne vaut pas un clou et me coûte une blinde !

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Quelqu’un parle-t-il l'éolien parmi nous ? Un volontaire dans le public pour traduire la bête en justice ? Ce n’est pas une blague écologique 2.0, c’est un acte de terrorisme majeur que nous devons juger sans délai !
La bête est gourmande. Il ne faut pas faire semblant de la nourrir, elle en redemande !
Rien que le générateur vous pompe trois tonnes de terres rares, importées de Chine. Ne me dites pas que les Chinois sont des vilains canards qu'il faut éradiquer, alors qu'ils sont si gentils avec nos industriels !
Les affaires sont les affaires ! 
Sans parler de la soif. Un véritable pilier de comptoir : 400 litres d’huile à la fournée ! D'accord, de temps en temps, l'organisme sature et régurgite le tout sur le paletot, laissant des grosses taches sur le blanc jabot ! 
Pas d’inquiétude, la terre est une éponge !
Tous les ans, chaque pale chie dans nos campagnes dans les 180 kg de son poids en poussières fines, faites de fibres de verre, de carbone et de résines époxy. Tout ça est projeté dans l’air, ce qui reste invisible à l’œil nu. Ni vu ni connu. 
Bonjour les ZFE pour zones à faible émission !
Quand ça clamse, les ailes de ces oiseaux stylisés, si classieux, bien sûr non recyclables, sont enterrées sous nos pieds. Ce qu’on ne voit pas, n’existe pas, n’est-ce pas ? 
Aucune plaque n’y est apposée pour célébrer sa mémoire  : ci-gît une escroquerie à échelle planétaire !
Quant au socle, voici de quoi alimenter le détail : 60 camions de 25 tonnes de béton chacun. Total : 1500 tonnes ! De quoi fabriquer de la pierre tombale low cost pour plomber la mémoire ! Quant à la ferraille, il y a là de quoi vous alimenter plusieurs générations. Ça vous comble votre déficit en fer, que c’est miracle : fatigue, essoufflement, ongles cassants, on oublie. Une véritable usine de rénovation !
Si des écologistes (je parle de vrais écolos) avalent l'anaconda, ce ne sont que des pauvres gens au cerveau en fin de course ! 
Toute cette merde ne sert que des industriels. Autrement dit, des escrocs !
Conseil pratique : Si quelqu’un vient louer vos terres pour y installer ces bestioles, moyennant une somme séduisante 30 000€ l’an pendant 20 ans (durée de vie de la chose), refusez, c’est un piège ! Le démontage du bidule est à votre charge, puisque vous êtes propriétaire du terrain. Coût minimum : 450 000€ l’unité ! Comme on vous en installe une paire, faites le calcul !
Malins, les mafieux !

Sous l’Casque d’Erby
 


samedi 7 juin 2025

L’Ukraine refuse de récupérer les corps de ses soldats morts au combat pour faire des économies



 
Aujourd’hui 6 juin 2025, devait avoir lieu la première partie de « l’échange » à grande échelle entre la Russie et l’Ukraine de corps de soldats morts (en réalité, il s’agit d’un transfert quasi unilatéral de la part de la Russie, car l’Ukraine n’a pas un grand nombre de soldats russes morts en sa possession). Mais au dernier moment, l’Ukraine a refusé de récupérer les corps de ses soldats, pour des raisons particulièrement cyniques.
La première étape de « l’échange » de corps à grande échelle entre la Russie et l’Ukraine devait avoir lieu aujourd’hui. Kiev devait recevoir les corps de 503 soldats tués (sur les 6 000 corps qui sont en possession de la Russie), et Moscou devait en recevoir 42. Cependant, le transfert n’a pas eu lieu.
Environ 150 camions réfrigérés transportant les corps de soldats ukrainiens sont arrivés à la frontière entre la Biélorussie et l’Ukraine, mais la partie ukrainienne a refusé de les prendre, sans donner de motif.
Ce refus peut sembler des plus étranges. En effet, quel gouvernement ne voudrait pas permettre aux familles des soldats morts au combat de les enterrer dignement au lieu de les laisser moisir dans les morgues ennemies ? La suite, c'est par ici

vendredi 6 juin 2025

Marre d’être heureux, pas vous ?

