mardi 1 juillet 2014

Fin du monde ? : NON, début !

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''Dieu fasse que l’Inde ne s’industrialise jamais sur le modèle occidental. L’impérialisme économique d’un seul et minuscule royaume insulaire (l’Angleterre) tient actuellement le monde dans ses chaînes. Si une nation comptant 300 millions d’habitants se lançait dans pareille exploitation économique, le monde serait ravagé comme par une invasion de criquets.'' -Gandhi. 86 ans plus tard, ce vœux prête hélas à très triste sourire aujourd'hui : l'Inde est peuplée d'environ un milliard d'habitants. Le ''minuscule royaume'' GB à laissé place aux USA, en pire. Pire du pire, il y a, outre sauvage industrialisation, féroce puissance capitaliste indienne, sur modèle anglo-saxon... et puissance nucléaire en prime !... Je n'ai pas la place ici de revenir sur le passé et présent de l'Inde ou celui de ce premier Empire anglo-saxon - évoqués en 1° partie de ''Géo-histoire-d'hier'', se terminant par cette citation. Mais les vœux ardents de Gandhi m'invitent à en refaire ce jour, dès mon titre. Tout faire pour que vie, humanité, aient libre avenir lumineux - au lieu de mourir avec DIEU-FRIC.

 *suicidaire-folie du productivisme-pognon*
Notamment depuis Gandhi, même bien avant, les bons ''lanceurs d'alertes'' de cette si féroce ''modernité-pour-gros-bénéfices-immédiats'' n'ont pas manqué. Dans tous domaines, philosophico-scientifique, climato-sanitaire, politico-militaire, socio-économique, moral et culturel : tous dans le vrai sens de l'écologie : ''Quelle Terre laissons-nous à nos enfants ? Et même : Quels enfants laissons-nous à la Terre : de futurs hommes, plus encore empoisonnés et aliénés que nous par ces fous-furieux de Dieu-Fric ?...'' Je ne pense pas du tout ici aux théories complotistes (Illuminati, plans de Sion, préparations au retour du Messie...). Mais à l'inouïe victoire mécanique du Capitalisme, mené par égoïstes aveugles. Obsédés des pouvoirs ''absolus''(?!) que donnerait le seul fric, amassé en vertigineux profits sur nous et sur Terre-Mère. Immense danger de mort subite !

Des penseurs de l'époque dite ''Siècle des Lumières'' parlaient du ''bon sauvage'', tel J.J. Rousseau. Et début 20°, un tel sauvage décrit à sa façon ce qu'il voit : ''ils courent après le temps depuis qu'ils l'enferment par deux aiguilles qui tournent stupidement dans un cercle d'acier... ils ont perdu le contact avec terre-mère depuis qu'ils emprisonnent leurs pieds dans des vêtements de cuir épais... ils s'emprisonnent dans de hauts empilements de cases en pierre à si rares fentes vitrées... ils s'emprisonnent presque complètement dans des vêtements asphyxiants pour la peau... leurs seules parures de peau sont des peintures rouges aux lèvres de leurs femmes enlaidies d'encombrants gros chapeaux, les hommes se coiffant d'uniformes tuyaux noirs ou gris, tristes et ridicules''. Tel est, en substance, ce que dit le sage Samoan Tuiavii, après visite de folle Europe peu avant le très-fou-furieux 1914-18 : propos publiés sous le titre LePapalagi, (rééd. Pocket). Car l'ethnologue Erich Scheurmann nota le récit qui fut fait, de retour au village Samoa. Il est possible, selon certains, qu'il s'agisse d'un faux. Il m'importe peu. Car c'est un réel reflet de la très haute conscience qu'ont eu certains ''sauvages'' face à bien pires sauvages qu'eux : nous !...

