dimanche 22 janvier 2017

Kakastrouphe !

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Aux Amériques, le Père Donald, les mains sur les deux bibles, a signé son bail sous l’œil inquisiteur de la C.I.A. à qui il jure fidélité à « mille pour cent » ! A cent pour cent, ça suffira !
A l’intérieur comme à l’extérieur, les Clintonmaniaks ne lâchent pas prise, multipliant les campagnes de diabolisation contre ce champion de la bagatelle que les électeurs d’une Amérique méprisée par les élites ont porté au pouvoir. Kakastrouphe !
Rien de nouveau sous le « soleil de Satan », puisque tel que ce monde a été configuré par le gratin, aucun Etat n’a besoin d’un chef pour le diriger, mais d’un bon figurant sur lequel la bienpensance focalise sa grande frustration. Manipulation grossière ! Faire campagne contre le très grossier Donald Trump, sous prétexte « féministe », comme cela s’organise un peu partout dans le monde, c’est cautionner la très hystérique Hillary Clinton à l’équilibre mental plus qu’inquiétant. C’est comme si on nous donnait à choisir entre la peste ou le choléra !
Ni l’un ni l’autre !
Épiphénomène hexagonal en ce dimanche de grâce : jour de vote en terre solférinienne pour désigner les deux premiers candidats de la primaire qui auront le droit de disputer un quatrième débat avant proclamation du vainqueur par le biais d’un nouveau vote. Vous avez suivi ? Aucune importance. Vu le charisme de bigorneau des postulants autant profiter du beau ciel pour aller s’oxygéner sur le bord de la grève en fredonnant un bon chant marin aux accents prémonitoires :
Loguivy de la mer, Loguivy de la mer
Tu regardes mourir, les derniers vrais marins
Loguivy de la mer, au fond de ton vieux port
S'entassent les carcasses des bateaux déjà morts.     


Sous l'Casque d'Erby


13 commentaires:

  1. Le bonjour aux caillardeuses et aux caillouteux. Un temps magnifique !

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    1. profite bien du soleil pour gommer les troubles environnants

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    2. Je reviens pile de Plougrescant. Superbe temps ! Des couleurs magiques.

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  2. Arphhuuuuuu ! Vivent les caphys, les caillassous, les enragés laineux et autres ruminants rhuminés....

    Sous le ciel où dansent trois nuages,
    La mer bat comme un cœur cadencé.
    Elle semble ainsi se balancer
    De Marseille à l’incertain rivage

    Du Couchant à l’azur enflammé.
    La mer bat telle une grosse artère
    Engorgée du sang roux de la Terre…
    L’astre-roi est un lion affamé

    Dont les crocs aiguisés dilacèrent
    Le ciel bleu accablant de l’été.
    Tout là-bas, l’horizon est flouté,
    Avec des rais d’argent qui éclairent

    La tour ronde imprécise d’un phare
    Insensible aux gifles de la mer
    Qui se mêle intimement à l’air
    Pour lui faire larguer ses amarres.

    La mer bat comme une grosse caisse
    Pulsant fort sous les horions du vent,
    Gigantesque et tout aussi vivant
    Que les flots qui montent, qui s’abaissent.

    Le ciel bleu peu à peu s’obscurcit ;
    L’eau foncée maintenant semble épaisse
    Comme la lave brune que laisse
    Les volcans dans ces lointains pays

    Où nues et mer semblent se confondre.
    Le ciel fond, le vent crie, la mer bat.
    Monstrueux ils mêlent leurs ébats
    Au-dessus d’un monde qui s’effondre.

    (Vette de Fonclare)

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  3. Charisme de bigorneau...c'est tellement vrai !
    Je préfère me regarder quelques épisodes de Profilage en mangeant du chocolat "noisettes et cacahuètes" redoutable !
    Bisous les caillouteuses et teux
    ¸¸.•*¨*• ☆

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    1. Le chocolat il faut savoir l'arrêter, mais ça, c'est de l'utopie !

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    2. J'arrêterai après ma mort.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    3. Combien de temps après, Célestine ? Deux cent mille ans ?

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  4. Selon l'ami Rémi que je viens d'avoir au bout de la gaffe, il y aurait un problème de "robot" dans le bloc commentaires pour commenter les articles. Est-ce votre cas, les amis ?

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    1. Pour ma part, je n'ai pas remarqué, ami Rodo.... (pas robot)

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