Pixabay
Les campagnes contre l'homophobie se multiplient, comme si la société était engagée dans une guerre de cent ans sur une pratique sexuelle ancestrale désormais banalisée.
On vous demande de porter des signes distinctifs, symbole de soumission aux nouvelles règles du ministère de la Vérité ! Un concept politique qu’on impose dans tous les milieux sociaux et lors des manifestations sportives où le public est nombreux, afin de généraliser la pensée unique. À l'instar de l'ex-Union soviétique et de la Chine maoïste, que les gauchistes fanatisés de la décennie 1970/80 cachaient pudiquement sous les écharpes rouges lors des campagnes de prosélytisme décomplexé.
Un moule pour chacun et tous dans le même moule, c'est la grande reconfiguration des cerveaux !
Le refus de porter un signe distinctif n'implique pas nécessairement l'homophobie, l'antisémitisme ou le racisme. Par exemple, je refuse de porter des t-shirts imprimés, parce que je ne suis pas un homme-sandwich. Mais je n’oblige personne à suivre mon exemple !
Hommes, femmes et enfants ne suffisent plus à appréhender un monde qui sombre dans la folie au nom d’une déchéance programmée ! Il faut quelque chose de nouveau, de créatif, de bien dégénéré pour se sentir quelqu’un d’important. C'est le prix à payer pour être dans l'air des nouveaux temps barbares ! 
Les regrets viendront plus tard, quand nous aurons oublié jusqu'à la notion d'espoir ! Quand nous aurons subi toutes les infamies  et accepté la dépopulation comme une forme de vaccination contre la démographie !
Le problème migratoire, orchestré par la galaxie Soros et politiquement appuyé par l'UE, sans autre règle que celle de mettre en place une politique du naufrage ! S’y interroger sur les dérives et les conséquences générées par ce flux continu, n’implique pas de l’hostilité, comme on cherche à le faire croire en crachant sur les gens du pays qu’un certain personnage du showbiz traite avec haine de « fin de race » ! Les excuses qui ont suivi ne servant qu’à souligner l'immense mépris qu'il éprouve pour le pays qui le nourrit !
Plus on désarçonne l'individu, plus on le dépouille et l’enfonce dans la boue, plus on l'entraîne vers l'indifférence, et plus docilement il intégrera la nécessité de se saborder en tant que personne. 
Rien ne fait tant frissonner l'être nourri à l’aliment consumériste que l'idée d'une agression imaginaire, comme celles que l’on regarde sur les plateformes de streaming vidéo, où Russe et Arabe, toujours vaincu à la fin, endossent le rôle de mafieux ou de terroristes, parfois les deux !
« Qu'est-ce que je n'aimerais pas être à la place d'un Palestinien ! Ou d’un Ukrainien ! Ou d'un catholique. Brrr ! » 
Du coup, l'être optimiste reste à la place qu'on lui assigne devant la télé, la tête enfoncée dans le sable et le cul fouetté par les vents mauvais !
En réalité, l'optimiste n'a qu'une idée et des couleurs basiques en tête : le rose pour les femmes ; le bleu pour les hommes, binairement parlant !
Et moi, dans ce concert ? J’en ai marre d’être heureux ! 

Sous l’Casque d’Erby 



lundi 2 juin 2025

Réflexions et ressentiments à la volée

Les « je vous l'avais dit » sont un genre très répandu, un peu comme les « indispensables », ça remplit les carnets de rendez-vous des psys avant d'échouer sous une pierre tombale, au terme d'un parcours épuisant ! Comme n'importe quel anonyme !
On trouvera toujours aux carrefours de nos erreurs un « savant » prêt à déposer sa bile dans notre foie pour le plaisir de le voir exploser. Un pur produit toxique qui promène son spleen de forum en réseaux sociaux pour polluer des débats qui, au fond, ne l'intéressent pas. Lui, sa dope, c'est clamer haut et fort qu'il est le plus fort !
C'est l'air triomphant qu'il hisse le drapeau de son ego sur l'éperon de sa bêtise : « je vous l'avais dit ! » En toutes circonstances, il arborera l'étendard de son savoir comme on exhibe la Légion d'honneur au revers de son veston. Sachant, qu'on n'obtient pas ce genre de breloque sans se déshonorer !
Au diable les scrupules ! Tout au fond de lui, ce « savant » de nouvelle génération sait ! Et si un jour, il a éprouvé quelque soupçon de contrition, il s'en est vite remis !
Je sais. Tu sais. Nous savions. Ils savent tout ça, tout en haut de la pyramide ! Chez les fabricants de clones et de sosies ! Ces fantômes qui arpentent la scène publique pour nourrir l'illusion des foules manipulées.
Pareil en ce qui concerne Donald Trump – je parle de Trump, mais cela pourrait être n'importe qui d'autre –, dont on dit qu'il a trahi ses promesses électorales dans « sa lutte contre le pouvoir profond » et le redressement d'une Amérique exsangue. 
Allié des globalistes jouant l'opposant avec brio ou une victime de plus ? L'ennemi est-il plus fort qu'il ne l'a imaginé ? Je pencherai pour ce dernier cas de figure.
Qui s'est trompé dans ce mélo ? Trump, en ne mesurant pas la puissance réelle de ce pouvoir dont l'Agenda 2030 déroule ses plans comme on tient un livre de comptes ? Le malheureux électeur est encore pour ses frais !
Peut-on lui en vouloir d'avoir rêvé à des « lendemains qui chantent » ? D'avoir osé espérer qu'un monde débarrassé de la vermine mondialiste, sans adrénochrome, sans pédophilie, sans biolabs, sans euthanasie, sans guerre, sans trafic d'êtres humains ni d'organes, si imparfait qu'il soit, est toujours possible ?
Voter contre l’État profond ne veut pas dire que le candidat pour lequel on « roule » est le candidat idéal. En matière d'idéal, l'urne n'a jamais tiré la panacée ! Elle n'est que la fête foraine par laquelle les élites donnent l'illusion démocratique. Ce placebo à effet psychologique immédiat !
Combien de fois, amis électeurs, avons-nous glissé un bulletin par défaut dans l'urne ? Si j'avais autant de millions que le poids des candidats, femmes comprises, pour qui j'ai voté par défaut, je serais en train de me la couler douce dans une île paradisiaque nettoyée de ces créatures inférieures qui dégoûtent tant les extra-terrestres qui gouvernent nos destinées !
Je fais face à des « savants » insupportables. Mais comme dans la vie, on ne peut pas séparer le bon du mauvais - et c'est tant mieux ! -, nous jouons les gentils couillons avec des gardiens de l'orthodoxie qui ne se soucient pas d'orthodoxie. 