*D'aujourd'hui à demain*
Cela, s'était hier. J'ose loucher à entrevoir demain, ''au rythme où vont les choses aujourd'hui, Dam' Michu'', la pessimiste. Comme Bernard47 :''J’en suis venu, pour ma part, à attendre (espérer ?) l’effondrement façon J.Diamond. Nous n'en sortirons QU’APRES une bonne catastrophe. Et encore. Ça risque d’être pire. Personne ne lâchera son RSA, son SMIC, sa bagnole, sa télé. Une bonne rasade de faschos pendant x temps.'' Comme :"En considérant que l'âge du monde mesure une année, l'homme apparaît le 31 déc. à 21h, le sapiens à 23h46. En même pas un ¼ d'heure, il a tout foutu en l'air. C'est dire qu'il est nocif, décidément. Les plutoniens n'étaient pas plus cons que moi. Ils l'avaient compris tout de suite'.' -ArthurKeelt, alias Jean-Bernard Puy.
J'admets et respecte ce type de réflexion désabusée : suis, comme de plus en plus de monde (très certainement la majorité planétaire) inquiet de la trajectoire ''droit dans le précipice'' où le bulldozer Big Business va, prétendant nous emmener. Mais non. Il le PRÉTEND, rabâche sa prétention par propagandes (''infos objectives'' des médias-chiens-de-garde), par manipulations de guignols (ici  PS/UMP/FN, plus sous-guignols dont en Françafrique), et par démonstration de force militaire-terroriste... Mais non. Quand la brèche s'ouvre (Printemps Arabe...) et qu'elle est colmatée, c'est du provisoire. Elle s'ouvre mieux ailleurs (cf. l'actualité sociale brésilienne), Ailleurs et ailleurs encore:

Comme au Chiapas mexicain : là, depuis 20 ans, s'expérimente un autre type de zone de liberté. Une inventive évolution du maquis. Traditionnellement, il est résistance armée devenant guérilla et parvenant au pouvoir (Vietnam, Cuba, Algérie...) et plus souvent y échouant (Salvador, Nicaragua, Colombie et bien ailleurs). L'EZLN du Chiapas ne sombre pas au nacrotrafic. Ni refuse l'éventuel recours à la contre-violence. Mais pratique la non-violence, de fait. Passe, en gros, de Lénine à Gandhi, avec la même force révolutionnaire, mais meilleure intelligence stratégique de la lutte des classes d'aujourd'hui : contourner le mur faute de pouvoir le détruire, se faisant ainsi respecter : exemple mondial ?... Ailleurs, bien d'autres mouvements sociaux sont, de fait, dans cette mouvance influencée par l'expérience gandhienne (qui ''plia'' l'Empire GB!)... : ''Révolutions tranquilles'' partout !  OUI, partout avec astuces. Prenant courageusement, peu à peu, ses forces sociales pour arriver à faire, sur point faible de l'ennemi, quelque brèche dans le mur du Pouvoir. Il est localement très faible car très empêtré de ses contradictions – plus souci d'apparaître ''le sage pouvoir légal''...:

Le projet d'aéroport à Notre-Dame des Landes a du plomb dans l'aile, celle de l'avion big-business. Il n'est pas officiellement abandonné, certes, mais cela y ressemble en fait. La longue lutte n'est pas gagnée et la vigilance s'impose. Je ne peux en dire plus ici, sinon me réjouir avec vous d'une lutte de classes de plus de notre peuple, que l'on calomnie d'endormi. Lutte radicale comme  partout, désormais renforcée d'écologie-vraie (et ici du soutien formel d'EELV, le cul entre 2 chaises ?)... Voilà qui nous relie d'une part à une série de luttes depuis Mai 68-Lip-Larzac-Plogoff et j'en passe. Et aux luttes du si vaste monde qui, souvent minorées, toujours calomniées, avancent  pas-à-pas, radicales, si nombreuses qu'on ne peut les recenser. Citons au moins Marinaleda, en Andalousie...
En plus de ces brèches dans le mur du pouvoir, existent aussi de très utiles contournements du dit mur, par myriades. Il peut même s'agir d'échappée individuelle, cas de Snowden. Cet à peine trentenaire, informaticien, était déjà un ponte des services secrets US et a réussi à fuir, dégoûté du système immoral. Bravo, ses révélations apportent de l'eau au moulin du futur. Pour ''chacun dans son coin'', il y a tous les jours, à tout âge et partout, de telles ruptures radicales, entraînant parfois de bien grandes conséquences. Ainsi de Malala, toute jeune-fille pakistanaise à propos de la scolarité des filles, qui a obtenue un Prix Sakharov, entre autres. Qui surtout, au péril de sa vie, œuvre si bien pour la cause féminine. Et beaucoup, beaucoup de femmes œuvrent aussi, solidaires, que ce soit dans les usines textiles (ou autres) ou dans les champs, ainsi que dans la cité. Partout, Europe aussi ! Idem dans les milieux créatifs si divers : soignantes, pédagogues, artisanes, artistes, etc.,  libres !...

