samedi 9 novembre 2013

Ne pas couper les cheveux en quatre



Nos cheveux ont des grandes facultés. Ils seraient indispensables à notre sensibilité dont nos cultures prétentieuses ont voulu se défaire. Pas de bol, la coupe au bol n’est pas une solution, la brosse non plus ni aucune coupe que l’on veut seyante. La natte ou le chignon serré non plus. On le sais depuis la guerre du Vietnam mais c’est resté caché. 
Les cheveux, poils et barbes sont de véritables moyens de survie. Pendant la guerre du Vietnam des forces spéciales du département de la défense américaine recrutèrent des pisteurs amérindiens dont ils avaient cruellement besoin. Les plus connus pour leur talents quasi surnaturels, une fois sur le terrain, bizarrement, se trouvèrent dans l’incapacité d’exercer leurs talents. 
Après recherche et questionnement, la cause sauta aux oreilles dégagées des militaires préposé aux interrogatoires.
« Les recrues plus âgées questionnées, répondirent systématiquement qu’en subissant leur coupe de cheveux militaire obligatoire, ils ne pouvaient plus ‘sentir’ l’ennemi, ils n’avaient plus accès à leur ‘sixième sens’, ils ne pouvaient plus se fier à leur ‘intuition’, ils ne pouvaient plus lire non plus les signes subtils ou accéder à une subtile information extra-sensorielle. »
En effet, des tests furent mis en œuvre, avant et après la coupe sous toutes les coutures par des spécialistes. Ils purent constater que les performeurs sensibles avec antennes étaient largement meilleurs que les boules à zéro en échec qui se perdaient dans la jungle .
Il durent laisser les poils de leur nouveaux pisteurs tranquilles. C’est vrai que la mode des cheveux longs arriva après cette guerre…Les cheveux sont en fait une extension du système nerveux, on peut les considérer comme des nerfs capteur/antenne évolué qui transmettent un grand volume d’informations au cerveau. De plus les cheveux émettent de l’énergie, une énergie électromagnétique produite par le cerveau vers l’environnement extérieur. « Couper les cheveux est un facteur contribuant à une insensibilité à la détresse de l’environnement proche. C’est aussi un facteur contribuant à une insensibilité dans les relations de toute sorte. Cela contribue à une frustration sexuelle. »
Il est des réalités basiques que l’on ne respecte pas.  Notre science cartésienne a décidé que ce qu’elle ne comprenait pas n’existait pas…Le cheveux a mis des million d’année à se perfectionner. Nous nous mettons stupidement en danger sans nos antennes. 

Il fallait que je vous dise d’éviter d’entendre les couic et couac dans la musique et chant. Ce n’est qu’une improvisation. Rien n’est travaillé

Sous l'casque d'Erby 

Bonnets blancs et blancs benêts !...


19 commentaires:

  1. Article au poil !..... ;-) . Mais désolé ! Je reste dubitatif sur toutes ces interprétations psy ou pseudo psy. On fait dire ce qu'on veut à quiconque lorsqu'on veut des résultats !... et le bidouillage des tests lorsqu'on doit les faire coller aux résultats est si facile !......

    " La chose la plus incompréhensible du monde est que le monde est compréhensible ". A. Einstein

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    1. Je suis bien d’accord avec toi Erby et j’ajouterais qu’il n’y a pas que ce genre de spécialistes qui ont raconté n’importe quoi. C’est ce qui m’intéresse d’ailleurs pour tout te dire. Je pars du principe que nous sommes une espèce malade puisque nous détruisons et nous nous auto-détruisons. A moins d’être une maladie de la terre ???? En tous les cas, je cherche à comprendre pourquoi. C’est ce qui m’a clairement ouvert les yeux sur l’enfumage colossale que l’on nous fait gober et ce depuis des générations dont je n’ai même pas la prétention comme Einstein dans faire le tour. Surtout je ne demande à personne d’adhérer à ce que je raconte. Je transmet juste que le fil de mes interrogations. Je pense que le plus urgent est de quitter nos automatismes. Nous valons mieux que ce qu’on nous laisse utilisé de nous même.