Sous l'Casque d'Erby 


samedi 31 mai 2025

Les moutons ont la rage !


Les Moutons enragés ont fermé boutique. Une voix parmi les plus importantes d'un site alternatif quitte la scène. Une belle aventure, ayant fait du « complotisme » une œuvre de vérité que l'avenir ne démentira pas, se dissipe dans les profondeurs de la toile. 
J'élargis ici le commentaire que j'y ai déposé en ce week-end de l'Ascension où l'évaporation citoyenne a rempli les campagnes en vidant les villes ! Les uns montent au ciel, d'autres descendent voir la mer !
Le travail et l'usure, comme toute œuvre désintéressée, donc humaine, ont eu raison de la volonté d'une équipe motivée et soucieuse de fournir une véritable information piochée dans le cambouis.
L'équipe aura tout fait pour prolonger une aventure qui, à l'origine, n'était pas tout à fait la sienne. Mais, quand on a plein les sabots et que le nerf de la guerre (l'argent) fait défaut, ainsi que les bras pour aider, à commencer par ceux de votre serviteur, qui aurait peut-être pu faire mieux, il devient difficile d'insister.
Après tout, nous ne sommes que des humains. Sensibles et vulnérables, fibrés par des idées dont on ne capte pas l'importance ni la valeur. Il est plus difficile de défendre des idées qu'un compte en banque. 
Il va falloir s'habituer à passer devant les volets clos de cette maison respectable à l'heure où le coq sonne la charge. À moins que… 
La vie est faite de cycles et celui-ci aura été de ceux dont on se souviendra longtemps avec émotion. 
Je n'ai jamais été un amateur des aventures collectives, ni un féru de débats où chacun exprime sa passion ou son dégoût, prenant pour vérité ce qui n'est qu'une opinion personnelle. Ce Graal, contenant plus de frustration que des certitudes absolues, est rempli de nos misères et de la bestialité d'un pouvoir politique impitoyable nous conduisant vers l'abîme.
J'admets cependant que ces échanges sont enrichissants, y compris pour les esprits rétifs comme le mien. Je suis un solitaire à la recherche de j'ignore quel but précisément. Comme beaucoup parmi nous.
Cependant, il y a une chose que je sais : je ne rends personne responsable de ce trait personnel, ni n'accuse autrui pour des faits qui dépassent nos minuscules personnes.
J'ajouterai que j'aime mon semblable et que je souffre de sa misère et des injustices qui pleuvent sur nos têtes, autant que le plus engagé d'entre nous. Cette distance que je préserve n'est pas de la froideur. Elle est là pour me prémunir des « souffrances » qu'on pourrait m'infliger. Un moyen d'éviter ce que je supporte très mal : la déception. 
Voilà la raison qui peut me faire apparaître distant, égocentrique ou indifférent pour qui ignore ce trait de ma personnalité.
S'il y a du bien et du bon dans les aventures collectives – j'en ai vécu quelques-unes –, il y a aussi du mauvais, de l'approximation, de l'égoïsme et du boursouflé de l'ego. Dans ce cas, on ne sépare pas le bon grain de l'ivraie, on prend le pack !
Ceci n'étant la faute de personne, c'est dans la nature des sociétés, travaillées par des systèmes d'éducation séculaires liés à des paradigmes politiques dont il est difficile de s'y soustraire. Encore plus difficile d'y échapper !
On a évoqué aussi (murmuré, dirais-je) l'idée d'une reprise des Moutons enragés par des « candidats » du cru. D'un relais... Je reste dubitatif sur ce point. Ce qui a été fait par autrui, ne peut être reproduit par des tiers dont l'implication n'est pas prouvée !
Je pense à l'esprit et à la lettre. Je me souviens que aventure semblable s'était produite jadis chez Dazibaoueb, dont Jean-Claude fut membre hyperactif de la première version, et dont la reprise à sa cessation ne fut qu'illusion ! Le vrai Dazibaoueb avait bel et bien... rejoint les limbes du digital!
Restera de cette magnifique et riche expérience, la passerelle entre le virtuel et le réel qu'emprunteront celles et ceux qui chercheront à y prolonger les débats, échangeant numéro de téléphone et adresses pour aller de la sympathie à amitié dans la vraie vie !
Le bon vent à tous !

