lundi 3 novembre 2014

Dépopulation 2

Tempête 

Avec tous les humains, nous nous avons des réflexions communes et des points de désaccord... Confronter nos connaissances et nos philosophies avec les autres en toute égalité nous permet de nous enrichir et sûrement d’avancer pour nous libérer des chaines actuelles.
La diabolisation des uns par les autres à l’intérieur du peuples ne sert que les personnages qui nous gouvernent vraiment et qui eux n’hésitent pas à se comporter en véritables Nazis suivant leurs besoins. Ils décident quel peuple doit vivre ou mourir, comment nous gouverner, comment nous manipuler pour que l’on pense, mange, aime, travaille comme des esclaves à leurs services. Je ne parle pas des gouvernements d’États qui ne sont que les garde-chiourmes du zoo dans lequel nous vivons et votons pour croire que nous avons un pouvoir de décision. Nos chefs sont aux ordres des individus qui ont financé leurs campagne, droite et gauche confondues, comme sont financés les médias patentés. Tout ce petit monde déverse sciemment des terreurs sur ce que nous sommes et donc sur ce que les autres pourraient être. La confiance en nos atouts est détruite en partie grâce à l’éducation nationale et autres joyeuseries, télé, jeux, pub, afin de remplir les têtes de ce qui doit être su pour ne plus se poser de questions. Vivre dans la hiérarchie, la soumission, la compétitivité et une idée détournée profonde sur la vie et sur l’histoire qui s’imprime par coeur dans nos têtes de génération en génération. Je ne crois pas aux méchants contre les gentils. Je crois à la manipulation de certains sur les autres et je crois aux malades si torturés qu’ils veulent torturer les autres en partage. Nous fonctionnons sur nos repères. Comme le raconte Firioli et d’autres. Certains grands malades sont élevés dans un milieu convaincu de leur supériorité depuis des générations, grâce au pouvoir, aux religions, au fric qui leur donne un sentiment de puissances indestructible. Ils détestent la populasse et grâce à leur pouvoir ils décident de notre sort.
Je crois à notre grande fragilité. Or c’est cette fragilité qui peut se transformer en force colossale en yin ou en yang. Pour moi c’est le monde du sensible. Même le plus virulent anarchiste, dont je me revendique aussi, bouffe la merde de Monsanto, boit l’eau ou le pinard frelaté, prennent des médicaments trafiqués. Reçoivent le minimum RSA ou s’acquitte de plus en plus d'impôts... Ils sont tributaires du système et donc des catastrophes, programmées ou pas. Le nucléaire que l’on ne peut plus désinstaller, l’eau de source imbuvable, l’air pollué…etc. J’entends d’ici revendiquer certains qui luttent, cultivent leur nourriture, manifestent pour de bonnes causes. J’ai poules, canards et permaculture. Tout cela est libre et cela fait chier les voisins, mais je pense que ce n’est pas suffisant. Des drones survolent...
Il n’est pas question d’avoir peur, car la peur ne sert personne. Il est question de comprendre comment cela fonctionne et donc qu’est-ce qui est programmé concernant notre sort. Ensuite nous pourrons continuer à lutter pour notre liberté en tout état de cause pour ne pas tirer sur un frère pour se défouler. Il nous faut redevenir maitre de nos atouts et pour ce faire être clairvoyants.
Les passionnés d’histoire  constatent clairement que toute les aventures passées ne se sont construite que sur les complots, qu’il soit politique, religieux, marchand , même l’amour a servit souvent de stratégie. De même les vieux récits historiques ne rapporte pas les faits exacts. La plupart on été écrits au seizième siècle par des curés ou autres personnes qui idéalisait sciemment les personnages. La diabolisation du complot à été installée après la mort de Kennedy pour justement effacer le complot. Il faut donc être bien endoctriné pour penser encore que tout ce qui ce qui se passe est comme on nous le raconte à travers les médias. Il faut être bien assujetti pour croire que l’on nous veut du bien. Ce qu’ils veulent c’est remplir encore  leurs portefeuilles et celui de  leurs familles. Ils ne pourrons s’arrêter seuls de nous exploiter et de détruire les droits de l’homme si nous nous laissons faire. Notre espace de liberté se réduit comme peau de chagrin et ce jusqu’à notre disparition. L’Afrique en est l’ exemple, l’Irak, l’Afghanistan, la Libye, la Syrie, la Palestine. L’Ukraine aussi. L’Europe s’émiette sous la même dette que l’Afrique des décennies plus tôt. Nous resterons dans leur parc tant qu’ils auront besoin de nous… Or qu’en est-il de la santé de ce parc ? Que croyez vous qu’ils ont décidé ?... 






