Note - Mon nouveau nom d'avenir fait vaguement allusion à la légendaire Pucelle d'Orléans et précisément allusion à Jean Moulin : Ce héros est mort avant que la Résistance ne termine sa tâche par le célèbre Programme du CNR qui tant nous guide et inspire depuis 67 ans. Pour demain...
1- Contre la corruption
Je souhaite restaurer les vrais valeurs de la dignité humaine, fondée sur la liberté et le respect : valeurs de dignité et créativité, confiance et gratuite joie de vivre dans nos différences individuelles et notre solidarité sociale...
Hélas, toute la société humaine est désormais fondée sur l'argent - salariat, allocations, dividendes, trafics, etc. - : la corruption y règne donc. C'est une règle non écrite absolue, à tout niveau. Vicieux fléau de saines mentalités si elles sont dominées par
« l'intérêt à court terme », du moindre citoyen lambda que je suis comme vous au plus féroce boss de la pègre : l'honorable gros patron de banque...
Avant d'arriver à supprimer l'argent – qui ne devrait être que simple écriture comptable, sans circulation monétaire -, déjà combattre son fruit le plus vénéneux qu'est la corruption.
Toute la politique et toute la morale du monde ne restent que blablas impuissants sans une vraie
« insurrection des consciences », individuelle, générale, sincère. Motivée par la connaissance des ravages de la corruption (argent, cadeaux, favoritisme...) et la lutte opiniâtre contre elle, individuellement et ensemble.
Voilà déjà l'esprit de
« tout le programme » !
2- Tout simplifier
« L'usine à gaz » est une image courante et juste pour dire la complexité inouïe de dispositions législatives ou bureaucratiques. Certes, la complexité est réelle dans beaucoup de cas : par exemple celle d'établir des responsabilités d'accidents ou incidents (soins, circulation, production, consommation, loisirs...). Mais tout
« l'art » des politiques dignes de ce nom serait de ne pas rajouter de la complexité artificielle, mais de la simple clarté pour mieux gérer la naturelle complexité des choses, ses facteurs imbriqués, etc.
Cela demande de la bonne volonté plus encore que du talent. Et, faute d'efforts de ces
« décideurs politiques », les filous redoublent d'efforts pour contourner la loi ou le règlement... phénomène courant et apparenté à la corruption :
« le règne de la combine »...
Un exemple parmi d'autres : la plupart des contrats (assurances, etc.) ont des clauses imprimées en tout petits caractères, dans un charabia obscur, tout comme bien des notices ou mode d'emploi de biens de consommation (durée et conditions de garantie, etc.). Il est évident que tout cela peut être clair et simplifié : le sera si l'utilisateur, vous et moi, est privilégié, pas la combine de vente opaque par lucre... à prix souvent
« arrangés » entre pseudo-concurrents
« libres et non-faussés » de l'hypocrite loi de l'
« économie libérale » à la mode
« TINA »!
3- Liberté, solidarité, Justice-Sociale
En trois mots très liés, là est l'essentiel de mes vœux. Des vôtres, dores et déjà ou tout bientôt ?
Ces trois mots disent que nous sommes tous, individuellement, « de l'élite » comme certains se le proclament orgueilleusement. Ou alors, plus simplement, qu'il n'y a pas d'élite. Juste, dans un domaine particulier, des compétences différentes et complémentaires entre citoyens libres et solidaires. Chacune et chacun conscient d'être dans le même bateau
« Justice Sociale ».
Cela implique des renoncements à des privilèges, parfois bien ancrés dans les usages, de plus en plus nuisibles à notre avenir à tous. Je pense à l'arrogance
« élitaire » des professions dites
« libérales » qui s'arrogent des revenus et combines énormes. Et sont de fait complices avec les « requins de la finance », les pires bourgeois et successeurs de la noblesse déchue. Mais il y a bien d'autres secteurs privilégiés à l'excès : souvent défendus par des syndicats corporatistes, comme la FNSEA ou par de classiques syndicats via les
« revendications catégorielles » de telle ou telle profession honorable (métallo ou marin, mais aussi policier ou magistrat, etc.). Et puis, enfin, il y a une foule de petits-bourgeois-peureux-et-résignés, classique proie du consumérisme et autres idoles de la pseudo-modernité. « Classe moyenne » dit-on (ce
« on est un con » dit le proverbe populaire) dans les médias, accrochée à la fiction de stabilité ou d'ascension sociale, alors qu'elle subit le choc de l'artificielle
« Crise structurelle » : saisies hypothécaires, chômage...
C'est à Pôle Emploi qu'on se retrouve égaux (ou plus égaux), face à la réalité sociale basée sur l'inégalité de revenus de 1 à 100 (en fait de 1 à 10.000, mais le haut de la pyramide a son pôle).
Et c'est vers une égalité de revenus pour tous que je me propose de vous emmener. D'abord via un revenu minimum d'existence, à vie, modulable selon l'âge et les cas (handicaps, etc.). Ensuite via une échelle de salaires (avant sa suppression!) de 1 à 2, modulable (risque, pénibilité, etc.)...
« Mais c'est la Révolution! » Ah bon ? Ben allons-y gaiement, gentiment... ensemble !
4- Imaginer !...
La classe possédante manque d'imagination : elle règne. Voit les fissures de la pyramide sous elle et... colmate, par la loi qu'elle a faite et la force
« publique » qu'elle privatise. Dans le Monde entier comme ici. Elle manque d'imagination, croit qu'il suffit de nous plumer pour nous faire peur, elle nous prend pour des oiseaux. Après son
« miroir aux alouettes » pour tromper les plus crédules par ses trucs de
« Droit » pour légiférer à sa guise, elle utilise son
« épouvantail à moineaux », son arsenal répressif pour régner par la peur. Mais même les piafs finissent par nicher dans le pantin de paille, dérisoire...
A plus forte raison, les peuples humains, partout, apprennent à ne plus avoir peur. Avec imagination, ils renouvellent les astuces dans leurs luttes de classes anti-capitalistes : inventent. Héroïquement comme en Afrique du Sud contre l'apartheid, hier, et en Palestine depuis 70 ans contre le nouvel apartheid sioniste. La peur change de camp : les
« maîtres » paniquent. Y compris en Grèce contre la Troïka
« européenne », en Ukraine contre les nostalgiques de Staline (et hélas pour le miroir aux alouettes de cette même fausse Europe, provisoirement)...
En France, mon projet de candidature fait partie des multiples initiatives créatrices d'audace.
Dans un dernier billet, je présenterai ici l'avant-projet des premières mesures concrètes que je pense devoir prendre comme présidente de la République :
1- Les astuces populaires pour contourner le refus du Conseil Constitutionnel à ce qui suit :
2- Un GPRF (gouvernement provisoire de la République Française) pour clore la 5° République.
3- Un magistère collectif de la Justice Sociale regroupant les actuelles fonctions du 1° ministre, de la Garde des Sceaux, du Premier Flic de France, du Collecteur des impôts et du Gérant du Trésor... Et surtout l'organisme de mise en chantier de la Nouvelle Constitution !
4- Des Missions ad-hoc et provisoires d'actuels ministères comme la Santé, l'Éducation, etc. Dont une diplomatie d'orientation très différente, vis à vis de l'Europe, du Monde (Palestine...).
5- Je démissionnerai une fois la Constitution adoptée par référendum à 65% minimum.
Place aux Jeunes !
Sous l'casque d'Erby