Sous l'Casque d'Erby


jeudi 29 mai 2025

Non au traité constitutionnel européen de 2005



Par Jean-Claude

Eh voilà ! Nous y sommes, à cette commémoration si importante ! Le 29 mai 2005, le Peuple Français debout a décidé de refuser d'entrer dans l'Union européenne.
Dès le lendemain sans doute, cette engeance qui enserre de ses doigts glacés NOTRE MONDE a décidé de sortir de cet anonymat bien commode, d'où elle tirait les fils "politiques" afin de mener NOTRE MONDE vers SON MONDE, qui en est un détestable (le mot est TRÈS FAIBLE) reflet.
Il fallut donc casser LA DÉCISION du Peuple, donc se mettre soudain en pleine lumière (mauvais pour le teint, ça) afin de bousculer la Constitution. Rien moins que de faire décider par UNE FRACTION du Peuple un destin contraire à ce qu'en toute majesté le Peuple avait en son âme est conscience résolu. Il s'agit tout de même de l'Article TROIS, l'un des plus importants.
Oui, soudain, l'hydre tentaculaire, d'un vert blafard, malsain, se retrouvait face aux feux de la rampe pour imposer ses propres "PROJETS".
De magouille en magouille, cette hydre a tant fait que le premier décembre 2009, contre un DROIT définitivement bâillonné, le Nouveau Traité de Lisbonne a été mis en application en France. Cela implique que, ce jour-là, bien que fort peu de citoyens l'aient vu ainsi, la France est passée aux oubliettes, remplacée par une satrapie commandée par une camarilla basée à Bruxelles, camarilla soigneusement non élue hormis par les Banquiers. Oh, par routine, il y eut encore des élections factices, où les vainqueurs l'étaient déjà à l'avance dans des sondages ressemblant plus à des prescriptions. C'est dire la légitimité du système.
Mais le Peuple est toujours là, désemparé, malmené, en proie à un système juridique complètement inversé pour l'interloquer encore plus ; mais c'est aussi un Peuple qui, cahin-caha, tente de comprendre et de réagir. Après tout, le 13 juillet 1789, qui eût prédit ce qui se passerait le lendemain ? « Debout, les damnés de la Terre..... »

Sous l'Casque d'Erby



mardi 27 mai 2025

Obama deep


Obama a les fesses sur le grill. Ne pensez pas à mal, ceci est une image. Ils sont nombreux dans l'univers sombre du pouvoir à connaître ce genre d'inconfort et à bien s'y habituer. Une petite ligne par-ci, par là et ça vous change la perspective.
Selon des sources « autorisées » — il faut toujours se méfier des sources, surtout quand elles sont « autorisées » — il serait, ou aurait été — lors de ses deux mandatures une des pièces principales de la CIA et le bras armé du pouvoir invisible dans le jeu de manipulation par lequel les États-Unis ont plongé dans l'une des séries les plus noires de sa jeune histoire. Pourtant, elles remplissent déjà nombre d'encyclopédies !
Barack Obama, pour qui la guerre aura été un jeu vidéo pour post-adolescent cruel, serait le dernier marionnettiste de la Maison Blanche. Celui qui dictait, après avoir été briefé, au personnel de ce pauvre Joe Biden, son ancien vice-président, où et quand on devait l'aider à nouer la cravate ou à lacer les chaussures. À lire un texte devant la presse, dont il oubliait le contenu quand il ne perdait pas les fiches rédigées par les conseillers. Que savons-nous des mystères diamantifères qui jalonnent l'univers et ses complexes ?
Un procès arrive, c'est imminent, affirment des « sources bien informées » ! Quand les sources sont « bien informées » on peut d'ores et déjà penser que le futur prévenu est entouré d'une nuée d'experts spécialisés en farces et attrapes. Une mise en scène par laquelle tout paraît vrai, mais tout est faux, du bras coupé aux faux serpents ; du coussin péteur au chewing-gum électrique. Une affaire qui télescope celle du procès de P. Diddy dans lequel il est « indirectement » impliqué, son nom ayant été cité au cours du « témoignage déroutant de l'ancien assistant du rappeur ». 
Et dire que je fus ému jusqu'aux tréfonds lorsque pour la première fois de son histoire l'Amérique se choisit un président noir ! Quel naïf ! 
Dans tout cela, il reste le spectacle. Que les Pangloss n'exultent pas trop vite. Ceci ne sera qu'un nouveau feu de paille ! Une énième diversion.
L'idée naïve que nous avons d'une justice immanente, bouc émissaire compris, n'est pas encore à l'ordre du jour. Cela est perturbant pour l'équilibre psychique, je l'admets, car de contrariété en contrariété, nous nous retrouvons dans un pays sous curatelle ! Adieu, veau, vache, cochonne et couvée ! 
Hélas, l'être déconstruit, reste coriace dans son tout petit costume, rien ne l'en débarrassera. Quand une créature du pouvoir est « terrassée », une autre est déjà dans les starting-blocks pour prendre le relais. On croit atteindre le Diable, nous n'avons affaire qu'à l'un de ses démons !
Handicapé, parce que formaté par l'éducation de l’État et un milieu ambiant métastasé par la frivolité et la course à la breloque, le petit homme pensera ce qu'on lui suggère de penser, en toute liberté. Dira ce qu'on lui dicte, crachera sans hésiter au visage de son voisin d'enclos, qui cherche à couper les barbelés, afin de respirer l'air vivifiant de la liberté et, pourquoi pas, du bonheur !

Sous l'Casque d'Erby 


vendredi 23 mai 2025

Pessimiste, moi ? A peine !