Sous l'casque d'Erby

 

10 commentaires:

  1. Bonjour les caillasseux. Ben voilà qui est fait : Martine enfonce le clou, de belle manière.
    En faisant mon petit tour matinal (et puisque la chose est tombée dans ma caisse mail sans crier gare), j'apprends le décès d'André Blanchard, dont j'ignorais qu'il avait existé... J'ai lu quelques extraits de son travail, cités par "Mauvaise Nouvelle" et les choses ne devraient pas en rester là, puisque de ce pas je me mets en quête de ses ouvrages...
    De son vivant, André Blanchard était gardien d'une galerie d'art à Vesoul et s'adonnait à l'écriture de journaux personnels, un genre littéraire que j'apprécie et dans lesquels il passait à la moulinette le conformisme de son époque.
    Sur l'art contemporain :
    « Arrivent à la galerie pas mal de cartons qui sont invitations à des vernissages ; ça vient de tout le grand Est, via des institutions redoutables comme les F.R.A.C. Là se niche la crème de l'art contemporain dans toute sa panoplie de petit terroriste : installations, vidéomachins, peintures conceptuelles. C'est instructif, à rebours : perdre nos repères, voilà à quoi on nous convie ; ça facilite pour recruter les nigauds. Du moins cela permet-il de percer à jour ce qui assoit cet art, c'est-à-dire la peur. Le public a peur de passer pour ridicule, et stupide, et vieux jeu s'il manifestait son incompréhension. Donc il se tait.
    C'est tout ce que demande cet art ; et, à la limite, peu lui chaut de n'avoir aucun public. Ne lui laisse-t-il pas comprendre qu'on n'est pas du même monde ? »
    Sur la meilleure manière de s'informer et de se tenir éveillé, sans avoir peur d'être contaminé, puisqu'il se sentait libre, ce qui caractérise le contenu des papiers de Martine dans son insatiable curiosité, il ne se montrait gère plus indulgent à l'égard de ses contemporains :
    « La plupart choisissent comme journal celui où ils peuvent lire ce qu'ils pensent. C'est de la paresse, qui rassure. Il faut aller vers le journal qui est à l'opposé de nos opinions, afin d ‘asticoter celles-ci(…) » Il déteste les donneurs de leçons « (…), c'est bien une posture de privilégiés, pour qui les fins de mois ne sont jamais à l'arraché, de s'étonner et se scandaliser que des gens qui vivent mal votent mal. »
    Mort de l’écrivain André Blanchard

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  2. Beau billet de Martine !! Qui fait suite au précédent...

    Je ne peux que la rejoindre, mais vis à vis des théories du complot, perso, je n'ai pas encore d'opinions bien tranchées... Je ne sais que penser, par contre je ne rejoins guère Dieudonné et compagnie.

    Il y a quelques années, j'avais lu un petit ouvrage de Pierre-André Taguieff (L'Imaginaire du complot mondial. Aspects d'un mythe moderne, Paris, Mille et une nuits, 2007), assez éclairant. Je m'en remets à ses idées pour le moment...

    Bonne semaine à toutes et tous !