*Sobriété-volontaire & sage-décroissance*

Je n'ai ni place ni temps de développer ici ce thème qui m'est si cher, juste de conclure par ces pistes encourageantes. D'abord dur rappel : Après chaque ''cata-guerrière'', les peuples si souffrants sont privés de tout, pleurent et doivent tant bien que mal tout refaire, des infrastructures aux réseaux socio-économiques, sanitaires, culturels... Et maudissent ''la prochaine cata''. Aujourd'hui, enfin, nous, libres décroissants, on vous propose sagement de mieux vivre, ''sans cata''. De tout préparer pour l'éviter, même, sachant que ''la prochaine'' serait l'ultime. ''La guerre de l'eau'', dernière ressource du monde aux ressources épuisées par l'odieux Dieu-Fric. On se lance donc. Économie de proximité de troc, plus monnaie locale (sel, etc.) si besoin : ça marche ! On se lance gaiement dans n. ateliers-laboratoires écologistes-pour-de-bon, du futur. Par lucide sobriété-volontaire : ça marche !


Sous l'casque d'Erby



14 commentaires:

  1. Bien vu, sage globe-trotter. On continue, on fait de petits pas.Les luttes sont de plus en plus nombreuses, mais jamais médiatisées naturellement. Elles vont converger de tous les points de France et se réuniront vendredi pour apporter leur PLUS aux deux grands jours que seront samedi et dimanche, sur les terres symboliques de la ferme de Bellevue. Celle-ci fut sauvée l'an dernier de la démolition grâce au courage et à l'abnégation des paysans de la Bretagne tout entière.

    Est-ce un signe ? TF1 a semble-t-il projeté de consacrer un reportage à l'évènement. En tout cas, la Terre entière est conviée à venir participer aux forums, assister aux concerts, pendant que les enfants auront leurs animations. Pour ma part je serai à l'entrée 2, qui donne sur un chemin mythique ( Rem* va dresser l'oreille) : le Chemin de Suez. Là, en particulier, le Pouvoir n'hésita pas il y a presque deux ans à verser le sang des défenseurs (flashballs en tir tendu, grenades dites "de désencerclement" bien proches des OF que les anciens ont connues à l'armée, etc....).

    Le ciel s'éclaircit, debout les Pierres Sans Mousse !

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  2. Heureusement qu'il reste de la résistance, mais je ne suis pas aussi optimiste que toi Rem*. Je trouve qu'il n'y a pas assez de résistance ! Et pire, parfois, certains résistants qu'ils soient "consom'acteurs", militants ou autres, manquent à mon goût d'humanité. Ce qui me désole, c'est de percevoir parfois de l'hypocrisie, de l'égotisme ou de la vanité derrière un discours qui se voudrait "résistant"... Je dis ça en toute connaissance de cause car j'en ai vu passer des soi disant jeunes anar écolo à la ferme, carrément irrespectueux. Mais je cherche la petite bête et à te lire, je ressens toute ta sincérité et ton humanisme !
    Ps : je pense parfois comme Krishnamurti, pas de révolution sociale/sociétale sans révolution intérieure.
    Ps 2 : le lien vers J. Diamond ne fonctionne pas.

    Très belle journée à tous et que la création soit avec vous ! ;-)

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    1. Assez d'accord, Elly Chris, avec tes réserves. Je connais aussi de ces comportements irresponsables d'auto-proclamés écolo-anars et autres variantes, punks ou bien, pire, magouilleurs pour avoir quelque pouvoir (associations, syndicats, liste électorale municipale...).
      J'ai même, publiquement, dit à l'un de ces matamores "T'as que de la gueule!... tu fais rien que de t'occuper de ton nombril et de ton zizi"... alors qu'il m'avait flatté d'éloges sur mon bouquin (et j'ai découvert qu'il ne l'avait presque pas lu)...