L’anesthésiant est puissant et son soulagement si doux, que l’amnésie s’installe dans les consciences comme si de rien n’était : un corps politique au pire de sa forme, une vie qui perd le fil de sa dignité dans l’odeur des vallées profondes et des lacs sombres du Walhalla, agissant sur les organismes comme une fatalité inéluctable.
Ce n’est pas le début. Ce n’est pas la fin, mais un aller simple vers cette dimension duveteuse où, dit-on, débarrassé des contraintes matérielles, l’esprit est enfin à son aise.
Rien à gauche. Rien à droite. Droit dans le mur ! 
La manipulation politique est à son pic le plus élevé dans notre 5ᵉ mourante : faire passer une exécution pour un accident malheureux ; une défenestration pour un suicide par dépit amoureux ; un tremblement de terre pour une catastrophe naturelle ; un empoisonnement alimentaire pour de la gloutonnerie incontrôlée ! Ni nouveau ni surprenant : l'histoire humaine est remplie de ces atrocités. Les Borgia n'ont rien inventé, car avant eux, c'était déjà comme ça...
Depuis longtemps, le cinéma n’invente plus rien, il puise son pis-aller dans le réel ! Toute ressemblance, blablabla, n’est pas fortuite !
La foule doit y croire. Elle y croit ! Pas toujours par conviction intime, mais par confort. Quand le crime est à son apogée, le blaireau fait ce qu’il fait de mieux : l’autruche !
Jouer avec le chaos en tripotant le flûtiau comme dans les contes anciens. Sortir de la bacchanale électorale un parasite pas trop médiatisé, qu’on présentera comme du nouveau, de l’antisystème, du révolutionnaire pour instiller un nouvel enthousiasme et rafler une nouvelle fois la mise, c’est ainsi que les choses fonctionnent et ce n'est pas près de s'arrêter. Alors, changer le monde ? 
N’avons-nous pas eu notre soûl de mensonges, toujours les mêmes sous déguisements divers ? D’évidence, entre la première gorgée et l’addiction, la graine a poussé comme plante fourragère, ce qui a pour effet de fixer l’azote dans le sol au profit de l’exploitant !
Applaudissant à tout rompre, la masse se trémousse, affiche des tronches réjouies, lance des hourras jusqu’à l’aphonie ! Criera des On a gagné jusqu'à se déchirer le gosier !
Fera des dons, comme si elle n’était pas assez dépouillée, parce que la toute nouvelle campagne a besoin de fonds, d’un soutien indéfectible, si on veut que « ça change vraiment » !
Par ailleurs, plus nous sommes distraits, moins nous avons de fonds, et plus aucune autonomie pour finir le mois. Par ici les agios !
C’est cela le « confort » d’une paralysie volontaire. Le peu d’argent que la banque autorise en découvert, on l’investit dans l’achat de papier hygiénique, à cause d'une menace de pénurie !
Pauvres, mais les fesses propres !

PS Le blog Lezarceleur a été supprimé par Google sans aucune explication. La démocratie a ses caprices. Pas moyen de discuter, d'expliquer que la plateforme se nourrit majoritairement de traductions et de partage. Cela emmerde le Prince et ça suffit ! Circulez, il n'y a rien à voir !

Sous l'Casque d'Erby 


mardi 20 mai 2025

Halte ou encore ?

Source

En Roumanie, le candidat de l’ordre mondial (proeuropéen) finit par l’emporter devant le candidat « souverainiste ». Le spectre d’une extrême droite utilitaire abondamment exploité s’avérerait plus efficace que le danger totalitaire déjà à l’œuvre partout en Europe ? Ou bien s’agit-il, encore une fois, de trucage électoral, une chose expliquant l’autre ?
Le corps politique est dévoré par la nécrose et aucune thérapie n’est, en l’état actuel des choses, assez efficace pour arrêter l’hémorragie. Même l’imputation partielle d'un membre ne semble pas pouvoir y venir à bout.
Dieudonné, Soral, Jovanovic, Branco, Fourtillan plus tôt, pour ses déclarations dans le film Hold-up sur la manipulation covidienne… Tous estampillés « faibles d’esprit » ou extrémistes de droite ! 
Certains, sans faire de bruit, prennent le chemin de l’exil. Baissent-ils les bras ? Qui sera le prochain à se faire « rafler » à l’heure où la ville dort ?
Ne prenez pas ceci pour du délire complotiste, l’affaire est plus grave qu’on ne l’imagine ! Cela me rappelle ce poème qui date, mais toujours actuel, où tout est posé, comme on creuse les fondations d’un monument funéraire. Cette chose qui nous concerne tous, mais à laquelle, pour de multiples raisons, personne n’ose imaginer le retour.
Ce petit poème a été jeté dans les courants pour que l’on se souvienne, comme un cri contre l’horreur. Petit texte, si chargé de conséquences, si électrique, que l’on lit la chair à vif chaque fois qu’un danger se profile pour l’oublier aussitôt, tant cela paraît impossible !
Un poème si violent. Si cruel, qu’on le lit comme on regarde un film d’épouvante en grignotant du corn-flake, les fesses bien calées dans son fauteuil, un frisson rassurant nous parcourant l’échine ! 
Poème qui retrouve aujourd’hui les couleurs sombres qui l’ont motivé, le voici, aussi actuel qu’auparavant :

Lorsque les nazis sont venus chercher les communistes, 
je n’ai rien dit, 
je n’étais pas communiste. 
Lorsqu’ils ont enfermé les sociaux-démocrates, 
je n’ai rien dit, 
je n’étais pas social-démocrate. 
Lorsqu’ils sont venus chercher les syndicalistes, 
je n’ai rien dit, 
je n’étais pas syndicaliste. 
Lorsqu’ils sont venus me chercher, 
il ne restait plus personne 
pour protester. 
  
Martin Niemöller, poème écrit en 1942.
 
Sous l’Casque d’Erby 


dimanche 18 mai 2025

Maman, c’est quoi un facho ?