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    2. En tous les cas. Ça impressionne le dessus de la tête au regard de ton crobar

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  2. Salut tas de cailloux ! Pas la peine de se faire des cheveux : il faut rester festif, en deux mots. On notera cependant que les "troupes d'élite" au caillou dégarni de frais ne sont pas réputées pour être les plus empathiques. De même que les "têtes d'œufs" universitaires.

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  3. Bonjour les callounautes. Temps de Tignasse... de Loyola.
    Après lecture de cette info, ô combien déprimante, ma pilosité n'a fait qu'un tour ! Depuis tôt ce matin, je rumine du sordide à grands coups de ciseaux dans le vide. Chauve et de nature crédule, j'ai tendance à penser comme feu ma grand-mère : "puisque c'est écrit là, c'est que c'est vrai" ! Et quand, en prime, je découvre vers la fin de l'article que cela serait l'origine, peut-être même la cause, de "frustration sexuelle", j'éprouve, rétrospectivement, une sensation de vide sidéral !...
    Merci à Martine de m'avoir, sur le tard, révélé une information fondamentale !
    Heureusement, il me reste le clip au pied de l'article pour me consoler en ce week-end qui démarre cahin-caha !
    Ne me reste plus qu'à choisir dans la superbe collection de bonnets proposée par Erby le bon casque !
    Bonne journée tous.

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  4. Parce que la guerre est moche, débile, criminelle. Parce qu'elle n'est fomentée que pour servir les intérêts d'une seule et sale race, celle de la finance, il ne faut cesser de la combattre. Lien :
    Maudite soit la guerre…
    Parce que le pauvre n'est que l'ustensile que les riches jettent aux ordures après un long usage, le remplaçant par un nouveau, plus jeune, plus productif et tout aussi corvéable, il faut continuer à se battre pour que cela change. Lien :
    Pas de pitié pour les plus démunis
    Parce que le savoir et l'intelligence sont l'aliment du progrès, il ne faut jamais arrêter de chercher la lumière. Lien :
    histoire de Charles Babbage et Ada Lovelace, précurseurs de l’informatique

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  5. Bien que je ne sois pas loin de partager l'avis sceptique du 1°commentaire - d'Erby -, je salue la grande "échappée" de ce bel article tiré par les cheveux... et cela me rappelle une vieille anecdote :
    La scène se passe en1961 dans une caserne française d'Allemagne, où croupit en taule un appelé à "la boule à zéro". C'est moi, à 22 ans, "coupable de non respect à un officier", qui reçoit ma fiancée bretonne, venue de plus de 1000km me découvrir ainsi, ballet à la main. L'adjudant de garde est hilare d'assister à l'entrevue bizarre des zamoureux, mais n'aura pas le dernier mot, grossier :"Mademoiselle, changez d'amoureux"...
    Car la jeune femme s'entête tant et si bien (menaçant de faire grève de la faim devant la caserne!) qu'elle est reçue par le colonel qui finira par m'accorder une "perm exceptionnelle" : une heure plus tard, après douche et "tenue de sortie n°1", je quitte l'adjudant vexé et rejoint pour 24h ma chérie à la chevelure opulente...
    Bref, je dois à cela ma systématique grève des coiffeurs, depuis lors ! : vive la nature et ses antennes !!

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  6. J’ai été plus loin dans l’histoire grâce à mon fils qui ne connait pas qu’un cheveux sur les tignasse . Je vous invite à aller voir plus loin sur le net

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  7. incroyable cette histoire d'indiens chevelus !

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    1. Ben je trouve aussi ! Peut être que l’on fait des conneries et peut être que ce n’est pas la seule....merci d’être passé

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  8. Je tenais à vous signalé que j’ai mis une vidéo originale de mes toiles avec un texte de Lediazec en bas de l’article ! Si vous trouvez ça nul et pourquoi faut me le dire.