      D'accord surtout sur la pensée de Krishnamurti (et tant d'autres, du genre !)... mais je connais aussi des perfectionnistes de "révolution intérieure" qui finissent par ne plus voir que leur nombril, en fait!...
      Dans le cadre de ce billet, je ne pouvais entrer dans ces considérations, pourtant réelles... Je sais surtout, que chacun-chacune, on est + ou - abîmés par le système en place ("Consommez...") mais qu'on s'entre-aide beaucoup, chaleureusement... et ça, c'est très positif, sous l'éclairage vibrant de l'Anarchie - qui est liberté dans " l'ordre moins le chef", dans la Justice Sociale...

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    2. Il est envisagé que mon fils Etienne (que tu as rencontré là en août dernier) m'emmène à NDDL le 6 juillet en fauteuil roulant tout-terrain!!

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    3. C'était une réponse à babelouest

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    4. Chouette ! Je te signale qu'il y a des dispositions entre autre de parking pour les personnes à mobilité réduite. Se renseigner en arrivant.

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  3. Tiens mon Rémichhhh, voilà Etienne Chouard qui est fort intéressant https://www.youtube.com/watch?v=7EhbGQUoy5o sur ce que tu appels le Dieu fric. Excellent le Papalagi...Je vous souhaite bon courage ce week end. Je serais de coeur avec vous !

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  4. Bel enthousiasme, que je salue. Merci donc pour ce billet, même si j'en désapprouve certaines évocations :
    "Aujourd'hui, enfin, nous, libres décroissants, on vous propose sagement de mieux vivre, ''sans cata''. De tout préparer pour l'éviter, même, sachant que ''la prochaine'' serait l'ultime. ''La guerre de l'eau'', dernière ressource du monde aux ressources épuisées par l'odieux Dieu-Fric. On se lance donc. Économie de proximité de troc, plus monnaie locale (sel, etc.) si besoin (...)"

    OK pour "préparer pour l'éviter", la "cata" promise et déjà bien engagée, que les forces de l'"Ordre" s'engagent à contenir - précisément parce qu'elles y seraient "entraînées" (et pour cause ! on les paye à cela !) -. Une alternative, donc, à cette militarisation programmée.
    Deux choses, cependant :
    1 - D'une part, il s'agit de comprendre pourquoi, l'argent continue de séduire - une séduction qui soutient son maintien en dépit de tout - : l'argent c'est le concentré de l'humanité. En tant qu'équivalent de tout, il permet d'accéder facilement à tout ce que l'humanité a produit de plus élégant, pratique, excitant, etc ..., mais sans ... l'humanité, c'est-à-dire sans ses inconvénients ! Il est l'idée de l'humanité, sans sa réalité ! ... c'est là tout son charme, car il faut bien le reconnaître : à bien des égards, l'humanité est une chieuse de la pire espèce, et les hommes n'ont eu souvent de cesse que de chercher à s'en éloigner le plus possible. L'humanité, c'est la contradiction permanente, et des fois, pfff !..; un peu d'air, vite. L'expression dieu-fric me semble correct, car l'argent est une vraie divinité : il suffit de le cultiver et il vous protège ! ... Bon ! çà, c'est pour le coté disons positif. pour l'envers du décor, il y a le fait que si l'argent se cultive, certains n'y parviennent pas, d'une part, et que d'autre part, l'argent reste une idée, cer l'humanité qu'il propose est une humanité de substitution, frelatée, sans saveur et surtout chosifiée.
    2 - la question reste donc moins de se passer de l'argent que de parvenir à trouver la voie d'une humanité réelle qui ne soit pas percluse de telles lourdeurs caractérielles qu'elle est vite invivable.
    Les expériences dont tu parles me semblent, pour autant que j'en sache - car leur médiatisation est TOUJOURS UNE MENSONGE, une falsification, une guerre de propagande entreprise CONTRE elles, et il n'y a vraiment RIEN à en attendre QUE des emmerdes -, pour une part d'entre elles dignes du plus grand intérêt - celle du Chiapas, notamment -, mais je ne suis pas d'accord avec l'idée d'économie de proximité : le sel est rès mauvais pour la santé et ne remet pas en question la mesure de la valeur. Qu'est-ce que cette mesure du travail ? En quoi serait-elle différente de la valeur d'échange ? De même le troc, à l'origine de l'argent. Si c'est pour retourner en arrière, non merci !
    La question reste donc bien ce que les hommes veulent vivre ensemble, ce qu'ils sont capables de DONNER d'eux-mêmes, non pas dans une logique d'échange mesurable, mais dans celle d'une vie commune et construite avec autrui, sans pour autant retomber dans les travers des injonctions morales, lénifiantes et parfaitement ineptes.
    Je ne pense pas qu'il y ait de modèle. mais les expériences passées,celles de la Commune de Paris, comme celles de la révolution russe et de sa contre-révolution pourraient nous inviter à réfléchir sur certains écueils.
    Bien à toi