L’esprit de résistance d’un pays en souffrance monte. Avec lui sont arrivés les contre-feux imaginés dans les officines et répercutés dans toutes les salles de rédaction d’une presse à l’agonie, perfusée avec l’argent public, avant d’échouer dans des oreilles polluées par des croyances absconses. Les petites mains du pouvoir font le reste, dans la rue comme dans les débats publics, en échange de misérables avantages.
De même qu’une escouade d’extrême gauche dans la rue ne fait pas une révolution sociale, un groupuscule d’allumés, photographié en plan serré pour grossir l’effet, arborant des drapeaux à l’emblème d’Occident, ne préfigure pas l’avènement du nazisme. Pourquoi ? Parce que le nazisme est déjà au pouvoir en Europe. Subsidiairement, ces groupuscules, téléguidés par les services de l’État, servent les intérêts des véritables agitateurs, ceux qui tiennent le palpitant du système sous divers déguisements, qui pondent des lois, imposent des directives, inventent des catastrophes sanitaires pour soumettre le monde à ce nazisme qu'on chérit en silence.
C'est à peine si ces nostalgiques 2.0 se retiennent d’exulter, tant la chose leur paraît enfin réalisable !
La question qu'une «  gauche  » traumatique aux militants manipulés – vivant la « souffrance de l’histoire » par procuration – doit se poser est celle-ci : le nazisme a-t-il seulement quitté le pouvoir depuis la défaite de 1945 ? 
La réponse étant avérée, à quoi servent ces cris d’orfraie, ces moulinets anti-fachos et ces votes « salvateurs » à chaque mouvement électoral sinon à cacher la poussière sous le tapis ? 
Dans son soutien à l’Ukraine de Zelensky et son obstination à poursuivre une guerre contre la Russie, d'ores et déjà perdue, l'UE ne fait que corroborer le fait que son objectif final est bel et bien la dévitalisation du continent par la guerre, quoiqu'il en coûte aux peuples. Le prétexte démocratique n’est que le marronnier !
L’histoire ne nous enseigne-t-elle pas que tous les totalitarismes, de l’Italie mussolinienne à Hitler, de Staline à Mao, j’en oublie, ont pour dénominateur commun l’appellation « socialiste » » ? 
Qu’il est étrange que ce qui nous est vendu comme le bonheur universel cache une si épouvantable escroquerie ! 
Le plan, d'une simplicité enfantine, est de niveler les peuples par le bas. Convaincre celui qui est socialement au plus mal qu'il est l'homme le plus fortuné et élevé au monde ! Empêchant par le fait l'apparition de citoyens intelligents, se posant les bonnes questions et trouvant le chemin du bon sens perdu, car plus l'individu se cultive, plus il est difficile à duper. D'où une société qui remplace les librairies par des boutiques de fringues, des opérateurs téléphoniques et une culture de supérette. 
Dans sa politique migratoire, qui ne cache plus la fin des pays souverains, l’UE annonce sans le dire le « grand remplacement ». Le pousse-toi que je m’y mette pour créer et développer le chaos avec une « espèce » nouvelle d’individus, plus corvéable, parce que totalement abrutie ! 

Sous l’Casque d’Erby


mercredi 14 mai 2025

Tellement paumés que s'en devient dément !

Penser, dire, écrire, partager relève presque d'une conversation d'asile, où chacun ânonne, gesticule, vomit sa part d'irréalité en guise de vérité. Tout est fait pour que le quotidien soit un centre d'échange pour aliénés !
Du mutisme au hurlement, le point de bascule glissant de la raison à la folie n'a plus de frontière, sauf peut-être celle de la barbarie par la désolation. En un tournemain, on travestit le réel ou ce que nous prenons pour tel. Ce qui, l'instant d'avant, était une habitude ancestrale ayant fait ses preuves devient la chose proscrite et vous le coupable d'un délit dont on ignore la raison.
Ces portes qu'on enfonce à coups de bélier. Ces jeunes et ces vieux qu'on extirpe de leurs véhicules, qu'on envoie de force à l'abattoir du côté de l'Ukraine, avec l'aval d'un non-élu et d'une UE sous acide, révèlent un totalitarisme qui ne cache plus ses intentions, sauf aux yeux de ceux que la lâcheté et la bêtise rendent aveugle ! 
Des images de dirigeants de nations souveraines attablés pour tirer des lignes, tentant de cacher le sachet de la honte devant la caméra, révèlent un esprit hautement voyou ! Des images qui circulent en jet continu sur les réseaux sociaux brisant d'un coup le narratif d'un pouvoir en perdition.
Paniqué par l'ampleur du scandale, l’Élysée tente de se défendre en arguant qu'il s'agit d'un montage et d'un complot de l'extrême droite ! Comme si nous n'avions pas affaire à des multirécidivistes pris la main dans le sachet !
En tout état de cause, ce ne sont pas eux qui feront la guerre, car ce qui les intéresse, c'est l'orgie mégalomane que le pouvoir procure. Cette ivresse permanente, cette puissance qu'ils pensent tenir des dieux, qui conduisent les peuples à la mort et à la ruine.
Combien de morts a fait cette « opération spéciale » que l'Otan, le gouvernement Biden et notre « chère » UE ont fomenté de longue date ?
Ne me dites pas que poser une telle question est aussi un complot de l'extrême droite ! Je pense aux morts des deux côtés. Autant qu'à tous les pulvérisés dans la bande de Gaza. Il n'existe pas de « bons » et de « mauvais » morts. Il n'y a que des mauvais dirigeants ! Il ne reste sur les monceaux de cadavres que la honte d'avoir fait du monde un enfer !
Pendant que les peuples dorment se faisant allègrement dépouiller, notre France cache sa misérable ruine sous les tapis. Les services de police rendent visite (ce sont les ordres !) aux résistants un peu trop entreprenants, histoire de rappeler qui tient la poêle par le manche. 
Nous ne sommes pas encore aux rafles, mais à l'allure où vont les choses, le penser n'a rien d'excessif ! Sous prétexte de les protéger d'eux-mêmes, on fait des descentes chez qui pratique le poil à gratter. Dernier cas en date : Pierre Jovanovic à qui les forces de l’ordre, GIPN, BAC, commissaires, pompiers, agents de la préfecture… sont allées rendre une visite de courtoisie au cœur de la nuit, pour lui sauver les fesses, ont-ils dit !
La réalité serait d'empêcher la publication de son prochain livre qui, justement, gratte là où ça pique !