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  9. Voilà un petit résumé sur les cheveux
    L'HISTOIRE ET LA SYMBOLIQUE DE LA CHEVELURE
    Nos plus anciennes sources au sujet des cheveux remontent à l'Égypte ancienne, il y a de cela 4000 ans. Les femmes portaient alors des perruques d'apparat dans un but de séduction et d'érotisme.
    Plus tard, dans la Bible, de nombreux écrits évoqueront la chevelure et la notion de force et de puissance qui s'y rattachent, comme l'histoire de Samson et Dalila en témoigne.
    Pour les Romains, il existait un rituel qui consistait à couper les cheveux des condamnés à mort, symbolisant ainsi la vie que l'on s'apprêtait à leur arracher. Par ailleurs, les Romains, qui portaient les cheveux bruns et courts, considéraient la calvitie comme un état tout à fait insupportable et portaient une grande attention à la longueur et la couleur des cheveux de leurs rivaux, les Gaulois, aux cheveux blonds et longs.
    Plus tard, au Moyen Âge, on aura le culte du cheveu propre, les femmes se couvrant alors la tête avec des voiles, au sortir de leur appartement.
    Plus tard encore, aux XVIIe et XVIIIe siècle, à l'époque des règnes de Louis XIV et de Louis XV, les nobles se coifferont de perruques ou garderont les cheveux longs. Les femmes arboreront des coiffures plus excentriques les unes que les autres. Le XIXe siècle verra un retour à plus de simplicité sous le Directoire, suivi de nouveaux excès sous la Restauration.
    Indéniablement, la chevelure de la femme est, pour l'homme, un facteur important de séduction. Les hommes, toujours très soucieux des problèmes de calvitie, chercheront par tous les moyens à y remédier. Il s'ensuivra alors un commerce florissant autour des cheveux, ce qui prouve que nos préoccupations d'aujourd'hui ne sont en rien différentes de celles d'hier.
    Au sortir de la guerre de 1914 1918, les femmes se couper les cheveux à la garçonne, premier signe de l'émancipation féminine.
    Plus près de nous, dans les années 1970, l'émergence du mouvement hippie, témoignera du rejet par les jeunes d'une certaine société moraliste, bureaucratique et bien mise.
    « je fais ce que je veux avec mes cheveux, donc je suis libre. »
    De tout temps, les cheveux ont symbolisé le pouvoir et la puissance de l'homme. Également, il est à noter que lorsque le prêtre tond sa chevelure, il le fait en geste de soumission au dieu.
    La notion de pouvoir n'est cependant pas la seule symbolique à devoir être rattachée aux cheveux.

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  10. Que ce soit clair je ne condamne pas les chauves ni ceux qui ont les cheveux courts

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  11. A la vérité, je ne me souvenais plus pourquoi j'avais les cheveux longs depuis des décennies...

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    1. Cela s'appelle de l'intuition et un bol de... Veinard ! La nature, qu'elle est belle, la nature !!!

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  12. Je reviens à l'article de ce matin : l'essai d'emploi des dons d'autochtones d'Amérique dans la sale guerre du Vietnam contre les autochtones d'Asie... Idée de cinglés des services spéciaux US, du genre de l'essai (également un échec) de l'emploi de dauphins "domestiqués"(!!!) pour aller coller des explosifs sur les coques de navires ennemis...
    Des descendants des fiers "peaux-rouges" d'antan sont peut-être oublieux de leurs aïeux héroïques, grâce aux bourrages de crâne... et grâce à l'alcool, certes. Parmi eux, certes, il a pu y avoir des "têtes brûlées" désirant "traquer les Viets"... tout comme les Yankees avaient traqué leurs ancêtres si doués... : une aliénation totale. Mais (comme pour nos frères dauphins) la nature a eu le dernier mot. Ces descendants des "natives", étant dénaturés, ont perdu l'essentiel de leurs dons naturels, cheveux ou pas !!
    Dans ce contexte du couple étroit entre "Dons Naturels" et "Vie Socio-culturelle", on peut relativiser l'histoire de la tignasse surdouée: ces militaires prétentieux sont de vulgaires et médiocres alchimistes, à la vaine recherche de recettes pour leur "or" : l'arme magique et absolue !... Et la réponse fut (mouvement hippie entre autres) l’ÉCHEC militaire...
    Reste et restera, ouf, le mystère de la complexité, de la richesse de la nature. Celle des dauphins et des humains, par exemple...

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    1. Reste... Reste... Mon cher Rémi, la poésie de la vie, cette liane qui de vie en vie, de racine en canopée nous fait aller, au-delà, bien au-delà, des forêts sacrifiées...

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