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    1. Merci beaucoup, Pim, de ta longue réflexion sur la hâtive conclusion de ce billet : elle va m'aider, m'éclaire, sur la suite (et non-fin...) à paraître dans n.jours, sur "la sobriété volontaire", etc.
      Je retiens une idée centrale, fort bien exposée, de "l'argent en tant qu'humanité chosifiée" (expression à moi, maladroite, OK)...

      Comme trop souvent dans mes billets, je pars dans le but de développer un thème fort, mais je "tourne autour" d'abord, pensant devoir en exposer le cadre. Mais cela prend presque tout l'espace imparti au format billet du blog... et je n'ai plus qu'à conclure hâtivement sur le thème central de départ... pour amorcer un FUTUR billet, en somme !

      Je rappelle qu'un certain nombre de mes billets ici (pas tous) me servent de "brouillons" en somme, de mon futur essai (auto-publié sur papier) qui aurait pour titre "Œuvrières & Œuvriers"...

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  5. Bonjour les caillasseux. A la bourre ce matin. Mal réveillé, la tête dans l'sac, je peine à articuler deux syllabes.
    Encore un papier de Rémi qui vient s'ajouter à la rubrique bien nourrie d'histoire-géo-politique qu'il tient avec brio et tenacité. J'ai quand même trouvé le temps de chercher, toujours à la demande de Rémi, "Il voyage en solitaire" de Bashung que j'ai installé en Zyque du Jour. Je ne sais pas s'il s'agit de la "bonne version", mais les dés (pas pipés) son jetés !
    Bonne bourre à tous !

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    1. OUI, merci lediazec, le BASHUNG reprenant le merveilleux poème-chanté de MANSET va très bien, je trouve, avec l'esprit du billet. Merci d'avoir trouver cela à ma demande !...
      Quand t'aurras moins la "tête dans l'sac", trouveras-tu une ERBY de derrière-les-fagots ?
      Il y a aussi un lien (J.Diamond) qui ne fonctionne pas - il me semblait t'avoir donné le bon lien? - Je te suggère de mettre, à défaut, le petit article J.Diamond de wikipedia... Mais, surtout, merci pour les 9 autres liens, l'illustration de mon choix, le respect des caractères gras, bref de ton bon boulot de webmestre !

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    2. Dire dans quel état je suis, j'avais même oublié l'incontournable Erby du Jour ! Oubli réparé et tournée générale... J'espère que ses ennuis de PC (pas l'autre) sont désormais finis.

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    3. "Dans quelle étagère", l'étrange et magnifique Erby était-il pour trouver cette belle moustache d'un Adolf (que j'ignore encore, avant d'aller me renseigner... mais qui a bonne gueule, contrairement à un autre Adolf de sinistre mémoire)...
      En prime, cela me donne idée de caresser de ma moustache la joue de ma voisine Valérie, bien plus belle que la voisine de l'Adolf d'Erby... car c'est la fête-anniversaire de Val, ce jour !

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    4. Ben, le meilleur du tout bon à Val pour ses (18 ?) printemps ! 18, forcément !

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