Sous l'Casque d'Erby 


mardi 6 mai 2025

Notes contre l'oubli

Le chaos psychologique dans lequel « nos » dirigeants occidentaux ont plongé les peuples est tout sauf fortuit. Un scénario écrit et mis en scène par des experts en chantage et manipulation dans les sous-sols du pouvoir profond.  Ne riez pas, c'est sérieux. Il s'en trouve encore des esprits corrompus par la propagande qui demandent des preuves ! Non seulement ils ne foutent pas une ramée pour s'ouvrir les mirettes, en plus il faut leur donner la becquée. Et même comme ça, pas sûr que ça ouvre correctement les écoutilles !
Le but de cet acte de guerre contre les peuples déclenché en 2020 : amener les individus à accepter une dictature mondiale par consentement mutuel. L'OMS et son auxiliaire, l'UE, distillant consignes et directives, prélevant et distribuant l'argent public par milliards à des gangsters et à des escrocs sous les yeux d'une opinion sonnée par l'épouvante.
Les cadavres imaginaires s'amoncelant dans les salles de rédaction comme si nous assistions au retour de la peste bubonique puissance mille ! 
BigPharma et ses brigades de la terreur, grassement rétribuées, colonisaient les plateaux télé pour alimenter en charbon les locomotives de l'horreur. En moins de temps qu'il ne faut pour remplir les coffres, des vaccins sortaient des chapeaux en un délai record, pour une série de ponctions qui, à défaut de nous sauver d'un virus fabriqué de toute pièce, remplirait les poches des concepteurs développant une flopée d'effets secondaires, tous attribués à la pugnacité du pangolin !
Un train de mesures, sorti des brumes maléfiques d'esprits dérangés, poussait les peuples vers l'abîme et les élites vers ce monde idéal, dont elles ont tant rêvé, enfin débarrassé de ses encombrants !
N'ont-elles pas ouvertement annoncé la nécessité d'éradiquer le surplus d'humains, la planète devenant trop petite pour tous ?
Klaus Schwab, pour le forum mondial de Davos ; Bill Gates, Fauci, etc. pour BigPharma ; Tedros Adhanom Ghebreyesus pour l'OMS ; la galaxie Soros pour le « pacte migratoire » ; Ursula von der Leyen pour l'UE, composent l’état-major de cette conspiration à échelle mondiale. À la suite, l'ensemble des classes politiques, qui, par pression, par chantage ou par pure corruption, toutes tendances confondues, ont tout fait pour hisser un citoyen sous influence du statut de clampin ordinaire à celui de super-clampin !
Port obligatoire du masque, confinement, distanciation sociale, rien ne lui a été épargné. Comme aux heures sombres du nazisme, les villes sont devenues des déserts et les sirènes hurlantes des ambulances vides traversant la nuit déserte, maintenant la population dans une terreur et un stress permanents. Pourtant, les hôpitaux n'affichaient pas une affluence inhabituelle et les pompes funèbres ne croulaient pas sous la mise en bière !
La question demeurant : où sont passés tous ces morts ? 
Et gare à ceux qui mettaient en doute la « parole sacrée » ! Honnis ! Poussés dans les cordes par des journalistes et des consultants hystériques, salis, ostracisés, licenciés de leur travail et donnés en pâture aux lâches et aux collabos, tenant bon sous le mauvais vent du totalitarisme, passant de citoyens sceptiques à citoyens résistants, voire des fachos, sans autre récompense que l'honneur des braves et le mépris des soumis.
Qu'en est-il cinq ans plus tard, au moment où se multiplient les procès contre des responsables de cet homicide collectif et les effets secondaires avérés d'un vaccin génique néfaste ?
Il nous reste l'espoir d'un Nuremberg 2 et la condamnation des coupables afin de retrouver un peu de la dignité perdue !

Sous l'Casque d'Erby 


jeudi 1 mai 2025

En mai, fais ce qu'il te plaît !