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    1. Je n’ai pas écris depuis longtemps. J’ai eu accès à tant d’informations que je me savais laquelle traiter. J’y reviendrais pour les curieux. Pas sur le complot qui n’est à mon avis que le moteur. Moteur qui éclaire bien des questions que l’on se pose , à savoir pourquoi tant d’ aberrations, de destructions, de violences , pourquoi tant de choses simples cachés. Pourquoi empêche t’on l’être humain et la terre de vivre ??? Et pourquoi nous laissons faire?
      Il y a cinq ans, cependant que j’étais entrain de me relancer dans l’art et que j’ai fait des pieds et mains durant deux années pour trouver des endroits convenables pour exposer, j’ai découvert et compris que l’art dit « contemporain » était totalitaire. Il me fallait donc trouver pourquoi car pour ma famille et moi exposer était une question de survit. La réponse, je l’ai trouvé dans «  La stratégie du choc » de Naomi Klein. C’est un essai , une enquête menée par huit journalistes dont elle même sur des témoignages. et documents extrêmement fouillé dans le temps. C’est un gros pavé, c’est dure à avaler tant cela parfait impossible quand on est installé dans l’idée que nos systèmes s’occupe bien de nous . Je l’ai dévoré. Ce fut un choc intellectuelle, un virage quand à mes recherches. Ma visions des choses, s’éclaira dans le sens ou enfin je comprenais les aberrations de ce monde. Comme tu le sais j’ai grandit en Afrique et je me demandais pourquoi mes frères et soeurs d’Afrique de l’ouest étaient enfermés sous une telle chape. Tous s’éclairait alors après la lecture de ce livre.
      Je ne cherche à convaincre personne, juste à échanger pour confronter les idées. Merci pour ton commentaire.

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    2. bien d'accord avec ton avis sur le bel effort de Martine vers la lucidité, ce qui ne peut se faire qu'en échanges amicaux (vifs, parfois) et lectures très diverses... en plus du sinueux vécu individuel si instructif...

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    3. Nos réponses à Chris, Martine, ont été envoyées strictement en même temps ! Je n'ai donc lu ton long commentaire ci-dessus qu'après ma courte réponse à Chris...
      Tu nous avais depuis longtemps recommandé "la stratégie du choc" de Naomi Klein et j'ai ce bouquin : Je ne l'ai lu qu'en fragments, parfois "picorés au hasard", tellement c'est un pavé, comme tu dis...

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    4. Bien d’accord avec toi Rémi. La seul intelligence c’est l’échange...C’est Frédéric Lordon je crois qui disait que l’on était comme des feuilles de papiers pliées en fonction du vécu, à chacun ses plies et c’est ce qui fait nos formes si diverses et riches. Les artistes les dessinent. Encore faut il qu’on les laisse montrer toutes ses diversités. Ainsi certains affirment que l’art est mort ????? C’est qu’il ne veulent pas voir sous la chape totalitaire qui leur ferment les yeux. Chape dans laquelle on ne montre que des papiers lises sans sons. Cet art contemporain est bien représentatif de ce que l’on veut nous faire croire que nous sommes. Des riens !!!!!

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    5. Nous avons encore écris en même temps, oui il est difficile à avaler, mais il mérite la lecture complète. Non pas qu’on s’y ennuis mais il y a la dedans tant de révélations qui font en vérité mal à nos plies dont je parlais tout à l’heures. Par ce que se déplier pour se replier demande un gros effort que l’on a pas forcement envie de subir.

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  3. Whaouuu!
    http://www.wikistrike.com/2014/11/une-premiere-en-europe-podemos-premier-parti-anti-systeme-en-tete-des-intentions-de-vote-en-espagne.html

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    1. Whaouuuuuuuuuu! Podemos Si !... Qu'en penses notre ibéricobreton le diazec?

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  4. Et bien, Rémi, je ne pense que du bien. Étant originaire d'un pays à forte vocation anarchiste, je ne suis pas surpris par ce mouvement de colère légitime. J'y émettrai quand même un petit bémol, plein de perfidie, c'est dans ma nature. L'Espagne est à genou, la classe politique totalement discréditée, plus aucun crédit à aucun étage. Courant la mendicité, le peuple est à la rue... Que reste-t-il ? Le désespoir ! Devant la faillite politique, à l'approche d'élections qui n'intéressent plus personne, les médias, toujours disponibles quand le pouvoir va mal, balancent des sondages tous azimuts, présentant "Podemos" comme une force capable de tout renverser sur son passage, avec un seul objectif : mobiliser l'opinion publique pour redorer le blason d'une classe politique totalement corrompue.
    Voilà pour l'heure mon premier sentiment. En souhaitant vivement me tromper !

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