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Je déteste les célébrations !  Le tintouin m'agace. Tout pareil que pour le rituel des adieux. Ce qu'il y a d'acceptable, quand cela se passe dans une gare, c'est le train qui fait le boulot. L'heure, c'est l'heure !
Tout jeunot déjà, quand j'écoutais les grandes personnes, viocs, assoupis, prosternés, se livrant au salamalec, à l'église ou dans les lieux publics, cela m'ennuyait déjà très fortement.
Plus tard, ayant intégré certaines règles, acquises à coups de férule ou de déception, voyant les gars de ma génération reproduire le même copier-coller, ça faisait déborder la boîte à rouscailler que c'était misère.
Pour un n'importe quoi, forcément injuste, célébration ! De la mort du bébé phoque à la mue de l'aiglon ; du piaf le plus insignifiant, phagocyté par son prédateur naturel, au hanneton maltraité par les coupeurs de buzuc, célébration !
Fidèles au rendez-vous de la pleurniche, mes amis font dans le déploiement massif de bannières. On se croirait dans une version pauvre d'un film de Kurosawa ! 
« Pour lutter contre l'oubli » et pour quelques revendications ponctuelles. En souvenir des clampins de tous les continents, défalqués pour nourrir grassement les gangsters qui gouvernent le monde depuis la nuit des temps. Avant, pendant et longtemps après les grèves sanglantes du mois de mai 1886 à Haymarket Square, Chicago, on n'oublie pas le sang versé, avec ou sans tapage.
Comment oublier que la racine sous les arpions, ce n'est pas du muguet  ? Bien que, à bien y réfléchir, l'offrande du muguet le 1ᵉʳ mai remonte à Charles IX
La kermesse m'a toujours été pénible lorsque j'y participais dans une autre vie. Conception de banderoles, slogans usinés à la diable, deux ou trois hymnes hurlés dans une sono tuberculeuse sur le « mal que l'on nous fait », le ramassage du matos en fin de cortège et à la revoyure ! Chacun vantant le produit dérivé de sa chapelle, probablement fabriqué par des mains chinoises ou indiennes. 
Finalement, sans concertation formelle, attendant les mots d'ordre des instances supérieures, date est prise pour le prochain lâcher de salive, sans plus de précision ! Assurément, un massacre perpétré par le haut gratin au nom d'une idéologie mondialiste plus génocidaire que jamais !
Tant d'atrocités à commémorer qu'on en perd le fil à force de banalisation.
1ᵉʳ mai ou pas, les célébrations, c'est gonflant ! Cela dit, je suis bien d'accord : les salauds, les escrocs, les criminels, il faut faire un pack, bien lester le tout et les envoyer par le fond !
Ce jour-là, j'y serai !

Sous l'Casque d'Erby 

mardi 29 avril 2025

Silence, on coupe !

Les étoiles sont lointaines au regard qui cherche à les saisir. Tout comme leur mystère.
Nous sommes ces cubes de glace longuement exposés à des chaleurs extrêmes. Celle-ci générant ce mirage qui interfère entre regard et horizon, donnant des hallucinations merveilleuses que la réalité dément cruellement.
Nous sommes, par la volonté de la propagande de quelques malfaiteurs occultes, focalisés sur tel ou tel sujet planétaire, que l'on nous somme d'aimer ou de détester. De proscrire untel ou untel de nos carnets d'adresses, même si vous en ignorez la raison. On nous dit de le faire et cela suffit. Aucune importance si les personnes ciblées ne font que défendre leur pays, leurs frontières et les valeurs qui s'y rattachent. Tout ce que nous souhaitons que nos dirigeants politiques mettent en œuvre dans notre pays et ce qu'ils ne font pas.
Nous vivons cela à chaque palier de notre interminable dégringolade. Est-ce par distraction, par paresse, ou pire encore, que l'on coule le bateau qui nous porte des rives de l'ignorance à celles du savoir ?
Ainsi de ces coupures d'électricité « monstres » survenues en Espagne et au Portugal, prélude de ce qui nous attend prochainement.
Un accident ? Mon œil ! Comme pour l'opération Covid et son arsenal de contraintes, tout cela est planifié pour nous faire accepter ce que nous n'accepterions pas sans l'adjuvant de la terreur.
Pas d'électricité, pas de consommation ! Allez, à l'heure du tout digital, présenter votre carte de crédit pour régler vos achats de nourriture ? Désolé, mais sans électricité...
Tout est en place pour vous faire accepter l'idée que tout cela est la faute de Poutine et qu'il nous faut consentir un effort de guerre supplémentaire pour armer l'Europe contre un agresseur imaginaire !
Tout détruire pour tout reconstruire — et revoici les Trente glorieuses —, c'est la leçon économique que nous donnent ces artistes du crime !
Cela fut le cas à chacune des grandes conflagrations mondiales et cela continue ! Les faiseurs d'agendas mondialistes, ces transfuges d'un autre temps, rescapés du nazisme, rêvent d'une revanche et sont sur le point de l'obtenir dans une Europe chloroformée par une propagande vénéneuse !
Tout est orchestré pour nous faire oublier nos responsabilités devant les égarements du présent. L'ennemi n'est pas celui qu'on nous désigne, mais celui qui nous montre qui nous devons aimer ou haïr. Celui qui présente le coupable idéal pour qu'on oublie ses propres crimes.
S'envoyer par le fond pour préserver son confort est tout sauf clairvoyant. C'est faire abstraction de notre vie et de celle des générations futures. Pire encore : faire diversion avec des idées bancales, pointant des index accusateurs en direction d'un danger imaginaire, c'est s'assurer le naufrage !
N'existerions-nous qu'au ralenti, comme l'affirmait sans empathie Céline dans « Bagatelles pour un massacre » ? N'utilisant que 3 à 5 milliards de globules au lieu des sept dont nous sommes pourvus ! Vivant en « larves inquiètes », dans une « cuve d'asphyxie » au cimetière de nos vies ?
J'ose espérer que non !

PS. On s'apprête à fêter le 1er mai. Et si, au lieu de célébrer les défaites du passé, nous faisions en sorte de gagner la guerre qui vient ? 

Sous l'Casque d'Erby